La Religion Peut Elle Servir De Morale

quoi tient l’habilité de tartuffe dans cette scène .Dans un premier temps, nous examinerons comment Tartuffe instrumentalise la religion pour la faire servir à ses fins personnelles, puis nous étudierons son art de lever les scrupules, enfin nous verrons que Tartuffe suit dans son aveu une gradation très stratégique. 1. La religion instrumentalisée L'hypocrisie peut être définie comme un vice, mais aussi comme une tactique, une méthode : l'hypocrite utilise ce qui devrait être une fin en soi

moralistes de l’autre. Mais lui, il a fait entrer la morale, la science et la religion dans une vaste synthèse qui a servi à installer l’ordre, la justice, et la concorde dans les cités. Dans son école les futurs disciples étaient soumis, pendant un temps d’essai, à des épreuves physiques, dont le but était d’apprendre aux novices la maitrise de leur corps dans un climat sain, sans fureur et sans haine. Ensuite, venaient les épreuves morales pour éprouver, chez les novices, certaines vertus

( transition ) L’imagination créatrice du poète peut donc nous renvoyer à une réalité que nous connaissons. Mais le poète ne se résume pas toujours à être le simple peintre de la réalité. Certes, la poésie est le reflet de sentiments humains immuables et intemporels, ainsi que l’image d’une réalité sociale, mais Il arrive aussi que le poète nous entraîne dans l'univers de ses propres rêves. Et l'on trouve dans cette subjectivité le génie personnel de chacun. Avec Paul Verlaine par exemple

représentation dans laquelle chaque personne, objet ou image ont une signification. LA CENSURE 1. L'Inconscient 2. La Pulsion 3. La Censure, le Refoulement, Libido 4. Le Complexe d'Oedipe 5. Moi, Surmoi, et idéal du moi Pourquoi donc le rêve ne peut-il pas représenter de manière directe ce que voulait dire l’inconscient ? Le mécanisme principalement responsable est appelé " censure ", non seulement il déforme, mais fait aussi oublier avec une extrême rapidité, la majorité des rêves ou leurs détails

conviés en France, répandant ainsi une culture et un goût esthétique nouveaux. L’humanisme est marqué par une forte rupture avec la religion, les nouvelles découvertes scientifiques ruinent les idées de la religion catholique. Avec la réforme (Martin Luther), l’unité religieuse vole en éclat ; catholiques et protestants s’affrontent dans : « la guerre de religions » L’humaniste cherche, dans sa propre réflexion critique, un sens nouveau au monde qui l’entoure et à sa propre vie : * La Boétie

aujourd’hui très important dans une société où le rapport aux autres devient centre de tout contact. Aujourd’hui beaucoup d’articles, documentaires ont pour sujet le problème de l’apparence car il peut se trouver abusif et extrême. Le rapport à l’image est donc un problème conséquent. Ce travail de l’image peut-il devenir futile voir absurde ? On appelle la futilité le fait qu’une personne, un objet, ici un acte soit insignifiant, sans importante. Travailler son image est-ce futile ? Est-ce un acte non-conséquent

les procurer toutes. En effet, bon nombre de nos connaissances sont forgées en notre esprit de par l’éducation, la lecture, les représentations graphiques, les signes langagiers, plus communément appelés « mots », ou encore par la tradition, la religion, la culture personnelle, voire l’imagination…Il nous serait très difficile d’être nous même témoin de ces innombrables choses que nous apprenons chaque jours, ce qui nous contraint alors à nous dispenser de « voir » les choses, pour les « croire

la religion c’est la société. Cette société en cohésion où tout le monde croit en la même chose, et où tout le monde suit les mêmes règles et principes moraux. Elle vise à créer un système de pensée homogène et des catégories de pensée logique qui semblent aller de soi et sont acceptées par tous (l’âge et le temps). Elle donne une cosmologie du monde, un ordre et des vérités partagés par le groupe et qui définissent leur vision du monde. La religion sert à intégrer l’individu dans la morale de la

nécessité de protéger le lieu où l’on réside, de s’en assurer la maîtrise et d’y garantir la paix et la prospérité ; dans cette perspective la "culture" inclut encore l’art militaire, l’ingénierie, le droit, la langue, l’architecture, mais aussi la religion (le dieux protègent le foyer), axée autour du culte (même racine latine que "culture"). Le mot "culture" prend ici son extension maximale, ethnologique : il inclut toutes les pratiques caractéristiques d'un groupe humain donné (par lequel les membres

signification du mot « gouverner ». L’étymologie de ce dernier (gubenare = diriger un navire) nous amène à penser que le gouvernement d’une cité ou d’une nation est comparable à celui d’un navire par son capitaine. Ici, on peut distinguer deux observations : « Gouverner » ne peut être synonyme de « imposer autoritairement» des directives à un corps soumis (peuple ou navire), bien au contraire, sur le bateau, le capitaine doit s’aider de ses forces existantes, c'est-à-dire les membres de son équipage