La Responsabilité Chez Sartre

première thèse semble en effet dénuée de valeur puisque de nombreux arguments jouent en sa défaveur, mais pour autant notre liberté est-elle nulle ou simplement limitée ? Devons nous renoncer à la liberté ? 1- Le fatalisme : La notion de liberté est, chez les Grecs, étroitement liée à celle de fatalité. Le Destin est le représentant de cette fatalité ; il gouverne le cours des évènements ; ceux-ci sont prédéterminés et prennent place dans un ordre cosmique auquel rien n’échappe (pas même les dieux)

pas dans la société. Il vise à éveiller les consciences. * Sartre Le rôle de l’écrivain selon Sartre est une idée de dévoilement du monde et plus précisément de l’homme à d’autres hommes. Il le compare même à des armes. Sartre veut qu’on dénonce des choses qu’on sait. Il doit donc faire attention, il a une certaine responsabilité. L’écrivain dévoile tout cela pour aider l’homme à comprendre les autres et à prendre ses responsabilités. Il insiste sur le langage ainsi que sur le silence car les deux

HUIS CLOS de Jean-Paul Sartre FICHES DE TRAVAIL réalisées par Friederike Scharf Jean-Paul Sartre, Huis Clos. FICHES DE TRAVAIL réalisées par Friederike Scharf SOMMAIRE I. Questionnaire...................................................................................................................... p.3 II. Pour interésser vos élèves à la pièce. 1. La naissance de Huis clos par Jean-Paul Sartre ............................

le fait d’être libre ? Quelles sont les limites de la liberté ? Pour répondre à ces questions nous nous intéresserons d’abord à la définition de la liberté et la notion de conscience qu’elle entraine. Dans une seconde partie nous verrons que la responsabilité va de paire avec la difficulté d’être libre. Tout d’abord, La liberté est une propriété fondamentale, elle sert à pouvoir se projeter dans l’avenir et suppose l’absence de contraintes extérieures. Cette définition suppose que la liberté de l’individu

doctrine, écrivant, dans la « Lettre à Ménécée », que c’est du plaisir qu’il faut partir pour déterminer ce qu’il faut rechercher ou fuir. Mais le désir n’en est pas moins lié, chez Epicure, à l’ « ataraxie », correspondant à la tranquillité de l’âme et à l’absence de souffrance. Le plaisir est donc à ce titre défini, comme chez Platon, mais dans une perspective différente, de manière négative. Tous les plaisirs ne sont pas bons, et il existe certains désirs que nous devons éviter de satisfaire, si nous

l’immoralité consiste, pour Alain, à refuser de penser, à ne se poser aucune question de soi-même à soi-même. L’immoralité prend sa source dans la paresse, dans la lâcheté des hommes devant leur propre jugement. La moralité, au contraire, repose sur la responsabilité du sujet qui interroge sa conscience morale. Chaque conscience a à la fois le droit et le devoir de se constituer en juge de soi-même. Penser, c’est penser par soi-même nous dit Alain. C’est cette exigence qui rend l’homme respectable. En creux

l'absurde » Au XXe siècle, le plus populaire parmi les mouvements d’avant-garde fut le théâtre de l’absurde. Héritiers spirituels de Jarry, des dadaïstes et des surréalistes, influencés par les théories existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959)

communistes. (p. 259 sqq) Puis pour la situation dans l’immédiat après-guerre, le point de vue des historiens est plutôt négatif ou plus précisément il prend la forme d’un constat : la disparition du surréalisme après 1939, comme déjà l’avait diagnostiqué Sartre au lendemain de la guerre dans « Situation de l’écrivain en 1947 » en associant paradoxalement le destin de Breton et celui de Drieu : Tous ont été victimes du désastre de 1940 : c’est que le moment de l’action était venu et qu’aucun d’eux n’était

La liberté a un corollaire : la responsabilité. Chaque fois que je décide seul de mes choix, j’en suis aussi seul responsable. Individuellement comme collectivement, l’on ne peut exercer sa liberté sans assumer la responsabilité qui va avec, à l’égard de soi-même et des autres. C’est pourquoi la liberté, qui donne à la vie sa saveur, lui donne aussi sa dignité. Quelques références philosophiques : - Le savoir rend libre Le savoir c’est le pouvoir. - Sartre : l’homme est condamné à être libre

que nous faisons car notre conscience peut être influencée.     Tout d'abord, la conscience permet a l'Homme de créer lui-même des illusions, naturellement l'être humain veut savoir beaucoup de choses sur sa propre identité. Nous pouvons dire que chez l'Homme, la conscience peut provoquer des états d'inconsciences cela signifie que l’homme possede des choses présentes dans son « âme » mais dont il n’a pas conscience de posseder.  La encore les limite de la conscience apparaissent en d’autre terme