La Religion Est Elle Une Nécessité Sociale

tant dans la hiérarchie social que sur leur idéologies respectives (DJ impie rationnel, tandis que le pauvre est un dévot qui ne vit que pour la prière). -Pb : Comment cette scène met-elle en place un débat manichéen qui témoigne d’un aspect du libertinage ? I) La place des deux interlocuteurs dans ce dialogue a) Don Juan le grand seigneur -La supériorité hiérarchique de Don Juan se traduit dans ce dialogue. -Don Juan est un noble, il ne veut pas se mêler aux rangs sociaux trop inférieurs, il

religieuse est tout à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée, l’âme d’un monde sans cœur, l’esprit d’un état de choses où il n’est point d’esprit. Elle est l’opium du peuple ». Traduction de Maximilien Rubel, pour la Pléiade-Gallimard De ceci, la postérité a surtout retenu la dernière phrase : « La religion est l’opium du peuple ». Il s’agit là d’une réduction regrettable qui transforme une pensée en une formule

LA RELIGION ● Premier constat : les religions sont nombreuses et très différentes les unes des autres. ● Théismes et monothéismes, polythéismes, monothéisme et polythéisme (hindouisme), panthéisme, athéisme (bouddhisme) et enfin chamanisme (pas de dieu mais tabous, rites magiques, lieux particuliers...). ● Mais pourtant, commune essence du religieux : il existe une transcendance à laquelle l'homme peut avoir accès. ● Le fait religieux consiste dans la croyance en l'existence d'une réalité non

d’une source documentaire relative à l’anthropologie des religions. Etant néophyte en la matière, j’ai recherché un ouvrage me permettant de cerner plus précisément l’espace théorique et méthodologique de ce champ particulier de l’anthropologie. Mon choix s’est ainsi orienté vers l’ouvrage intitulé « L’anthropologie des religions » de Lionel OBADIA, donnant, semble-t-il, une vue d’ensemble de ce qui caractérise l’anthropologie des religions aujourd’hui (méthode, modèles, concepts, évolutions…).

l’homme » de Thomas Hobbes, Léviathan � Explication : la violence est ce qui caractérise la nature originelle de l’homme. III) LA REFUTATION DE LA VIOLENCE � Argument 1 : la violence n’est pas innée elle est sociale. � Explication : la violence est le fruit des réalités sociales. � Citation : « l’homme nait bon, mais c’est la société qui le déprave » Emanuel Kant, traité de la pédagogie. � Explication : ce sont les imperfections de la société qui rendent l’homme violent. � Argument 2 :

Communautés et communauté: Nous vivons dans un monde postmoderne et mondialisé où les mélanges culturels, la circulation rapide et accrue de l'information, la mobilité géographique et l'individualisme marquent les sociétés. Dans ces conditions les religions et leurs adeptes connaissent elles aussi des transformations structurelles a différents niveaux. Une multitude d’événements convergent et modifient les rapports entre les individus, les groupes et le sacré. L'assouplissement des pouvoirs et des

apprendre». Résumé Livre I Il est consacré à la première enfance et aux toutes premières impressions et sensations. Jusqu’à l’âge de cinq ans, l'éducation consiste à empêcher «les préjugés, l'autorité, la nécessité, l'exemple, toutes les institutions sociales» de défigurer la nature. Pour obéir à la nature, c'est la mère, dont la place est décisive, qui doit allaiter son bébé, afin d'accomplir physiquement et moralement sa mission naturelle : il ne faut pas de nourrice. Dans le

BERGSON, Les Deux Sources de la morale et de la religion Que n'eût pas été notre enfance si l'on nous avait laissés faire ! Nous aurions volé de plaisirs en plaisirs. Mais voici qu'un obstacle surgissait, ni visible ni tangible : une interdiction. Pourquoi obéissions-nous ? La question ne se posait guère ; nous avions pris l'habitude d'écouter nos parents et nos maîtres. Toutefois nous sentions bien que c'était parce qu'ils étaient nos parents, parce qu'ils étaient nos maîtres. Donc, à nos

prémonitoire assertion du professeur Henry Mazeau témoigne de la nécessité que la société soit régie par un de magma de relgles pour que les individus vivent en paix à défaut de vivre en bonne intelligence. Ces regles peuvent etre juridiques selon qu'elles émanent de l'Etat ou bien religieuses c'est a dire émanant d'une divinité. Cette coexistence nous invite ainsi à réfléchir sur les rapports existants entre le droit et la religion;liens qui s'illustrent meme à travers leur définition. En effet

La nécessité du droit apparait quand l’homme doit vivre en groupe. Le droit permet de dépasser une relation violente entre les hommes c’est-à-dire la loi du plus fort. Il permet de faire respecter l’ordre, la justice et de développer le progrès. Selon CORNU, « Le précepte juridique n’est ni une règle de salut, ni une loi d’amour : c’est un facteur d’ordre, un régulateur de la vie sociale, un modérateur, un dénominateur commun, une norme moyenne, et c’est déjà beaucoup » (Droit Civil – Introduction