La Rochefoucauld Maximes

empêcher une forme de transparence absolu mais l’amour restera une force qui empiétera sur la lucidité. c) Les sources philosophiques de la peinture de l’amour de MDL En dialogue avec un texte de Descartes « le traité des passions » et aussi les maximes de LaRocheFoucauld qui sont des textes qui sont lus dans les salons (cf : les lettres de Madame de Sévigné), ce n’est pas une connaissance de seconde main qu’elle va avoir mais va intérioriser les discours philosophiques. Donc, MDL est en dialogue

  • La comédie fait appel au jugement moral (Molière).  • La poésie officielle, composée pour fêter les grands événements du royaume (Malherbe), la poésie burlesque (Scarron), la poésie mondaine (Boileau), le portrait (La Bruyère), les maximes (La Rochefoucauld), la fable (La Fontaine), le roman (Mme de Scudéry).  Le classicisme prendra fin avec la Querelle des Anciens et des Modernes qui trône l’émancipation des modèles antiques. III. La peinture classique Nicolas Poussin. La notion

annoncez un malheur qui vient de vous frapper. Vous verrez alors se peindre sur ses traits une affliction vraie, profonde et sans mélange, ou au contraire, par son calme imperturbable, par un trait se dessinant fugitivement, il confirmera la maxime de La Rochefoucauld : « Dans l’adversité de nos meilleurs amis, nous trouvons toujours quelque chose qui ne nous déplaît pas. » Ceux qu’on appelle habituellement des amis peuvent à peine, dans ces occasions, réprimer le petit frémissement, le léger sourire

de la raison, il s’agit de présenter des éléments objectifs. >> ( arg. rationnels, preuves logiques, de l’histoire, de l’actualité, et utiliser des connecteurs logiques.) Genres : - La Maxime : phrase courte qui énonce une cérité morale/ Le but est d’étonner le lecteur et de le faire réfléchir ( La Rochefoucauld au 18ème ) - Le fragment : c’est un texte inachevé qui est constitué de nombreux points de vue avec un mélange d’anecdotes, de réflexion. Le but est de susciter les réflexions du lecteur

qui annonce les thèmes du roman : le mariage, l’abnégation (= le renoncement à la passion pour le duc de Nemours, un amour sacrifié). Mme de Lafayette était proche du moraliste La Rochefoucauld (auteur classique) qui fait une analyse très critique de la société mondaine, mais aussi du cœur humain. Il a écrit des « maximes » qui montrent le pouvoir et les bassesses du cœur humain. Conclusion : - résumer chaque partie du développement. - suite du roman : Mlle de Chartres deviendra Mme de Clèves, mais

on parle de « métaphore filée ».Ex : « Les défauts de l’âme sont comme les blessures du corps : quelque soin qu’on prenne de les guérir, la cicatrice apparaît toujours, et elles sont à tout moment en danger de se rouvrir. » (La Rochefoucauld, Maximes). Dans cette maxime, la comparaison entre « les défauts de l’âme » et les « blessures du corps » se poursuit par une métaphore filée (« Cicatrice », « rouvrir ») qui approfondit l’image initiale.- Le symbole :Cas particulier de la métaphore, il évoque

que ses conditions de vie sont supérieures à celles des non-citadins Vivacité et trouvailles Vivacité du récit 1. Interventions du narrateur envers le lecteur : L’homme et son Image : autant chercher à se connaître à travers les Maximes (La Rochefoucauld, auteur de Maximes) que de fuir les miroirs. « Je parle à tous » -> procédé qui rend le ton des fables léger 2. La Mort et le Bûcheron : quelques notations réalistes, comme un tableau forestier. Rythmes : alexandrins, 2 hémistiches de même longueur

morale nous commande d’ériger la maxime de nos actions en règles universelles (les maximes « ne tue pas », « ne vole pas », peuvent être universalisées sans contradiction, et non « tue », « vole », etc.), elle présuppose que la maxime de notre action peut être dite, publiée, affichée universellement et proclamée de telle manière qu’elle soit approu-vée du pire coquin, s’il juge un instant de bonne foi. Or comment tuer, voler, piller, etc., sans mentir sur la maxime de son action en proclamant par

  • La comédie fait appel au jugement moral (Molière).  • La poésie officielle, composée pour fêter les grands événements du royaume (Malherbe), la poésie burlesque (Scarron), la poésie mondaine (Boileau), le portrait (La Bruyère), les maximes (La Rochefoucauld), la fable (La Fontaine), le roman (Mme de Scudéry).  III) les auteurs connus de l'époque et leurs oeuvres Corneille : Né à Rouen le 6 juin 1606, dans une famille de magistrats. Il fait ses études chez les jésuites (la compagnie de

donnent l’impression d’être liés l’un à l’autre. Cet étrange comportement absurde et excentrique des personnages ressemble à ce qu’on appelle l’amitié. L’amitié est, selon La Rochefoucauld « ce que les hommes ont nommé amitié n’est qu’une société, qu’un ménagement réciproque d’intérêts, et qu’un échange de bons offices [...] » (Maximes, 1664). A l’inverse, Montaigne exprimait la spontanéité d’une amitié directe, non conceptualisée, fondée sur le mystère et la beauté énigmatique d’une simple rencontre.