La Religion Peut Elle Servir De Morale

philosophe allemand, Karl Marx. Le texte critique la religion à une époque ou la chrétienté est encore très présente dans les esprits. L'auteur défend ici une violente propagande à l 'égard de la religion . Comment l'auteur présente sa critique de la religion, peut-on dire qu'elle est toujours pertinente à notre époque ou l'a t-elle été un jour ? Nous verrons donc dans un premier temps que Marx présente une définition et les origines de la religion, puis montre ces différents aspects enfin nous éclaire

DOM JUAN (Acte III, scène I) INTRODUCTION Situation : Don Juan a appris de la bouche d'un spadassin La Ramée que douze hommes armés sont à sa poursuite, peut-être la troupe vengeresse dont l'a menacé Done Elvire (Acte I, 3). Pour leur échapper, Don Juan a ordonné à Sganarelle d'échanger leurs habits, mais le valet a réussi à trouver d'autres déguisements : Don Juan est en habit de campagne, Sganarelle en habit de médecin, ce qui permet à Molière, grâce à l'ironie de Don Juan et au comportement

L’incompatibilité  est le propre de ce qui ne peut coexister. Si la science et la religion sont incompatibles, cela signifie qu’elles ne peuvent s’accorder sur une question donnée et que si l’on adopte l’une, l’autre est nécessairement exclue. De fait les religions proposent des croyances, des dogmes alors que la science se définit comme une connaissance rationnelle, méthodique et objective d’un domaine d’objets. L’une requiert la foi, l’autre ne reconnaît que la validité de la preuve mathématique

des motifs psychologiques soi par un ordre naturel qui serait préexistant (la domination masculine est souvent justifié par la puissance physique, ce serait cette force physique qui explique cette domination, au premier chef les religions monothéistes, dans la religion catholique à marie on lui enlève le pouvoir d’avoir couché le messie, puisqu’elle est vierge). Motifs psychologiques, il y a chez l’homme un instinct de domination, volonté de puissance qui explique les rapports de domination

Kant écrit, dans son essai qu’est-ce que les lumières ? (1784) : que «  les lumières: c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable,(…) AIE ! le courage de te servir de ton propre entendement ! voilà la devise des lumières. » Kant nous montre ainsi qu’on peut associer l’idée des lumières au raisonnement liée a la capacité intellectuelle naturelle, l'intelligence, les connaissances et le savoir, et que par définition, c’est un moment décisif ou l’homme commence

dialogue entre A et B sur l’inconvénient d’attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n’en comportent pas (1772). Edition de référence : Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville et autres œuvres morales (E. Tassin éd.), Paris, Presses Pocket, Coll. « Agora », 1992. Mots clés : Diderot, Bougainville, Tahiti, société, mœurs, sexualité, codes (code moral, code civil, code religieux), humanité, civilisation, morale, politique. Résumé : Le Supplément au voyage de Bougainville

dialogue entre A et B sur l’inconvénient d’attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n’en comportent pas (1772). Edition de référence : Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville et autres œuvres morales (E. Tassin éd.), Paris, Presses Pocket, Coll. « Agora », 1992. Mots clés : Diderot, Bougainville, Tahiti, société, mœurs, sexualité, codes (code moral, code civil, code religieux), humanité, civilisation, morale, politique. Résumé : Le Supplément au voyage de Bougainville

transcendant au monde (par opposition aux conceptions panthéistes). Communément, on parle de religions monothéistes à propos du judaïsme, du christianisme et de l'islam (auxquels on ajoute parfois le mazdéisme ou zoroastrisme). Cependant, au-delà de la commodité du label pour désigner un ensemble de religions prophétiques qui s'opposent à la fois aux sagesses et aux religions orientales aussi bien qu'aux religions territorialisées de l'ethnie ou de la cité antique, il est nécessaire de s'interroger sur

10 février 2011 Français Dissertation : « Peut-on tout montrer au nom de l’art ? » Peut-on tout montrer au nom de l’art ? La réponse à cette question est complexe car elle recouvre deux sous-questions qui peuvent amener de nombreuses discussions. La première sous-question demande de définir ce qu’est l’art. La littérature définit une œuvre d’art selon trois critères. Premièrement une œuvre d’art doit exprimer un sens, une émotion ; deuxièmement, elle doit être esthétique, et troisièmement,

son second projet de loi, le ministre de l’Instruction publique depuis 1832, sous la Monarchie de Juillet donc. Il a à cœur de libéraliser l’enseignement secondaire, et c’est ce qu’il tente de nous expliquer dans le tome trois de ses Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps. Dans l’extrait qui nous occupe ici, il essaie de nous éclairer sur la difficulté qu’a causé la proposition de cette loi. Guizot fait surtout allusion aux problèmes que les difficiles relations entre l’Église et l’État à