La Raison du plus fou

socialiste Italien. Ce parti était le parti le plus opposé au parti de Mussolini, le parti fasciste. 1 Inspiré de http://www.alalettre.com/international/pirandello-intro.htm 2 http://erusamed.free.fr/pirandello/pirandello.htm Matteotti passait son temps à dénoncer le parti fasciste, ses agissements et sa politique de la terreur et de la violence. Il disparait en juin 1924 et son corps est retrouvé en aout 1924. On apprendra beaucoup plus tard, que ce sont des fascistes qui l'ont enlevé

Berkane n’est pas le père biologique de Fiona. Le père de Fiona, Nicolas Chafoulais et Cécile étaient séparés depuis deux ans. Elle a rencontré Berkane et a décidé de refaire sa vie avec. C’était un homme correct, travailleur, un homme intentionné et fou amoureux de Cécile, il était prêt à tout pour elle, il lui disait toujours « amour qui ne ravage pas n’est pas de l’amour »  c’était une famille heureuse. Comme la vie n’est pas toujours rose des inconvenants s’imposent. La boîte où travaillait

même ceux qui vont se pendre. Blaise Pascal Pensées La vanité est si ancrée dans le coeur de l'homme que ceux qui écrivent contre veulent avoir la gloire d'avoir bien écrit. Blaise Pascal Pensées A mesure qu'on a plus d'esprit on s'aperçoit qu'il y a plus d'hommes originaux. Blaise Pascal Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être. Nous voulons vivre dans l'idée des autres d'une vie imaginaire. Nous serions de bon coeur poltrons pour

est devenue schizophrène et il révèle alors 2 visage. L'un est celui d'un prisonnier fou et qui joue aux échec et l'autre celui d'un avocat, un homme intelligent et poli. Le narrateur le rencontre dans le bateau. Le narrateur : Le narrateur nous est inconnue, c'est a travers lui qu'on lit l'histoire il est témoin de tout. Il intervient au début quand il parle avec son ami et quand il ramène M.B à la raison. Il est passionné de psychologie. MacConnor : Est un milliardaire écossais qui va pousser

Élucubrations d'un fou. Chapitre I :Introduction La vie d'un haut magicien... Comme ce … Cette homme ? Cette chose ? Cette incarnation de folie ? Ce fou, est-elle réellement bonne à raconter ? Ou tout simplement racontable ? Beaucoup de question et aucunes réponses, pas un brin de rhétorique pour nous amener une réponse plausible et acceptable. Qu'en pensez-vous ? On n'a rien sans rien. Et puis voilà. « Chester, nous le pouvons, ce doux rêve est à notre porté, tu entends ?! ENFIN ! À notre

| | |Argument principal 2 | |     Lors d’une étude plus approfondie, le « sauvage » prend une toute autre allure aux yeux des auteurs. C’est-à-dire, il est présenté | |péjorativement autant du côté de Cartier que de Lahontan, mais d’une intensité différente.

Le  cynisme  et  le  scep-cisme   Le  cynisme   «  Celui-­‐là  a  le  plus,  celui  qui  se  sa-sfait  du  moins  »   •  Du  grec  kunikos  :  «  comme  un  chien  »   •  Diogène  partage  avec  Socrate  sa  passion  pour  la  vertu   et  son  rejet  du  confort  matériel.   •  Pour  vivre  une  «  bonne  vie  »,  il  faut  se  libérer

sœur Grete) vient s’enquérir de son état. Gregor qui a verrouillé les trois portes d’accès à sa chambre tente de les rassurer. Aucun ne remarque la singularité de sa voix1… Le fondé de pouvoir de son employeur arrive alors pour s'enquérir de la raison du retard insolite de Gregor. Après de longs et pénibles efforts, Gregor, dont la voix indistincte, « une voix de bête », commence à le trahir, réussit à ouvrir sa porte et à passer la tête dans l'entrebâillement. Le fondé de pouvoir, qui s'impatientait

la disposition de sa volonté en vue d’atteindre les desseins qu’il se propose » l’homme utilise les animaux pour ses propres besoins donc comme un esclave, ainsi l’homme est le seul méritant du respect car c’est un être moral et il dispose de la raison. Ensuite Descartes conforte l’idée de Kant, l’homme domine la nature, l’homme par des sciences et des techniques se caractérise « comme un maître est possesseur de la nature ». II- L’homme appartient au vivant, sensibilité Darwin nous enseigne

nos actes comme dans Le joueur d’échecs. Il faut savoir que Stefan Zweig, lorsqu’il a écrit ce livre, avait fui au Brésil, sous l’emprise de la dictature nazie et que ce livre est le dernier du romancier comme un point d’orgue à son œuvre. Cinq mois plus tard il se donnait la mort après avoir vu sombrer son pays dans la barbarie. Il savait que la Gestapo torturait ou utilisait des méthodes douces comme voler les âmes. La folie, peut être une manière d’essayer de conserver son intégrité psychique au