La Religion Unit Les Hommes

pouvoir restent plus ou moins intacts. La vraie transition s’opère au Moyen-âge avec 3 moments important : La renaissance : • Développement socioculturel et politique, redécouverte des textes anciens, humanisme valorise l’usage de la raison, donc les hommes ne doivent pas être soumis à des dictats de l’église sécularisation de la vie en société. • Avènement des villes-Etats en Italie (Florence, Sienne, Pise) • Pouvoir séculier des princes vis-à-vis de la papauté, par des privilèges obtenus et des revendications

propres libertés, il appartient aussi à des communautés de métiers, elles ont leurs propres statuts, peu de métiers sont libres. Il y a une appartenance à ce que l'on appelle un ordre. I- Le pouvoir monarchique L'ordre c'est le genre de vie, les hommes sont donc répartis dans les catégories sociales parfaitement hiérarchisées, l'ordre c'est une notion juridique, c'est ce quel'on appelle un état. Chaque ordre à ses règles propres. Ces trois ordres sont inégaux. La société française de l'ancien régime

cosmos et de la crétion divine. LA RÉFORME Alors que la religion catholique est dominante, le protestantisme apparaît en Europe, mouvements investis par Martin Luther, et Jean Calvin. Dien est transcendant, ses volontés sont inacessibles aux hommes, remise en question de la médiation avec Dieu. L’accès à Dieu doit être privé, personnel. Idée de la presdestination : question du salut. Dieu seul en décide, il en a déjà décidé, des hommes seront rachetés ; « Dieu n’existe pas pour l’homme, c’est

dans le système international les flux financier semble évident. Mais à ce moment la, pourquoi ne pas mettre la religion ? On peut ajouter les églises centralisées comme l’église catholique ou décentralisé comme l’église protestante ou encore les diasporas juives. On peut faire au sujet des religions la même démonstration qu’au sujet de la finance. On a mis Google, les hommes politiques, le pape mais pourquoi s’arrêter sauf pour dire que tel ou tel est plus ou moins important ? La question

qui est prise en tenaille par le monde musulman et les chrétiens occidentaux qui lui envi ses richesses. Le basileus : l’empereur. Le basileus a tous les pouvoirs puisqu’il est le chef militaire, politique et religieux de l’empire byzantin. La religion est indissociable du politique : c’est la théocratie. Théocratie : régime politique ou le pouvoir émanant de dieu est exercé par son représentant sur Terre. L’empereur est couronné et sacré par le patriarche. Il réside dans la capitale de Constantinople

qui raconte le mythe, car étant un comique, la description grotesque des parfaits primitifs lui correspond bien. Alors Aristophane introduit son discours en parlant d'Eros. Il trouve que les hommes ne se rendent pas compte de son importance. Il serait « le plus ami des hommes, étant un protecteur des hommes » et le médecin des humains. Nous savons qu'Eros représente, avec Philia et Agapè, un nom grecs désignant l'amour. L’amour de Platon, qui est Eros, désigne le manque. il dira : « Ce qu'on a pas

Dans cet état très centralisé, le roi règne sur une société parfaitement encadrée. Section 1 : Une société figée, le carcan des privilèges. Cette société prend ses sources dans le lointain passé médiéval au IXe siècle. Dans un temps où les hommes vivaient dans des conditions très difficiles, où ils ont dû inventer un certain mode de vie qui nourrissait leur besoin vitaux : subsistance, sécurité, réconfort morale. L’individu ne peut vivre seul, la solidarité va façonner l’organisation sociale

Introduction ……………………………………………………… 4 1. L’éducation de l’enfant au sein d’un couple mixte….. 6 est un défi au quotidien 2.1. Les concessions dans les choix d’éducation…………….. 6 2.2.1. Quant au choix du prénom……………………………………… 6 2.2.2. Quant à sa religion……………………………………………….. 8 1.2. Faire face aux regards des autres………………………….. 10 1. Mais cependant cette mixité peut être aussi un……...13 atout majeur pour l’enfant 2.1. La mixité est source d’enrichissement culturel pour……13

les procédures d'exclusion portées par un vocabulaire du scandale convoquant toutes les formes de l'altérité, situer les gestes de partage répétés et successifs où la mythologie chaque fois se déplace : tantôt l'incroyable et le scandaleux que la religion place en face de soi ; tantôt l'irrationnel absurde que la raison se donne ou encore le sauvage et l'obscène comme envers du civilisé et du policé. Si le mythe, comme il semble, a toujours, depuis les Grecs, désigné l'absent, le révolu ou la démence

chefs et- non des maître ; il obéit aux Lois mais il n’obéit qu’aux Lois et c’est par la force des lois qu’il n’obéit pas aux hommes. (…) Un peuple est libre, quelque forme qu’ait son Gouvernement, quand dans celui qui gouverne il ne voit point l’homme mais l’organe de la loi. ». Par cet écrit, nous découvrons que Rousseau considère un « peuple libre », comme des hommes obéissant à des lois. De plus, ce peuple est gouverné par un homme qui diffuse des lois juste et non arbitraires. Ainsi, nous pouvons