La Révolte

malaise social s'installe, exploité par l'émergence des forces de gauche. Un premier signe d'alerte est donné lors des élections législatives. Mais cette différence entre le pouvoir et la société apparaît au grand jour avec la révolte étudiante de mai 1968. II. La révolte étudiante * Dans les années 1960, au sein d'une partie de la jeunesse, les idées maoïstes et la lutte menée par Che Guevara deviennent des références. La politique réactionnaire du général De Gaulle est montrée du doigt

et leurs campagnes) organise la révolte. ainsi, Marseille, Nîmes, Rouen s’insurgent ce qui engendrera une répression sanglante. Ces révoltes constituent un «modèle réduit» de ce qui se prépare en Vendée qui éclatera en 1793, emmenant avec elle tout l’ouest. Ce mouvement est lié à la guerre. En effet, la Convention décida de renflouer son armée en contraignant les cantons à fournir des hommes. Mesures extrêmement impopulaires qui va conduire à une véritable révolte organisée face à la Révolution.

publicité et des médias, avec lesquels il est en affinité, devient un conformisme à l'envers, une nouvelle manière, tout aussi excessive et ridicule, d'être un mouton, Un exemple d'anticonformisme qui a marqué l'histoire, est la revolte des « hippies » contre les Etats Unis durant la guerre du Vietnam, le conflit Vietnamien dura de 1959 à 1975. C'est un désaccord politique de l'époque qui engendra cette guerre. Celle-ci opposait les communistes avec la république démocratique et

une nouvelle catégorie sociale mais ces modifications structurelles seront à l’origine des nouveaux comportements juvéniles. Une nouvelle culture venue d’Amérique influence les jeunes de la petite bourgeoisie à se révolter contre l’autorité parentale et l’école. Survient également la révolte étudiante expliquée par la mutation du monde étudiant (multiplication x4 des étudiants des couches moyenne // à ceux des couches élevées). Celle-ci entraîne, en 1956, la transformation l’UNEF en un véritable syndicat

La noblesse, après les défaites de Crécy en 1346 et de Poitier en 1356, est discrédité. Froissard livre ainsi que les cent premiers revoltés "dirent que tous nobles du royaume de France, chevalier et ecuyers honnissaient et trahissaient le royaume, et que ce serait grand bien qui tous les détruirait" Marquant ainsi clairement la rancoeur de ces premiers revoltés face à la noblesse. De plus, les grandes compagnies, lorsqu'elles ne guerroient pas pour l'un ou l'autre des partis, rançonnent le

cours de l’histoire romaine il y a eu trois grandes révoltes d’esclaves qui furent écrasées. Les deux premières eurent lieu en Sicile vers 139-132 avant J-C pour la première, et entre 104 et 100 avant J-C pour la seconde. Ces révoltes se produisirent à une époque où de grandes quantités d’esclaves de même nationalité étaient réunies. La troisième eut lieu en Italie, de 73 à 71 avant J-C, et fut dirigée par Spartacus. Lors de la troisième révolte, un grand nombre d’esclaves de nationalités et de

fracture générationnelle qui débute en France avec les événements de Mai 68. Ce document est complété par celui d’Alan Dister qui ne prend en compte que le message de la Beat Generation (artistes et écrivains américains des années 60), inspiratrice des révoltes et des démesures des années 60 et 70. L’essai autobiographique d’Annie Ernaux est un texte plus littéraire dont on doit se servir pour montrer gestes et langage de la jeunesse matérialiste des années 90, sous le regard ironique de la narratrice qui

années 1960-1970, contexte sociohistorique dans lequel émerge ce roman. Un désir paradoxal de rompre avec le passé et de renouer avec son unité originelle, passé interprété à la fois comme source de l’aliénation présente et comme origine des premières révoltes nécessaires à la prise de conscience actuelle, imprègne ainsi non seulement les intentions de l’auteure et le discours de l’héroïne-narratrice, mais également la structure énonciative et temporelle du roman. Le roman Kamouraska [1] d’Anne Hébert

Projet Le célèbre mur séparant Berlin-Est et Berlin-Ouest fût bâti une nuit d’août 1961 et tomba plus de vingt-huit ans après, en novembre 1989 suite à de nombreuses révoltes. Et si ces révoltes n’avaient jamais existé ? Mon imaginaire m’a emmené jusqu’en 2011 sans que le mur n’ait subit de révolte et en a fait son territoire. En vingt-huit ans les deux côtés ont évolué chacun dans deux voies opposées, jusqu’à créer un énorme contraste au niveau du mur. A quoi ressemblerai-ce aujourd’hui, vingt-deux

du conflit on a donc affaire à une dramaturgie du conflit entre Créon qui représente le respect contre Antigone, une jeune adolescente. -Créon est en situation de demandeur bien que hiérarchiquement supérieur, car il veut qu’Antigone renonce à sa révolte, renonce à enterrer son frère. -Les pronoms de la 2ème personne par lesquels Créon désigne Antigone afin d’attirer l’attention, il utilise également l’impératif L45 et L39 « ai pitié de moi » -> fonction conative qui montre la position supérieur de