La Prudence Est Elle La Vertu Des Gouvernants

d’organisations internationales . Honnêteté des intentions Pas d’intérêts privés sous jacent Action en dernier ressort Diplomatie Chance raisonnable de vaincre On ne fait pas la guerre contre un Etat sachant qu’on va la perdre : simple prudence Jus in Bello Discrimination Combattants, non combattants, Proportionnalité Proportionnalité en réponse à l’attaque Responsabilité des combattants Responsabilité de ceux qui commandent Les problèmes soulevés par la doctrine de

de personnes, de catégories sociales différentes. Ils sont donc ouverts à tous les citoyens. Parallèlement ils vont se distinguer des partis concurrents en affirmant leur identité en relayant des thèmes marquants (ex : les socialistes vantent les vertus de la laïcité… ceux de droite popularisent la liberté d’entreprise…). Mais même en utilisant ces thématiques, les plus grand partis (amenés à gouverner) ont tendance à utiliser un langage généraliste pour ne choquer personne. En faisant cela, ils

à l'image des trois parties de l'âme, la cité parfaitement harmonieuse devra répondre à la triple exigence du travail (producteurs), du dévouement au bien public (gardiens), de la gestion rationnelle et sage (philosophes-magistrats). Les futurs gouvernants ne pourront accéder à leur tâche qu'au terme de longs apprentissages et d'une rigoureuse éducation tant morale qu'intellectuelle. Le passage de l'ignorance à la connaissance, objet essentiel de l'éducation, se fait par degrés, et cette gradation

superstition: « De toutes les superstitions, la plus dangereuse n'est-ce pas de haïr son prochain pour ses opinions ?» Voltaire dit de son traité sur la tolérance que c’est «une requête que l'humanité présente très humblement au pouvoir et à la prudence. Je sème un grain qui pourra un jour produire une moisson.» Voltaire dénonce une justice intolérante, irrationnelle, amorale et absurde. ll souhaite certains changements dans les procédures judiciaires françaises. Les lois doivent être clairement

mon argent, je le donnai tout à ma nourrice-maîtresse comme je l’appelais, et lui promis qu’elle aurait tout ce que je gagnerais quand je serais dame de qualité, aussi bien que maintenant ; par ceci et d’autres choses que je disais, ma vieille gouvernante commença de comprendre ce que je voulais dire par dame de qualité, et que ce n’était pas plus que d’être capable de gagner mon pain par mon propre travail et enfin elle me demanda si ce n’était pas cela. Je lui dis que oui, et j’insistai pour lui

l’innocence, on s’est interdit de mettre ne place des digues contre le mal. Or il n’y a de droit, que parce qu’il y a du mal. Et puisqu’il y a le mal, il faut du droit. =>Le droit c’est toujours une réponse au pire. Le droit est un masque et est une vertu car le masque protège le visage. - La critique du prométhéisme : Fondée sur une infinie plasticité du monde humain, de sa nature dans l’oubli de l’idée de limite qu’incarne le droit. On est entré dans la logique du tout est possible au nom de la

politique violente et cruelle. En s'adressant au Prince, Machiavel participe au genre des miroirs-princiers (Xvème), textes envoyés aux princes rédigés par des bons auteurs, ayant pour tâches d'exposer des règles morales aux princes et le respect de ces vertus. Les conseils de Machiavel ne visent pas à ce que le Prince se conforme à la morale. Au début le du Prince, Machiavel dit que « son intuition est d'écrire quelque chose d'utile, il trouve plus pertinent de se conformer à la vérité effective de la

ensemble de pratiques nécessaires pour l’appartenance à une communauté religieuse. 2. Dogmes qui renvoient à une orthodoxie (héritage de la philosophie grecque. 3. Affection : spiritualité intérieure constitutive de la religion. Foi / charité ; vertus théologales venant de la réforme. Moral Salutaire et Moral de l’Intention La première a pour fonction d’attribuer une place à l’individu dans la société ; une extériorité d’actes. La deuxième, dont Abélard est un des plus forts représentants

également pour conserver le pouvoir. Pour Machiavel, tous les moyens sont efficaces quand ils sont nécessaires. Toutefois, le prince doit toujours paraître vertueux en public. Ainsi, pendant qu’il n’est pas nécessaire pour le prince d’avoir toutes les vertus, il est très nécessaire pour lui de sembler les avoir. D’où la maxime machiavélienne, « gouverner, c’est dissimuler ». A un ami qui nous posa la question de savoir pourquoi ceux qui travaillent sur la politique traitent toujours de la morale

règne apparent de la justice au profit du seul gouvernant et au détriment des gouvernés Un homme fort au pouvoir qui veut garder son pouvoir à son avantage, mais en le faisant passer pour l'avantage des gouvernés. Faire régner ici c'est faire voir, tromper. Politique = charlatan du pouvoir. Justice est légalité institué par lui mais ressemblant à une justice nécessaire. En réalité, cette légalité ne cache que l'injustice, c'est-à-dire l'intérêt du gouvernant B. Mais l'apparence n'est pas suffisante