La Protection Sociale Un Investissement Rentable

d’une production rentable pour les entrepreneurs. Le chômage est alors dû à un coût du travail trop élevé, si bien qu’il n’est pas rentable pour les entreprises d’embaucher toutes les personnes à la recherche d’un emploi. L’Etat doit par conséquent lutter contre les “rigidités” qui empêchent le marché du travail de “fonctionner correctement” (syndicats, salaire minimum, protection de l’emploi, allocations chômage,...). Une alternative consiste à baisser les charges sociales sur les bas salaires

LA CONSOMMATION ET L'ÉPARGNE DES   MÉNAGES    L'essentiel de la consommation se fait dans le cadre de ménages qui disposent pour cela de leurs revenus. Par ailleurs, dans l'économie moderne, l'Etat a pris en charge certains besoins sociaux, créant ainsi une consommation collective qui est venue s'ajouter à la consommation des ménages.     I.                  Le consommateur dans la théorie macro-économique   Consommer consiste à utiliser un bien ou un service afin de satisfaire un besoin

| |(volontaire) |Le chômage résulte : - d’une part de la non-rentabilité des investissements du fait qu’un niveau de production plus élevé est jugé non rentable par les entreprises (contrainte de marché) | | |

missions régaliennes. C’est la conception de l’Etat-Gendarme. Selon cette conception, le Budget de l’Etat avait pour mission de financer la force publique, la justice, la diplomatie. Toute autre dépense publique, surtout dans le secteur économique et social, ne répondait pas, selon les Classiques, au rôle de l’Etat et portait atteinte à la liberté individuelle, à l’initiative privée et aux lois naturelles de l’économie du marché. Ainsi le courant libéral ou classique, prône le libéralisme économique

financier………………………………………………………………..17 Chômage……………………………………………………………………….17 RAPPORT DE STAGE INTRODUCTION……………………………………………………………………………19 FORMATION OVB FRANCE………………………………………………………...……..20 LA TECHNIQUE COMMERCIALE………………………………………………...20 Prévoyance, protection patrimoine et financement…………………………….20 Méthodologie des entretiens…………………………………………………....21 LES OUTILS DE TRAVAIL………………………………………………………….22 La Base………………………………………………………………………....22 Plus de temps pour vos amis ?..............................

est difficile d’avoir développement sans croissance. Le développement, définition de François Perroux : C’est la combinaison de changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire croitre cumulativement et durablement son produit réel global. Développement : Ensemble des transformations des structures économiques, sociales, culturelles, institutionnelles et démographiques qui accompagne la croissance, la rende durable et en général améliore les conditions de vie de la population

compétitivité (I) puis nous verrons quels moyens l'organisation peut mettre en œuvre (II). I)La flexibilité : un impératif source de compétitivité ... L'organisation se doit d'être flexible pour face à un marché incertain (I), et rentabiliser ses investissements (B). A) … Face à un marché turbulent Comme nous l'avons vu précédemment, l'environnement incertain dans lequel l'entreprise évolue, pousse celle-ci à être flexible c'est à dire à s'adapter à la demande. La clientèle aujourd'hui est très

d’années sous l’effet d’un plus grand libéralisme économique. Aujourd’hui, un fort consensus se dégage pour considérer que la mondialisation n’est pas seulement un phénomène économique et financier, mais qu’elle a aussi des implications politiques, sociales et culturelles liées à l’essor des migrations internationales, des médias ou les moyens de télécommunication. La mondialisation est donc multiforme, elle profite de l’évolution des techniques de transport de biens, de capitaux et d’informations

« main invisible » ne permet pas de coordonner l’action des différents agents et un équilibre du « sous-emploi » devenant possible, l’intervention de la « main visible » de l’Etat se justifie. Quoiqu’il en soit, depuis les années 30, libéraux et sociaux-démocrates conviennent de l’impossibilité d’un total laisser-faire de l’économie, de l’intervention indispensable de l’Etat. Ce qui explique ce rôle prépondérant est le rôle que joue l’Etat en investissant dans la production de services collectifs

donateurs se sont totalement détournés de ce modèle. Mais il n’en a pas toujours été de même en Asie où, parallèlement à l’économie « hiérarchique » (pour ne pas dire administrée), de prodigieux efforts en matière d’infrastructure et de promotion sociale (santé, éducation) ont été consentis par certains États, la révolution verte est citée en exemple, bien qu’elle soit devenue victime plus tard de la perte de capacité du système « hiérarchique ». Donc globalement, la critique des services para-étatiques