La Raison Est Elle Libératrice

réfléchir? Rabelais disait que « rire est le propre de l'Homme ». C'est donc quelque chose de naturel et selon les scientifiques quelque chose d'indispensable même à la santé humaine. On peut donc dire que le rire est universel, c'est sûrement la raison pour laquelle le rire est présent partout. Rabelais au travers d'une écriture humoristique délivrait dans Gargantua son utopie de l'éducation. Il a en quelque sorte était appuyé bien plus tard par Jacques Lassalle, metteur en scène contemporain français

et en revanche, la part de décision et de maniabilité que celle-ci nous offre : la technique est-elle en réalité autonome et maîtresse d’elle-même ou l’Homme peut-il vraiment rivaliser et régner en maître ? Ce qui reviendra à constater la place libératrice et à la fois superflue qu’occupe la technique dans notre société, entre autre son utilité, à se rendre compte du peu de pouvoir que nous exerçons sur celle-ci et donc, à mettre en relief l’effet aléatoire de la technique et même, le manque de contrôle

Lac de Lamartine, p. 110. De même pour Hugo qui célèbre le souvenir de sa fille Léopoldine, morte accidentellement, Les Contemplations, p.114C-Elle favorise l'épanchement du cœur, de la tristesse voire de la douleur, et possède donc une puissance libératrice aux yeux poète. Le Moi souffrant s'exprime : il correspond au courant romantique.-Baudelaire en est le digne représentant avec tous les poèmes traitant du spleen, Spleen, LXXVI, p.125, Harmonie du soir, p.127, ou encore Recueillement, p. 130 qui

ou à des loisirs perçus comme des moments de liberté car distincts des contraintes que semblent impliquer une activité laborieuse. Le travail est vu comme une contrainte, une contrainte est une imposition forcée d’acte contre son gré et contre sa raison. Le travail peut être considéré comme une « imposition forcée » car l’Homme ne peut se contenter des ressources naturelles qu’offrent la nature. Le travail signifie la transformation des données naturelles, l’Homme doit travailler pour s’assurer

l'essor de la technique a profondément modifié les rapports de l'homme au travail ainsi que sa vie de famille. Selon Michel Onfray, la technique nous aurait transformés en esclaves. Est-ce vrai? Nous verrons, tout d'abord, pourquoi l'on peut donner raison au philosophe. Puis, dans un second temps, nous montrerons que cet esclavage est fort partiel. Peut-on estimer que nous sommes dépendants de la technique? Saris hésitation aucune, il semble que tel soit le cas, même si, parfois, cela peut se révéler

lasuppression de l’État mais de sa forme historique, pour qu’il soit ce qu’il doit être, incarnationde la volonté générale du peuple et défenseurs de l’intérêt général. Transition : donc l’État peut apparaître comme liberticide et sa suppression comme libératrice,mais sans État, les hommes seraient- ils pour autant maître d’eux -mêmes ? I. L’État comme condition de la liberté :1. sans État, on peut penser que ce sera le désordre (thèse de Hobbes , l’État de nature commeétat de guerre généralisée) et

des siècles, il est devenu la projection du corps dans son entier. Cet « outil » nous entraîne à réfléchir sur les dangers du progrès technique et s’il est raisonnable d’en avoir peur. Nous allons donc étudier le rapport existant entre la peur, la raison et le progrès technique ; on se demande donc si le progrès technique doit engendrer des sentiments de peur ou de confiance. Tout d’abord, nous discuterons sur la technique et son rapport avec l’homme, puis des bienfaits du progrès technique et pour

profonds mouvements de brassages culturels constatés dans tout le territoire sénégalais font qu’il est possible d’y vivre ensemble dans la concorde et la paix, en respectant et en exaltant le principe de tolérance. Le comité scientifique avait bien raison de qualifier le thème du colloque d’« actuel et opportun ». Il convenait en effet d’attirer l’attention sur le danger potentiel que constituent les velléités d’exploitation des particularismes ethniques et culturels à des fins inavouables, et de proposer

Cet extrait de Nietzsche faisant parti de son livre Aurore est une critique de la glorification du travail. Quelle valeur accorder à l'apologie du travail quand celle ci est d'une part, perçue comme libératrice et évolutive et d'autre part, conçue avec une force de soumission morale et intellectuelle. Nietzsche ne juge non pas le travail en lui même mais l'importance bénéfique qu'on lui accorde dans la société moderne, une façade méliorative d'un travail aux actes et aux gestes impersonnels, et

Bacchantes: « Vous autres mortels, gardez vous de ces deux excès : n’admettre que la raison, n’exclure que la raison. Fait bon accueil à la raison mais acceptez aussi la part d’imprévu et d’inattendu qui, de prime abord vous dérange. » Il y a là de la part de Dionysos une incitation explicite d’exprimer nos sentiments refoulés, marginalisés. Il est le dieu, descendant direct de Zeus, symbole de la sagesse et de la raison qui s’oppose au logos et qui par l’ivresse et ses vertus déshinibante, pousse