La Religion Est Elle Irrationnelle

PHILOSOPHIE POLITIQUE, 2ème SEMESTRE Chapitre 1 : La modernité comme sortie de la religion ? Problèmes et enjeux généraux. I. Qu’est ce que la modernité ? Essai de définition. 1 cas : être moderne c être ds un rapport spécifique avec le passé et l’avenir. 2 cas : rupture avec le passé. Dans ce cas là, 2 sens possibles : 1) terme fréquemment employé au 19ème siècle 2) au sens technique, moderne s’oppose à médiéval ou au contemporain. Le 2ème sens apparaît vers 1800 en France et en GB :

nous en étions les auteurs, alors qu’elles sont en nous sans que nous les ayons rationnellement produites et qu’elles paraissent du même coup l’effet des influences extérieures, du conformisme ambiant (mimétisme) et/ou de nos passions les plus irrationnelles ? 
Pour répondre à ce paradoxe la tradition philosophique a longtemps crû qu’il était possible : 
- soit de se libérer de toute croyance au profit d’un savoir rationnel entièrement prouvé comme vrai et juste afin de devenir responsables de nos

Africain, d'Amérique du SUD car cela on été colonisé par les Européens.) Le second critère réside dans des donnés culturelle et social: Le droit est le produit d'une société, et la société est déterminé par ses facteur culturelle et sociaux (la religion, la politique, le niveau de développement économique, la langue, la place du droit dans la société). Il existe des pays ou le droit est le système principale d'organisation de la société. Le troisième critère vise l'emploi de certaine technique

politiques 1. Une quadruple contestation Voltaire critique quatre traits du fonctionnement politique : a) Le manichéisme religieux, caractérisé par la disproportion entre les causes et les conséquences des querelles. b) Le discours irrationnel et ampoulé employé par les politiques pour tromper le peuple. c) L'adhésion du peuple, non par acceptation raisonnable, mais par servilité (l. 23-25). d) Le climat de rivalité néfaste qui règne parmi les gouvernants (mélange d'admiration et de

parvient à connaître l’ordre, et ce n’est que quand il le connaît que sa conscience le porte à l’aimer. La conscience est donc nulle dans l’homme qui n’a rien comparé, et qui n’a point vu ses rapports. » (A C. de Beaumont). Morale, métaphysique et religion Rousseau se proclame chrétien et même le seul chrétien de son siècle et sa foi repose selon lui sur les exigences du cœur et les possibilités de la raison. Par ailleurs l’élargissement de l’amour de soi à Dieu, permet un progrès de la raison. Il

ne parle pas contre la Révélation. Rien, en effet, dans la religion révélée (c'est-à-dire dans la Bible comme parole de Dieu transmise aux hommes) ne vient contredire la raison : pour preuve, le théologien peut raisonner à partir des articles de foi − si la Révélation était absurde, une théologie rationnelle serait impossible, et tel n'est justement pas le cas. Cependant, si les articles de foi ne sont pas purement et simplement irrationnels, ils excèdent cependant les pouvoirs de compréhension de

donné sur la superstition, autrement dis sur tout une litanie de messages, de pressages qui guident véritablement la vie des hommes. Spinoza semble au regret de constater l’absurdité qui règne sur la vie des hommes. C’est donc un ordre absurde et irrationnel qui régit la société. Mais il semblerait pour l’auteur qu’il est dans la nature de l’homme d’être sujet à la superstition. Car nul homme n’échappe à la superstition, les hommes «  ne seraient en proie à aucune superstition » (ligne3) s’ils « pouvaient

près. 1. James, Bergson, Nietzsche... William James fut sans doute le philosophe le plus opposé à la raison. La vérité, selon lui, ne peut pas être découverte par des procédés logiques. Pourquoi ? Parce que la vérité est essentiellement irrationnelle. Il écrit dans son Pluralistic universe que «nous devons apprendre à renoncer à la logique loyalement, entièrement, et irrévocablement, car la réalité, la vie, l'expérience et le concret, l'immédiat ou quel que soit le mot employé, dépasse notre

imminentes » vécus par certaines personnes dans notre société actuelle ? S.D : L’analyse de ce sujet = 3 aspects Développement  1) Point de vue : Scientifique Arguments : La science est sceptique. Phénomène irrationnel – contre la raison NDE = suggère une réaction chimique du cerveau - produit des endorphines pour atténuer la douleur et préparer le corps à la mort (contrer la peur

Cela apportera alors dans une troisième partie le problème de la liberté de croyance, et de la liberté de l'individu lorsqu'il croit en une religion. I- La connaissance scientifique, soit un principe rationnelle et explicatif : contraire à la croyance. 1)Connaissance scientifique et croyance, deux termes opposés. Savoir VS croire. Rationnelle vs irrationnelle. 2)La science est basée sur l'expérimentation, qui elle est réfléchis et pensées, la croyance n'est qu'admettre pour vraie et avoir confiance