La Princesse De Clèves Procédés

ds un registre épique + lyrique. Texte 2: Princesse de Clèves, MDL. Appartenance au mouvement du classicisme, registre lyrique. Y a-t-il des ressemblances entre le personnage de la Princesse de Clèves et son auteur Madame de Lafayette ? On pourrait le penser ! Toutes deux ont perdu leur père à quinze ans, ont épousé, par mariage arrangé, un homme estimable. Elles furent toutes deux éprises, hors mariage, d’un duc : le duc de Nemours pour la princesse et le duc de La Rochefoucauld pour Madame de

lexical de l'enchantement, de la beauté : « sublime », « joli », « jolies cages », « s'amusait », « majestueusement », « ému et ravi », « admirant »... Le narrateur omniscient nous décrit à la fois le paysage et son effet sur le héros. • Même procédé et même construction dans le texte de Flaubert : description d'abord tout au long du second paragraphe, puis focalisation interne (« la pensée s'égarait », « elle aurait voulu »...). Mais cette fois, le paysage n'est pas contemplé pour lui-même :

Le roman de Renard (en vers) ( Perceval le Gallois, Yvain ou le chevalier au lion • XVIème et XVIIème siècle, mais RARE ( XVIème : Rabelais, Gargantua, Pantagruel. ( XVIIème : Mme de La Fayette, La princesse de Clèves Début du roman ( mal vu, mal considéré, suspect ( genre mineur pour les femmes ( dangereux pour les jeunes filles. Milieu XVIIIème (règne de Louis XV) ( ESSORT du roman. ( Laclos, Les liaisons dangereuses ( A

héros a de nombreuses capacités physique mais aussi moral : un héros se doit d'être beau, fort, courageux, et intelligent. D'ailleurs le physique reflète souvent sa personnalité. Nous pouvons faire référence à la beauté sans pareil de la Princesse de Clèves, héroïne du roman de Marie – Madeleine de la Fayette publié en 1978, où il est dit qu'elle a autant d'esprit que de beauté. Ou bien ,Ulysse, un des héros les plus célèbres de la mythologie grecque, inventé par Homère, dans l’Iliade. Ulysse

qui sont propices aux manœuvres politiques , et toutes les formes de séduction , l’hypocrisie , les manigances (comme dans «  La princesse de Clèves  »). La Bruyère est un auteur chrétien qui a fait des études de droits , qui a appris les langues anciennes , qui a été d’abord

que les personnages principaux du Lys dans la vallée soient romantiques ? La figure d’Henriette rappelle Mme de Clèves du roman éponyme de mme de Lafayette, blanche et vertueuse, elle se fait une religion du devoir et privilégie la raison moral et le « qu’en dira t-on » à la raison du cœur qui depuis le bal n’a cessé de battre pour le jeune Vandenesse. Mais à la différence de mme de Clèves ou de Virginie dans Paul et Virginie, mme de Mortsauf est d’âge mûr et représente la femme de trente ans qui,

réalisation romanesque de l'analyse suppose le raffinement de la langue et des mœurs, le développement de la réflexion morale et l'aptitude à intégrer ces données au récit. La perfection du roman d'analyse, habituellement reconnue à la Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, est de faire que l'analyse prenne à son compte le jeu de la durée, indissociable du genre romanesque. Le roman d'analyse est ainsi un roman de l'immobilité, pris dans les allers et retours des constats, des aveux, des

interrompt l’empêche d’être entendu). Hussonnet fomente sa haine des artistes pour la seule raison qu’un directeur de théâtre a refusé sa pièce : « Depuis qu’on avait refusé sa pièce, il exécrait les comédiens. » (l. 146). La généralisation à laquelle procède Hussonnet est bien manifeste par l’emploi du pronom indéfini « on ». La Vatnaz, intéressée, demande à Hussonnet, avec qui elle n’est pas particulièrement liée, de pistonner son compagnon (l. 163-164), de le « faire mousser ». Elle ne lui demande pas

des yeux d’un personnage que le lecteur voit, appréhende l’univers fictif du roman. De cette façon, il est plongé au cœur de l’action, comme s’il était lui-même le héros en question. Il vit, ressent, et subit les péripéties du récit, il y croit. Ce procédé permet alors d’augmenter son attention tout en le forçant, d’une certaine façon à être le personnage, donc à s’approprier l’histoire. Dans le roman épistolaire Quand souffle le vent du Nord de Daniel Glattauer, le fait de passer d’un point de vue

fait de la vie intérieure du personnage issu de l’aristocratie la matière du récit. Il inscrit ses héros parfaits dans un contexte historique précis et leurs aventures ont une portée morale perceptible notamment dans leurs conversations (Ex La princesse de Clèves de Mme de La Fayette qui illustre le conflit entre la raison et la passion). D’autres genres romanesques se développent, plus réalistes et satiriques, comme le roman comique (par opposition au roman héroïque) qui s’impose comme un miroir critique