La Poésie Pejorative

» montrent la ​ fusion du  couple​ .    4. Relever dans le document 2 les expressions mélioratives et péjoratives qui  décrivent l’albatros.      Expressions mélioratives :​  « ​ vastes oiseaux des mers ​ » ; « ​ indolents  compagnons de voyage ​ » ; « ​ ces rois de l'azur ​ » ; « ​ leurs grandes ailes  blanches ​ » ; « ​ ce voyageur ailé ​ » ; « ​ naguère si beau ​ ».  (0,5 pt)  Expressions péjoratives ​ : « ​ maladroits et honteux ​ » ; « ​ piteusement  gauches et veules ! ​ » ;  « ​ qu'il est comique et laid 

chercher Eurydice son épouse perdue. Dans la Grèce antique la lyre accompagnait les poètes et à l’origine la poésie était chantée. Au XIIe siècle , les troubadours s’accompagnaient de musique, chantant les joies et les douleurs de l’amant. Objectif : Aujourd’hui, le lyrisme désigne l’expression harmonieuse et musicale des sentiments et émotions de l’auteur. On trouve ce registre en poésie mais aussi dans le roman, le théâtre et même dans une stratégie argumentative pour mieux persuader en utilisant

de fers, de regrets consumé ». L'antiphrase : relève du registre ironique; elle consiste à sous-entendre le contraire de ce l'on dit : « Ta veste est absolument magnifique ! » La paradoxe : énoncé qui contredit le sens commun : « nous aimons la poésie force ». La pointe : trait d'esprit inattendu, qui clôt un poème ou une nouvelle. Les figures d'amplification : La répétition : reprise d'une même unité : mot, groupes de mots … L'énumération : consiste à juxtaposer à l'aide d'une virgule

  Arthur  Rimbaud  est  un  poète  majeur  du  XIXème  siècle.  En  5  ans,  il  a  révolutionné  la  poésie  aussi  bien  par   ses  thèmes  parfois  conventionnels  que  par  ses  formes  innovantes.  Ce  dernier  eut  une  vie  pleine  de  rebondissement  et  d’inattendu/  d’expérience,  marquée  par  son  évolution  poétique  durant  toutes  ces  fugues,  qui  l’amena  à  l’inévitable constatation que sa  perception du monde différait d’une tout autre  perception  commune.  Ainsi,  il  estimait 

16) et l'allitération en "v" (vers1, 2, 3, 4). La déchéance de l'albatros se traduit sur le plan phonétique par une sorte de dégradation et l'assonance en "en" est désormais associée à des mots dont le sens ou les connotations sont négatives ou péjoratives. On note l'allitération en "s" du vers 4 : "gouffres amers" qui évoque le glissement dans l’air et sur l’eau. La troisième strophe accumule des sonorités qui produisent un effet désagréable avec l'assonance en "e", assonance déjà présente dans

passion amoureuse. « Je vis, je meurs… » Louise Labé Femme de lettre du XIVe siècle Étudiât à l’école de Lyon Ecrivit des sonnets amoureux Sonnet S’inscrit dans le mouvement Humaniste « Je vis, je meurs… » S’inscrit dans la tradition Pétrarque de la poésie amoureuse : sonnet en décasyllabe à rimes embrasées Lyrique Sujet : l’amour Original par la variété des émotions que l’auteur évoque et opère à l’intérieur d’une forme fixe Comment les antithèses manifestent la toute-puissance et les désordres de

décrit une scène inhabituel cadre spationtemporel : vers 3 : faubourg = banlieu de paris = CC de lieu : d'emblée nous sommes dans les quartiers populaire et pauvre de paris v : evocation qui prend une concotation pejorative avec 1 ) le gn " labyrithe fangeux" + 2 )V " grouille "+ 3 ) " ferments orageux " = 2 significations plutot répugnante ( ferments revient a des germes ): renvoie a la météo + révolte possible des habitants = menace

El-GHAZI Asmae ALAOUI MDARHRI 2009/2010 Plan I- Le Romantisme:Aspects et caractéristiques 1- Le Romantisme en poésie 2- Le Romantisme dans le roman 3- Le Romantisme au théâtre II- L'enfant terrible du romantisme 1- Eléments biographiques 2- Les thèmes marquants de Alfred de Musset 3- Le style de Musset III- Aperçu général sur l'œuvre de Musset 1- Poésie 2- La Prose 3- Théâtre Introduction Le XIX siècle est traversé par trois grands courants littéraires

littéraires et historiques sur cette époque ?   2. Type de discours dominant : narratif, descriptif, argumentatif, informatif, injonctif. Différentes formes de discours sont-elles associées ? Quelle est la forme de discours dominante ?   3. Genre du texte : poésie, roman, théâtre, texte d'idées… est-il possible de déterminer le genre ? quels sont les indices ?   Bilan : Quels outils vais-je utiliser en fonction de ces premiers repérages ? Quelles connaissances sont susceptibles de m'aider pour analyser le

point de départ du processus visant à la rendre « attirante ». Les références à l'imagerie de la morts sont-elles aussi très présente : « Crépuscule », « sans-soleil », néanmoins aucune des dites références n'est explicitement péjorative, on est bien plus dans la poésie et la recherche de la beauté visuelle que dans celle de l'effrayant. Par ailleurs cette fameuse imagerie permet au lecteur de deviner entre les lignes la fin du poème. Enfin, en terme d'imagerie nous retrouvons l'imposante muraille