La Révolte Est Elle Légitime

Pourquoi la période 1789-1793 constitue-t-elle une rupture ? Vous mettrez en évidence les transformations politiques et sociales en vous appuyant sur quelques événements clés. (durée de l’épreuve 1h). intro :Etant en pleine monarchie absolue de Louis XVI, souverain détenant tous les pouvoirs (executif, législatif, judiciaire et militaire), les français n'apparaissaient à ses yeux que comme ses sujets. De plus en plus critiqué (par les lumières notamment), le régime se retrouve renversé par de nombreuses

« Non sire, ce n’est pas une révolte c’est une révolution » cette phrase célèbre du comte de la Rochefoucauld -Liancourt à Louis XVI marque la nuance entre les deux notions, l’étymologie du terme « révolte » l’éclaire. Le verbe italien rivoltare signifie « faire face, se retourner ». La révolte est le « sursaut de la conscience face à un sentiment d’injustice, à une situation de soumission jugée inacceptable » (Grand Robert de la langue française). L’homme révolté décide de ne plus tourner le dos

traitement du sujet : Sur quoi ma conscience morale fonde-t-elle sa légitimité ? Nous avons une conscience morale, qui nous permet de concevoir le bien et le mal. Cette conscience est censée se manifester en moi comme en tout sujet. Elle est supposée légitime, c’est-à-dire fondée en droit ; cela suppose qu’elle procède de règles identifiables. Ces règles constituent-elles un droit antérieur, sur lequel la conscience morale s’appuierait, ou bien sont-elles produites par notre moralité même ? La conscience

18 e siècle (apparition des fonctionnaires , bureaucratie , familiarité de l'État) . -Processus long et complexe Max Weber : Le cadre est la forme de la domination politique. Monopole de la violence physique légitime . Processus du monopole de la violence physique légitime : 1-Spécialisation des métiers : bureaucratie fonctionnaire 2-centralisation de la coercition : l'État qui à le contrôle de la force 3-processus d'institutionnalisation :éclatement des pouvoirs et des fonctions

La Peste est un roman d'Albert Camus, sorti en 1947. C'est aussi la première œuvre du cycle de la révolte dans lequel suivront L'État de siège, Les Justes et l'Homme révolté. L’histoire se déroule dans les années 1940, pendant la période de l'Algérie Française. Elle raconte sous forme de chronique la vie quotidienne des habitants touchés par l'épidémie de peste qui balaye la ville d'Oran. Le texte est extrait du troisième chapitre de la partie V du roman. Le lendemain de la mort

n'est qu'un mirage. La révolte est donc inévitable. Pour assurer la cohésion du mouvement de révolte, l'élite des colonisés en arrive souvent à affirmer les « valeurs refuges », régressives, que sont la tradition, la famille et, plus encore, la religion, ce qui est lourd de dangers, une fois l'indépendance obtenue. La seconde figure est celle du « colonisateur qui s’accepte comme colonisateur », autrement dit du colonialiste qui, « explicitant sa situation, cherche à légitimer la colonisation » –

monstres marins possédant cinquante têtes et cent mains, ainsi que les cyclopes. Mais Ouranos était furieux de sa progéniture monstrueuse, et il jeta Centimanes et Cyclopes dans le Tartare. Gaïa fut prise de colère et invita les Titans à se révolter. Le seul à se révolter fut Cronos. Il blessa son père à l’aide d’une faucille, jeta son corps dans Océan (Titan fils d’Ouranos et Gaïa). Ouranos féconda donc Océan, qui donna naissance à Aphrodite, qui apparut dans un coquillage à Cythère. Cronos devint alors

l'Etat. Tout d'abord nous allons donc voir que l'Homme à la possibilité d'enfreindre les lois. En effet plusieurs cas peuvent nous pousser à enfeindre la loi. Je prend d'abord le cas dans lequel nous trouvons une loi injuste. Dans ce cas il semble légitime de ne pas vouloir obéir à une loi. Puisqu'une loi est censé assurer la justice pour la société, le fait qu'elle soit injuste peut nous nous obliger à ne pas la suivre. Par exemple, une loi interdit de donner la nourriture que les magasins jettent

reconnaît qu'il est à un certain moment d'une courbe qu'il confesse devoir parcourir. Il appartient au temps et, à cette horreur qui le saisit, il y reconnaît son pire ennemi. Demain, il souhaitait demain, quand tout lui-même aurait dû s'y refuser. Cette révolte de la chair, c'est l'absurde. Un degré plus bas et voici l'étrangeté : s'apercevoir que le monde est « épais », […] avec quelle intensité la nature, un paysage peut nous nier. […]. De même qu'il est des jours où, sous le visage familier d'une femme

.] Il appartient au temps et, à cette horreur qui le saisit, il y reconnaît son pire ennemi. Demain, il souhaitait demain, quand tout lui-même aurait dû s'y refuser. Cette révolte de la chair, c'est l'absurde ». A dit Albert Camus. L'homme absurde « Je tire de l'absurde, dit Camus, trois conséquences qui sont ma révolte, ma liberté, ma passion. Par le seul jeu de ma conscience, je transforme en règle de vie ce qui était invitation à la mort - et je refuse le suicide ». Ainsi se définit l'attitude