La Raison Doit Elle Guider Nos Actions Descartes

Morale La Liberté On peut envisager la liberté sous deux aspects principaux : L'individu face à lui-même : - Tout objet est déterminé par une loi de causalité universelle. L’esprit est soumis à cette loi au même titre que la matière. Toute action, décision est donc le résultat d’un ensemble de causes antérieures. Ce qui permet de dire que l’individu est déterminé par son histoire, c'est-à-dire par un ensemble de causes et d’évènements antérieurs.Notre liberté est alors dépendante de la connaissance

au-devant de la scène 2. La place de l’Histoire dans Une chambre en Hollande a. Une revue de l’Histoire européenne b. L’héritage du passé sur un pays, sur un Homme 3. Descartes sujet de l’Histoire a. Descartes au cœur du sujet b. Le père de la raison française exilé aux Pays-bas Conclusion Introduction Une œuvre littéraire est écrite par un homme qui vit à un certain moment, dans un contexte géographique et historique particulier

à celui qui a pu sortir de sa caverne et contempler la vérité de retourner auprès de ses anciens compagnons pour les aider à se délivrer de leurs chaînes et de leurs illusions ? • Descartes: la philosophie, guide de notre conduite dans la vie " C'est proprement avoir les yeux fermés, nous dit Descartes, sans jamais tâcher de les ouvrir que de vivre sans philosopher; et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n'est point comparable à la satisfaction que donne la connaissance

A) La démocratie garante de liberté? La France, à l'instar  d'autres pays garantit a ses habitants la liberté de religion, d'opinion, etc.. et ceci grâce à la démocratie (étymologiquement demos kratos=le peuple gouverne). En effet, le peuple doit être maître de lui même. Cela est rendu possible par le biais du droit de vote. Ensuite, un État laïque est obligatoire. Car, pour garantir à tous un maximum de liberté, il faut que toute personne puisse pratiquer. En outre, toute attitude prosélyte

surtout laïque. Il s’oppose, par exemple, aux massacres des amérindiens par les Espagnols et défend la tolérance religieuse. Montaigne, philosophe du XVIe siècle, est un précurseur de la modernité philosophique (qui advient au XVIIe siècle avec Descartes). Précédant l’avènement de la rationalité cartésienne, sa philosophie est marquée par le doute et le scepticisme. C’est à ce scepticisme que répond la tentative cartésienne de « fonder » notre connaissance sur un axiome indubitable, le cogito. Comme

changer ma relation avec le monde (ex : enfant qui commence à dire 'je' sort d'une certaine immédiateté + obscurité -> la lumière se fait en lui + développe une sorte de médiation entre le monde et lui -> devient un sujet doué de raison et d’entendement) • Descartes : doute de tout, remet en cause son rapport total à la réalité (suppose que nos sens sont trompeurs + corps pas fiable + contenu de nos pensées erronées) -> D capable de produire le doute CAR il possède une conscience réfléchie ->

pas à celui qui a pu sortir de sa caverne et contempler la vérité de retourner auprès de ses anciens compagnons pour les aider à se délivrer de leurs chaînes et de leurs illusions ?   • Descartes: la philosophie, guide de notre conduite dans la vie "C'est proprement avoir les yeux fermés, nous dit Descartes, sans jamais tâcher de les ouvrir que de vivre sans philosopher; et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n'est point comparable à la satisfaction que donne la connaissance

ignorance. Pour PLATON personne n’est ignorant sauf celui qui est satisfait de son ignorance. Il ne dépend que de nous de chercher à connaître. II. Comment reconnaître la vérité ? A) Vérité et évidence : la démarche cartésienne et ses limites DESCARTES comme tout philosophe est en quête de vérité, il veut accéder à une vérité certaine et irréfutable car tout ce qu’il a apprit le laisse insatisfait. Sa démarche est proche de l’attitude socratique car il n’a l’impression de posséder qu’une illusion

la haine et l'amour en sont les principales. Un paradoxe est dès lors mit en relief, d'un côté ceux qui défendent les passions comme légitime et pouvant guider nos actions et de l'autre ceux qui la determine comme une maladie de l'âme, ou, comme sont étymologie le désigne: un affect, c'est à dire une force qui nous determine. Le problème se doit d'être posé car il touche un enjeux morale:comment savoir si les acion sont bonnes ou mauvaises? En effet tout homme a ressenti au moin une fois dans sa

texte: justification du rejet de la raison de la part de l'homme ordinaire. Tout est determine depuis le depart dans ce texte, comme l'homme ordinaire considere le philosophe comme une espece a part, cela met d'hors et deja un terme a la discussion entre ces deux personnes. Il y a une inquietude du philosophe lorsqu'il realise que l'homme ordinaire justifie l'irrationel, le rejet et la violence. Quand on rejette le philosophe, on rejette d'emblé la raison. La raison est a la base de l'humanite, il se