La Puissance Japonaise Et Ses Limites

capital de PSA. La Chine fascine et étonne. Certains s’en inquiètent. Comment est-on passé d’une économie mondiale dominée au XIXe siècle par les Européens, en particulier l’Angleterre, à une économie mondiale multipolaire marquée notamment par des puissances émergentes comme la Chine ? Comment expliquer enfin la rapidité de la croissance économique depuis 1850 (doc. 1 p. 18 : accroissement du PIB inférieur à 1 % avant cette date), un phénomène sans précédent dans l’histoire de l’humanité ? Avant de

SYNTHESE DECOLONISATION Le XIXème siècle constitue clairement l’apogée de la colonisation du monde par les puissances européennes, avec une accélération de ce phénomène à partir des années 1880. La colonisation est aujourd’hui est un phénomène bien connu, qui se définit comme la création à l’étranger par une puissance dominante de territoires qu’elle occupe, exploite et administre. Si les Européens ont dû dans le même temps abandonner leurs colonies d’Amérique, ils n’en continuent pas moins

L'approche japonaise Dans cette approche, nous pouvons retenir les sept caractéristiques du management japonais qui ont fait de grands succès des entreprises japonaises. 1. Un style participatif ; 2. L'analyse de la spécification de l'emploi ; 3. Le recours aux méthodes quantitatives ; 4. La recherche de l'efficacité et de l'efficience. Ouchi : la théorie Z C'est un professeur et chercheur américain. Il est parti d'une constatation entre les entreprises japonaises et occidentales

style qui lui est spécifique. Ses œuvres marquent des générations d’auteurs mangas. Tezuka, impressionné par les dessins animés de Walt Disney, crée en 1963 la première série d’animation japonaise à la télévision : « Tetsuwan Atomu » (Astro le petit robot). C’est aussi le départ de l’industrie de l’animation japonaise. La japanimation ne cesser alors d’innover en matière d’images et de narration. Peu à peu de nouveaux auteurs apparaissent. Leurs œuvres ne s’adressent plus simplement aux enfants

plan de reconstruction nationalA. Le choix du capitalisme Park et ses gouvernements développent l’économie dans une perspective volontariste, destinée non seulement à fonder les bases de la croissance, mais surtout capable d’asseoir une véritable puissance industrielle et d’assurer sa pérennité. Pour cela, Park Chung-hee se lance, à travers plusieurs plans économiques, dans une offensive multi-latérale. En effet, les plans économiques quinquennaux mettent en avant les priorités et les objectifs. Ainsi

garda la marque de celui qu’il avait absorbé. Pour financer sa croissance, il a eu recours à la bourse en 1998. En moins de quatre ans, l’entreprise a eu recours à cinq augmentations de capital qui ont rapporté 300 millions d’euros et permirent de limiter l’endettement à 180 millions d’euros. 4. La croissance et les résultats des deux concurrents La course à la croissance est un leitmotiv pour les deux concurrents qui, en atteignant une taille critique, peuvent faire baisser sensiblement leur prix

aux « nouvelles réalités mondiales » s'ouvre sur la dimension démographique (fiche 1). Dans une planète finie, limitée en ressources bien qu'il faille relativiser les positions les plus alarmistes, (fiche 2), comment s'opère le rééquilibrage des puissances économiques (fiche 3) ? Comment l'Occident a-t-il pu ignorer si longtemps le déplacement du centre de gravité économique vers l'Asie (fiches 5 à 9) ? Le néolibéralisme, le désengagement de l'Etat, le libre échangisme…, sont devenus en quelques années

1945)L'effondrement de Wall street en 1929 va provoquer l'asphyxie du système bancaire et du système financier américain. ET p Par ricochet cela va frapper l'industrie, l'agriculteur engendrer du chômage donc crise sociale. En paralysant la première puissance économique cette crise va gagner le reste du monde en provoquant une désorganisation des échanges commerciaux et des flux financiers et en intensifiant les autres crises. L’effet domino va être mondial. SECTION 1 – La grande crise et la marche à

du commerce mondial 60% de la production industrielle mondiale DOLLFUS appelle ces trois pôles oligopole mondial. Cœur du système monde actuel : domine põ internationale. B) Des périphéries plus ou moins intégrées Intégrées : puissance régionales dont le poids et l’influence ne sont plus négligeables, tant sur le plan agricole qu’industriel ou financier (Brésil, Chine, Afrique du Sud, Russie, Australie). Exploitées : pays-ateliers attirant délocalisations (Indonésie), paradis

convention pour protéger la diversité culturelle. m 2. La tendance à l’uniformisation des cultures est due, selon Sandrine Tolotti, à la « marchandisation » de la culture et à une certaine mainmise sur celle-ci, mainmise qui est le fait de quelques puissances et de quelques firmes géantes contrôlant l’essentiel du marché. Ces deux tendances sont, selon elle, animées par les États-Unis. m 3. Plusieurs acteurs de l’uniformisation des cultures sont identifiables. • Des États : États-Unis par exemple, mais