La Question Prioritaire De Constitutionnalité Une Révolution

(2ième cas) peu fréquent : Le législateur a adopté une règle sans ce poser la question de savoir si l’application de cette règle allait conduire à un résultat immorale ou non. Il ne le fait pas car le législateur légifère dans l’absolu, dans l’abstrait (il légifère en générale et ne peut pas s’occuper de tous les cas concrets). Celui qui se rend compte de l’injustice de certaine situation est le juge. La question que l’on s’est posé était de savoir s’il fallait permettre au juge de corrigé la

parlementaire peut apparaître (il permet de résoudre le conflit entre le monarque et les chambres). On peut contrôler l'action du pouvoir gouvernemental aux moyens de certains outils : pétitions, doléances, l'adresse au discours du Trône, les questions et la mise en accusation (seulement pénale). Sous la monarchie de Juillet apparaît le droit d'interpellation et l'enquête parlementaire. Le vote du budget constitue également une situation délicate. Toutes les familles politiques se rendent compte

celle que détermine une autre norme; cette dernière constitue ainsi le fondement immédiat de la validité de la première.» «Donnez moi immédiatement 100 000 €» La question est de savoir qui demande, quelle est la procédure. En revanche si l'ordre est donné par un agent du Trésor public, on va s'executer. «Pour exprimer la relation en question, on peut utiliser l'image spatiale de la hiérachie, du rapport de supériorité-subordination. La norme qui règle la création est la norme supérieure, la norme créée

point de constitution ». On voit se développer progressivement une approche que l’on qualifie de constitutionnalisme, parfois de néo-constitutionnalisme quand on met l’accent sur le fait que la constitution ou des organes de contrôles de la constitutionnalité des lois interviennent afin de protéger les individus notamment parce que les textes font mention des droits et libertés que les gouvernements doivent respecter. §3 : La forme des constitutions A) L’opposition des constitutions coutumières

l’idée de la nation). Ce sont 2 conceptions qui veulent expliquer qu’est ce qui forge>. Lais à la révolution française la problématique de la nation est différente. Elle est alors politique et juridique. Dans le livre « qu’est-ce que le tiers Etat » (écrit par Sieyès), la nation est un corps d’associé vivant sous une loi commune et représenté par une même législature. Cette nation à la révolution française est connue comme la source de tout pouvoir. Mais la nation n’est pas un sujet de droit. C’est

contrôle des pouvoirs publics les besoins de la collectivité ( ex : éducation nationale, la santé publique ). Chapitre 2 : Le Droit et le pouvoir politique Les liens relèves de la théorie politique et juridique, ce problème tourne autour de trois questions : Est-ce que le droit est antérieur à l’Etat ? Théorie du droit naturel Est-ce que l’Etat est à la source du droit ? Théorie du droit positif Est-ce que l’Etat et le droit sont confondus ? Théorie du droit normativiste (Kelsen) Il y a

Rehaussement de l’exécutif en la personne du président de la République et rationalisation du parlementarisme. Cette intention globale ce traduit selon une logique matérialisée par la structure de la constitution. Le 1er pouvoir public dont il est question après le peuple dans le titre 2 est le pst de la République « clef de voûte » des institutions. Le PR est le garant des intérêts supérieurs de la nation (art 5) et au service de cette mission, dispose de pouvoirs importants contrairement à ses prédécesseurs

fondamentaux et les règles majeures, c'est donc le caractère fondamental du contenu de la constitution qui en fait le texte suprême. Toutes les branches du droit ont des bases constitutionnelles et aujourd'hui depuis le 01/03/2010 la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) permet à toute personne en procès de se saisir de la constitution et de demander l'invalidation d'une disposition législative qui méconnaitrait les droits et libertés que la constitution garantie. Parce qu'elle contient ce

DROIT CONSTITUTIONNEL 2ND SEMESTRE. Introduction. C’est a partir des révolutions françaises et américaine qu’on a développer l’idée de l’état moderne et sa conception. Comment peut on approcher l’idée de démocratie ? pour porter un regard sur la 5ème république. Paragraphe 1. Les révolutions du 18ème. Deux points de ruptures : révolution américaine et révolution française. Les conceptions de cette époque en droit constitutionnel. C’est un changement profond. Il y a un groupe sociale : troupe

qui met l’accent sur les droits de l’individu face à l’Etat. Ce n’est que très récemment que les droits de l’Homme trouve un écho important au droit international. On laisse véhiculer que les droits de l’Homme sont apparus avec les Lumières et la révolution française mais c’est largement antérieur. Certaines définitions sont essentiellement quand à elles doctrinales alors que d’autres s’appuient sur le droit positif. La notion de droit de l’Homme est souvent invoquée dans une perspective militante