La Richesse Chez Les Physiocrates

protestante et l’esprit du capitalisme, 1905). Il explique qu’avec la Réforme, le travail devint une nouvelle vertu : auparavant destiné à la seule survie, il devint l’origine de la richesse et de son accumulation qui, selon la logique protestante de la prédestination, serait un signe d’« élection divine ». Le travail et la richesse qu’il produit concourent à la gloire de Dieu ; le temps est précieux et l’épargne devient une vertu. La pensée protestante transmettrait aussi selon lui l’éthique du métier,

cette approche a l’économie, cela conduirait à considérer l’histoire des idées en économie comme un complément de formation, c’est-à-dire qui s’approcherait de la culture générale. Et donc dans cette perspective une étude approfondie des textes des physiocrates serait ainsi du même ordre que l’étude qui pourrait être conduite des travaux scientifiques de l’époque où l’on considérait que la terre était au centre de l’univers. Cette vision de l’HPE, vu comme la tentative pour reconstituer une histoire faite

rare tout bien qui répond simultanément à deux questions. Il doit à la fois répondre à un besoin pour être demandé et ne pas être donner à confusion par la nature afin qu’une offre se manifeste. De la conception étroite des classiques limités aux richesses matériels la sphère de l’économie s’étend progressivement à tout ce qui satisfait un besoin. L’utilité se reconnait au fait que les biens rares sont tous ceux qui s’échange contre de la monnaie ou tout bien de même nature. Cette définition inclus

difficulté de son extraction en fait un étalon monétaire judicieux. Distinction entre valeur et richesse[modifier] «Un homme est riche ou pauvre en fonction des moyens dont il dispose pour se procurer les biens nécessaires, commodes et agréables, de la vie » Adam Smith 3 Ricardo a travaillé sur une distinction entre valeur et richesse4. « La valeur diffère donc essentiellement de la richesse car elle ne dépend pas de l’abondance, mais de la difficulté ou de la facilité de production. »

On discute des problèmes économiques et l'on essaie de trouver des solutions. Début de la théorisation…début de tentative d’expliquer les phénomènes… Théories encore très simple Ex : Expliquer le phénomène de l’inflation, origine de la monnaie, richesse d’un pays Ce sont les premiers à proposer des politiques économiques à la monarchie qui découlent de leurs théories économiques. Leurs politiques économiques sont très appliquées. Ils sont beaucoup impliqués dans le commerce, proches du pouvoir

argent). C’est au cours de cette période que s’est développé le courant mercantiliste notamment par les monarchies absolues de France et d’Espagne. Cette théorie fait de l’accumulation de métaux précieux (comme l’or et l’argent), la source de la richesse et prône un excédent commercial. Cette théorie prend pour objectif le renforcement de la puissance de l’Etat, représenté par le monarque absolu. Dans ce sens est prônée une « guerre commerciale » se basant sur le protectionnisme et l’interventionnisme

paysan à bousculer ses coutumes et montre que les progrès agricoles ne sont pas accessibles à tous. Par exemple, la moisson se fait par tradition, à la faucille, alors que la fau est plus efficace et permet un travail rapide. Puis, nous retrouvons chez les Hommes du 19ème siècle le modèle proposé par les révolutionnaires : pour eux, l’idéal agricole est celui de la petite propriété paysanne. C’est-à-dire que le paysan veut mettre lui-même en valeur son exploitation. Enfin, les institutions de cette

construction économique au-delà de ce concept (Au-delà de la rareté, 2001, Albin Michel). La croissance est quantitative, le développement est plutôt qualitatif. Dans la notion de développement, on intègre des IDH qui ne se limitent pas à la production de richesse marchande mais intègre d'autres notions. D'autres auteurs dits d'économie durable intègrent d'autres notions, comme le social et l'écologie. Chacun a sa conviction personnelle de l'économie. Première partie: Histoire de la pensée économique

ECONOMIQUE Introduction: C'est vers la fin du XVIéme qu'arrive la pensée économique. Avant cela restait une question vaste. Au XVI apparait alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le

Locke, Petty, etc. XVIe / XVIIIe Caractéristiques communes : - L'enrichissement est une fin louable en soi : la recherche de la richesse crée la richesse. En voulant faire du profit on dépasse sa souffrance et on enrichit la société toute entière. ==> Comment peut-on enrichir la Nation, favoriser le développement économique ? ==> Comment mesurer la richesse ? - Bien que l'enrichissement personnel favorise l'intérêt général, l'économie doit rester au service du pouvoir. L'enrichissement