La Raison Est Elle Libératrice

conclure que la religion est toujours un facteur répressif qui empêche le progrès sociétal. Tout au long de l'histoire, il y a eu plusieurs cas où la religion a agi comme un catalyseur du changement sociétal et a ainsi renversé le statu quo. En fait, en raison de son potentiel à relier indirectement les activités des personnes, la religion s'est avérée être l'un des agents les plus efficaces pour le changement social. Meredith Maguire, qui a été mentionnée précédemment, offre l'exemple d'un chef religieux

prétendait arriver à trouver la vérité simplement avec de la raison, ce qui ne plaisait pas à tout le monde. La raison n’accepte pas d’idées préconisées et refuse toutes normes, autorités, banalités. Personne ne peut juger le vrai ou le faux, le juste de l’injuste et le mal du bien si l’on a une raison. Il faut donc créer une philosophie idéale, dont la vérité deviendrait incontestable, c’est-à-dire que l’on pourrait la prouver grâce à la raison humaine. Descartes dit que l’homme peut devenir maitre de

n’explique rien que c’est la chaleur ; mais, allant d’abord au principe, je répondrais avec précision que n’est le feu. Si l’on demandait ce qui fait que telle personne est malade, je ne répondrais pas c’est la maladie, mais la fièvre ; si, quelle est la raison de l’impair, je ne dirais pas l’imparité, mais l’unité. De même ici m’élevant à l’idée primitive, au principe, à la cause de la vie, je dis que « c’est l’âme. » Ainsi l’âme constituant la vie, et excluant, en sa qualité de principe, le contraire de

propos de l’empire latin de Constantinople, état fondé sur le territoire de l’Empire byzantin suite à la quatrième croisade et à la chute de Constantinople aux mains des « Latins ». Mais l’emploi de ce terme dans ce contexte est impropre pour deux raisons : la langue latine n'est pas sortie des chancelleries de l’état « latin » de Constantinople et des autres états dits « latins » d’Orient et ne s’est pas étendue aux populations soumises ; à cette époque et politiquement, l’« Empire romain », identifié

lieu. Bref, nous pouvons remarquer que l’auteur éprouve un profond mal de vivre, caractérisé par sa tristesse, l’isolement et la mort. En conclusion, Lamartine exprime, par le biais du poème ¨le vallon¨, son désir de vouloir mourir et les raisons qui lui pousse à avoir ses pensés. Ce poème est constitué de deux grands thèmes qui sont la nature et le mal de vivre. Le but de Lamartine était de trouver une certaine libération en exerçant un besoin de se faire entendre, c’est-à-dire un besoin

fondamentales de la foi. D'un côté, il y a la foi morale, universelle, naturelle et libératrice, que chaque homme possède en lui, et qu'il exploite donc, consciemment ou non. De l'autre, une foi aliénante, fausse et artificielle, qui constitue une majorité de la croyance religieuse de cette époque. On peut ainsi opposer la vision religieuse de Kant à celle de Pascal, puisque pour ce dernier, la foi n'est pas l'affaire de la raison, ou de la morale, mais de celle du cœur.

«Rire: pour quoi faire?» Dès notre plus jeune âge, on rirait en moyenne 40 fois par jour, sans raison, par pur plaisir. À l’âge adulte, ce serait moins de 20 fois par jour. Le rire est universel, beaucoup d’entre nous l’utilisent à diverses fin. Cependant, Le rire joue sur des paradoxes, il peut blesser ou guérir, il peut offenser ou séduire, il peut nous séparer ou nous réunir, il peut être cause de disputes ou d'amitié, il peut être apaisant ou irritant … Le rire bien sûr, ce couteau à double

le rire de groupe ne risque-t-il pas de pervertir le lien social ? Approche quelque peu réductrice néanmoins qui doit être dépassée : le rire, et particulièrement l'autodérision, comportent à ce titre une dimension expressive, existentielle et libératrice. En premier lieu, il convient de remarquer avec Bergson que le rire répond à certaines exigences de la vie en commun : il occupe d'abord une fonction régulatrice dans l'ordre sociétal. Le rire serait ainsi une sorte de "geste social"

sait rien. Individu inclassable, il provoque chez les autres le bouleversement de soi-même d’une façon irrationnelle. Cette remise en question de l’individualité se trouve dépassée dans le dialogue entre un individu et un autre, dialogue fondé sur la raison, pour atteindre l’universalité. Par la suite, pour toutes les écoles philosophiques de l'Antiquité, la figure du sage est avant tout un idéal. Et toutes, à l'exception de l'épicurisme, s'accordent pour reconnaître que Socrate, celui qui ignore qu'il

peuvent être interchangeable selon les circonstances : Les Protagonistes, les provocateurs et les séparateurs. La provocation permet de récréer la coordination, en d'autres termes, l'unité de groupe. Le jeune doit apprendre à se défendre, c'est la raison pour laquelle, la violence fait partie intégrante de l'espace public où survient un apprentissage de cette violence sous forme de spectacle qui se donnent au grand jour où la manière de dominer sa peur, de faire l'expérience de son courage et de sa