La Revolution Démocratique De Alexis Tocqueville

              Napoléon vaincu, Louis XVIII revient sur le trône et on applique à nouveau la charte de 1814. En juillet 1830, suite à une révolution, le roi Charles X est déposé et c’est Louis Philippe qui monte sur le trône en modifiant profondément la charte. La charte de 1830 ouvre le régime de la « monarchie de juillet ». Celle-ci dure 18 ans, puis une nouvelle révolution républicaine renverse la monarchie : les révolutionnaires instaurent uneConstitution de la République française en 1848 et avec elle

de l'homme-masse CHAPITRE III ÉLITE ET DÉMOCRATIE: LA DIALECTIQUE ÉLITE-MASSE FACE À L'ÉLITISME DE LA PREMIÈRE MOITIÉ DU XX E SIÈCLE 88 3.1 88 Repères communs sur les notions d'él ite et de démocratie 3.2 École italienne et élitisme démocratique 91 3.3 La dialectique et la démocratie: particularités et originalité 95 Grandes 1ignes de comparaison 95 3.3.2 Libéralisme et démocratie chez Ortega 3.3.3 Le conflit liberté/égalité 97 lOI 3.3.4 Particularités et originalité

plus efficace contrepoids aux prétentions du pouvoir central, fussent-elles étayées par l'anonymat de la volonté collective. » Alexis de Tocqueville [ 5 Introduction Au cours de l’histoire, les Etats pouvaient se constituer soit en Etat unitaire soit en Etat fédéral. L’Etat unitaire est un des aboutissements de l’affirmation de la souveraineté royale les révolutions ont certes changé les modes d’exercice du pouvoir. Elles n’ont souvent pas modifie la structure centralisée de l’exercice de

courants On distingue trois grands courants: - Le Libéralisme: donne son impulsion initiale à la Révolution et qui va dominer pendant toute la 1ere partie de la période Révolutionnaire - Le socialisme: prend corps au cours de la Révolution et va dominer dans la pratique à l'époque de la Montagne et au travers la Constitution de 1793. - Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire. Partie I : LES LIBERALISMES

a posé ses jalons à partir du XVI et XVII siècles avec les découvertes scientifiques et techniques. La révolution galiléenne et la découverte du calcul infinitésimal par Leibniz et Newton ont profondément modifié la conscience que l'homme a de lui-même et de sa place dans l'univers. La représentation héliocentrique constitue ainsi une révolution spirituelle autant que scientifique. La révolution copernicienne a substitué un univers infini et homogène au cosmos fini et hiérarchiquement ordonné de

systèmes démocratiques A/ Le régime présidentiel : une séparation rigide du pouvoir  Définition et caractéristique  Le principe de séparation des pouvoirs  Le régime présidentiel est différent du régime présidentialiste B/ Le régime parlementaire : un assouplissement de la nature rigide de la séparation des pouvoirs  Loi de Chekc and balances : Montesquieu III- La démocratie libérale, pluraliste A/ Les principes de la démocratie libérale, pluraliste  Une légitimité démocratique  Organisation

La France du XIXème siècle : 1814-1870IntroductionLe XIXème siècle : une société bouleversée par la révolution, et riche en politiqueI) Découper le XIXème siècleA) Forte conscience du temps :Siècle particulier, époque originale. Poème Victor Hugo 1831, après révolution de juillet : siècle confus où tout se mélange. Alfred de Musset , roman : la confession d’un enfant du siècle, 1836 = le mal du siècle, guerre terminée, l’empire est terminé

31.] Ce gouvernement se fonde sur la crainte car « le pouvoir immense du prince y passe tout entier à ceux à qui le confie. Des gens capables de s’estimer beaucoup eux-mêmes seraient en état d’y faire la révolution. Il faut donc que la crainte abatte tous les courages, et y éteigne jusqu’au moindre sentiment d’ambition »[footnoteRef:20]. Cette notion de la crainte a été aussi abordée par Machiavel dans Le prince. Il dit à cet effet : « 

partir de la révolution française ce principe est posée dans la constitution de 1793 mais celle-ci n’a pas été achevé il faudra donc attendre 1848 pour que débute véritablement le SU. C’est la France qui l’introduit lors de la 2nd république et la Suisse suit la France. Cette 1ere phase s’achève lors de la fin de la 1er GM se propage en Europe occidentale. Ce qui a prévalu c’est une croyance d’une évolution inéluctable du SUM, et cette vision apporté par un auteur Alexis de Tocqueville dans l’ouvrage

sur 800'000 qui quittent l’école sans diplôme. Quel gâchis ! Il m’est pénible de constater qu’1/8 des élèves lâchent prise (pour la plupart de milieu désavantagés). Comment l’école peut-elle prôner l’égalité de chances dans un système qui ce veut démocratique mais qui au final ne fait que reproduire, voir, qu’accentuer le processus de sélection sociale. J’en viens à conclure qu’il s’est mis en place un système de sélection « naturel », un tri social, à travers l’école. Dont je n’avais pas pris conscience