La Révolution Keynésienne

LES POLITIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES: RELANCE ET STABILISATION   I.  Comment justifier l’intervention de l’Etat ? L’Etat intervient pour compenser les déséquilibres du marché. Il sert d’amortisseur aux crises économiques (c’est la théorie keynésienne : c’est à dire que l’Etat fait en sorte à ce qu’il y ait plein emploi, il régule le marché pour réduire le chômage). Il intervient aussi pour corriger la répartition des richesses. On entend par "intervention" une régulation concernant: * l’affectation

la rareté des ressources,, les besoins et la triste science de Malthus L’histoire de la pensée économique – Les grands courants ( classique, keynésien, Marxiste, monétariste,...) et leur répercutions sur la société Les agrégats macro-économiques L’offre et la demande Croissance, chômage, emploi, Inflation ,... Politique publiques et approche keynésienne Organes internationaux (FMI, OMC,...) 3 Partie I Introduction -La rareté des ressources, - L’utilité marginale - Les besoins - La loi de

21. Qu’entend- on par loi économique ? Exemples 22. Implication de la loi des débouchés de Jean Baptiste Say. 23. La tradition libérale : continuité et rupture entre les classiques et les néo classiques. 24. En quoi consiste la révolution keynésienne ? Questions sur le producteur 25. Par quel processus arrive-t-on expliquer la réalisation de l’objectif du producteur ? 26. Qu’entend-on par productivité d’un facteur de production ? 27. La productivité marginale d’un facteur

Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi à partir de : Jacques Parizeau Professeur d’économie, École des Hautes Études Commerciales, Montréal, “Les post-keynésiens et la politique économique contemporaine” Un article publié dans l’ouvrage de François-Albert ANGERS, ESSAI SUR LA CENTRALISATION. ANALYSE DES PRINCIPES ET PERSPECTIVES CANADIENNES. Deuxième partie, chapitre VII, pp. 291 à 313. Montréal : Les

que d’un retour de l’Etat. Qu’il s’agisse des recapitalisations et des garanties accordées aux principales banques occidentales, des plans de soutien aux industries en danger, de la sempiternelle « relance par la consommation » et des critiques keynésiennes à l’encontre des « défaillances du marché », la météo annonce un gros temps sur la tête des libéraux. Ceux-ci semblent se réfugier sous la capuche de leur ciré jaune, une lanterne à la main, et tentent désespérément de rallumer les balises du phare

l’économie est dynamique (en macro keynésienne, l’aspect temps est négligé) elle s’étudie dans le temps. On parle de conjoncture. Les économistes distinguent pour chaque économie un taux de croissance structurel, le trend. Autour de celui-ci évolue le taux de croissance conjoncturel. log PIB (Y) « Trend » (tendance) temps Pour des outils efficaces durablement, il faut impérativement inclure la notion de dynamique. Par certains outils (keynésiens notamment), on peut travailler

monétaristes de l’école de Milton Friedman critiquent les politiques monétaires d’inspiration keynésienne. ⇒ l’économiste libéral américain von Hayeck dvp une même critique de ces politiques keynésiennes, ds lq il voie la crise actuelle de l’inflation du crédit, qu’elles auraient provoquer en faisant baisser les taux d’intérêt. Les thérapeutiques pour sortir de la crise prennent le contre-pied de l’analyse keynésienne : - réduire la pression fiscale - libérer le marché du travail, principe de la déréglementation

variations de stocks stockage qui accélère la croissance puis déstockage qui aggrave la récession. * Les cycles longs intéressent les marxistes, les schumpétériens et les régulationnistes, les cycles courts intéressent plus les néoclassiques et les keynésiens. 2. Les cycles constitueraient des régularités du système économique. * Il y a 5 catégories d’explications des cycles : théories monétaires pures (Cassel, Hawtrey), théories du surinvestissement (Marx, Hayek, Aftalion), théories de la

Patrick VILLIEU (professeur de sciences économiques à Tours), La Découverte, repères (n° 215), 1997 C = consommation, S = épargne, I = investissement INTRODUCTION La formation de la C et de l’S oppose les partisans d’une approche par la demande (keynésiens) à ceux d’une approche par l’offre (classiques et néo-classiques). La baisse de la consommation depuis 1990 appelle à un réexamen de ses déterminants. Politique économique : Faut-il tenter de relancer la C ou inciter à l’S ? § La C : - Est plus

l'économie ? Satisfaire les besoins Le mot économie se refaire a la manière dont les hommes parviennent a satisfaire leurs besoins. Elle a pris une essence dans l'antiquité, elle a connu une premier essors important entre le 18em et le 19em siècle avec la révolution industrielle ( en GB ensuite en France). Des auteurs vont tentés d'expliquer les mécanisme qui permettent de créer des richesses à l'échelle d'une nation. Ces auteurs vont alors proposé des méthodes d'analyse et des modèles d'explication et de