La Rempailleuse

aveugle.    Si le bonheur apparaît dans son œuvre, c'est fugitivement : le début de Mouche, l'Enfant, le Pardon ; lui aussi succombe sous le poids de la vérité : car le malheur est cette vérité, celui des animaux (l'Âne), celui des humbles (la Rempailleuse, Yvelin Samoris, Miss Harriett) ; les « grandes misères des petites gens », Maupassant les peint sans se départir du démon de la vérité. Il met en scène la vie quotidienne, mais il en dévoile tous les secrets : ceux des prêtres (le Saut du berger

Blas)  1er septembre : « Une veuve » (Le Gaulois)  7 septembre : « Poètes » (signée Maufrigneuse, Gil Blas)  14 septembre : « Monsieur de Coutelier » (signé Maufrigneuse, Gil Blas, 1ère version de « La Rouille »)  17 septembre : « La Rempailleuse » (Le Gaulois)  25 septembre : « Une ruse » (signé Maufrigneuse, Gil Blas) ; « Un parricide » (Le Gaulois)  26 septembre : « Un vieux » (signé Maufrigneuse, Gil Blas)  9 octobre : « Pierrot » (Le Gaulois)  10 octobre : « Un Normand » (signé

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (la Rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (la Main – la Petite Roque…) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (la Chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). CONCLUSION: Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (La rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (La main – La petite Roque…) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (La chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde qui s’en dégage

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (La Rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (la Main, La Petite Roque) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (La Chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde qui s’en dégage

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (la Rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (la Main – la Petite Roque…) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (la Chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde qui s’en dégage

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (la Rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (la Main – la Petite Roque…) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (la Chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde qui s’en dégage

pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite ou en prenant la parole devant un auditoire, une histoire qui lui a été racontée précédemment (la Rempailleuse) ou à laquelle il a pris part (la Main – la Petite Roque…) ; ce récit se présentant parfois sous l’aspect d’un manuscrit (la Chevelure) ou d’une lettre (Lui ?). Ainsi la richesse des thèmes abordés, la vision personnelle du monde qui s’en dégage

Maufrigneuse)  30 août : « Correspondance » (signé Maufrigneuse)  1er septembre : « Une veuve »  7 septembre : « Poètes » (signée Maufrigneuse)  14 septembre : « Monsieur de Coutelier » (signé Maufrigneuse)  17 septembre : « La Rempailleuse »  25 septembre : « Une ruse » (signé Maufrigneuse) ; « Un parricide »  26 septembre : « Un vieux » (signé Maufrigneuse)  9 octobre : « Pierrot »  10 octobre : « Un Normand » (signé Maufrigneuse)  16 octobre : « Le Pardon

« All’ est tout d’ même encore pu sotte que j’aurais cru. All’ n’ savait point c’ qu’all’ faisait, c’te niente. Au prône du dimanche suivant, le vieux curé publiait les bans de M. Onufre-Césaire Omont avec Céleste-Adélaïde Malandain. 100 La rempailleuse À Léon Hennique. C’était à la fin du dîner d’ouverture de chasse chez le marquis de Bertrans. Onze chasseurs, huit jeunes femmes et le médecin du pays étaient assis autour de la grande table illuminée, couverte de fruits et de fleurs. On vint à