La Revolte Peut Elle Etre Un Droit

Les révoltes antifiscales du XVIIe siècle Si faire un bilan des violences et des actes de répressions en ce qui concerne les révoltes populaires est une tâche abordable, il est beaucoup plus compliqué de reconstituer les opinions et revendications des paysans insurgés, tant les textes sont rares. En effet, le XVIIe siècle est un siècle traversé par les révoltes et révolutions, surtout en France dont les campagnes sont densément peuplées. Le royaume est puissant, et possède la paysannerie

 La notion de « révolte », dont l’étymologie latine signifie « renversement », est une grande notion de la littérature. Elle est traitée depuis l’Antiquité, avec notamment la révolte des Titans contre les Dieux de l’Olympe, les héros des légendes mythiques tels Achille ou Héraclès, ou encore Prométhée qui a volé le « feu sacré » des Dieux pour le donner aux Hommes. La révolte fut ensuite traitée en littérature durant les différentes périodes de l’Histoire. L’écrivain du XXème siècle Albert Camus

militant, fort et engagé. On rejoint ce courant de l’histoire et le grand courant de l’histoire doit se poursuivre grâce à chacun. Et ce courant va vers plus de justice, plus de liberté mais pas cette liberté incontrôlée du renard dans le poulailler. Ces droits, dont la Déclaration universelle a rédigé le programme en 1948, sont universels. Si vous rencontrez quelqu’un qui n’en bénéficie pas, plaignez-le, aidez-le à les conquérir. […] C’est vrai, les raisons de s’indigner peuvent paraître aujourd’hui moins

qui recède le retour du roi Ferdinand ) d’illustrer les épisodes les plus marquant de la révoltes des madrilène contre les troupes française.Il peint la révolte du 2 Mai 1808 (le dos de Mayo) et sa répression (le très de Mayo). Goya a peint les soldats de Napoléon qui exécute les Madrilènes qui s’était révolté la veille. Dans la nuit du 2 au 3 Mai 1808, l’armée de Napoléon exécute les Espagnols Qui se sont révolté à Madrid Dans la journée du 2 mai. Ce tableau et la suite du dos de mayo Ce tableau

les moyens de se révolter, de désobéir à cet Etat totalitaire qu’était le III° Reich, comme les Résistants ont eut le courage de le faire ? Là est toute la complexité du problème. Obéir, c’est accepter de s’en remettre à une tutelle morale et politique, une force supérieure qui saurait ce qu’il est bon de faire ou non. Mais cette sujétion, demandée à tous les citoyens d’un Etat, doit-elle se faire aveuglément, sans réflexion ? Et si je refuse cette soumission, que je me révolte, qu’est-ce que

Texte A : La Bruyère, Les Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688. Texte B : Diderot et D’Alembert, Encyclopédie, article “Misérable”, 1751-1772. Texte C : Victor Hugo, Discours à l'Assemblée, 30 juin 1850. Texte D : Albert Camus, L’homme révolté, Gallimard, 1951 Texte A : La Bruyère, Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688.    L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils

otage des ambassadeurs romains et réclamaient les otages livrés à César. Conséquence: le sénat vénète est exécuté et une partie de la population est vendue comme esclaves. Les Gaules sont alors sous la domination romaine à partir de -56/-54. On peut remarquer que cette conquête fut plutôt facile contrairement à celle de l'Espagne et du sud de l'Italie. Peu de peuples protéstèrent et César trouva beaucoups d'amis parmis les riches Gaulois qui furent à son service: le plus célèbre étant Versingétorix

la liberté de presse et la liberté d’expression, surtout avec les décrets de Carlsbad (1819). Sur le panneau au dessus de la table, il est écrit : « Sujet important pour la réunion d’aujourd’hui : Combien de temps allons-nous être autorisés à penser ? » Le règlement à droite énonce : « La première règle d’une société savante est le silence. Pour qu’aucun membre n’aille en prison parce qu’il a parlé librement, des muselières seront distribuées à l’entrée. » Document 3 : Dans l’hymne de Mameli,

1789 à 1799 en France. Cependant, après bien des siècles de soumission face à l'homme, une majorité de femmes voient en la Révolution, période de révolte et de remise en question de la France, un espoir de changement et se révoltent pour acquérir l'égalité face à l'homme. Au 18eme siècle, dans une société où la femme a toujours été perçue comme un être inférieur à l'homme, comment va t-elle participer à la révolution et quelles en seront ses limites ? Pour envisager cette question, il sera d'abord

richesse des villes attire les pauvres des campagnes proches et lointaines et en fait l’espace principal de la vie sociale, celui vers lequel convergent aussi bien les richesses que la pauvreté, donc les problèmes et les conflits que cette proximité ne peut manquer d’engendrer. Car, pour les citadins, l’irruption de la population pauvre fait que la ville devient un espace propice au crime, à l’insécurité civile et sociale. Face à cette insécurité, la solution trouvée est de déplacer les pauvres à la périphérie