La Révolution Keynésienne

More le critiquent.À la fin du XVIIe siècle, les thèses mercantilistes sont battues en brèche notamment par Quesnay et les physiocrates qui mettent en évidence les interdépendances entre production nationale, revenu national et dépense nationale.La Révolution industrielle voit se développer une économie politique d'inspiration britannique avec Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo et Jean-Baptiste Say qui prônent le libéralisme économique même si l'on peut observer entre ces différents auteurs des

croissance, il peut y avoir des pb de débouchés, il peut y avoir des tendances aux capitalismes a avoirs des déséquilibres.la tentative de modélisation macroéconomique de Marx sera repris au 20 e siècle avec Le modèle d’HARROD-DOMHAR c’est un modèle keynésien de croissance de long terme. Il y a des insuffisances chez Marx, notamment lié à sa théorie de la valeur. Les prix ne convergent pas vers cette fameuse valeur travail. Mais plus globalement, la critique que l’on peut faire de Marx, c’est la critique

plus, si les impôts sont trop élevés, d'après la courbe de Laffer, les agents diminuent leur production. Enfin, les différentes aides sociales peuvent dissuader les individus de travailler, d'où baisse de la production. Les politiques de type keynésiennes sont inflationnistes. 3°) La déréglementation et la perte d'autonomie de l'Etat L'ouverture économique passe par une perte d'autonomie des politiques économiques et financières et leur harmonisation, sans quoi elles sont vouées à l'échec

économique d’ensemble soit « permissif » au progrès technique. Mais l’une des conséquences de la « révolution keynésienne » a été que pendant longtemps a prévalu l’idée que la macroéconomie – la réflexion sur les conditions de l’équilibre d’ensemble - était indépendante de la réflexion sur les comportements individuels. Ceci est en quelque sorte contenu dans la pétition de principe de départ de la pensée keynésienne, puisque celle-ci repose sur l’idée que la demande effective peut ne pas correspondre aux

garder leur bien sous forme de monnaie plutôt que d'actifs productifs : l'investissement chute. La crise amena une remise en question du « capitalisme sauvage » et du libéralisme. Une nouvelle théorie est prise en exemple : La théorie keynésienne qui préconise l'intervention publique (John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi de l'intérêt et de la monnaie, 1936) pour réguler les dysfonctionnements d'un système économique qu'elle qualifiait d'imparfait et de fondamentalement instable

consommation (d’abord aux EUA). B- Une croissance ponctuée de crises.  France et GB durablement touchées par la Grande Dépression entre 1873 et 1896.  Impact plus durable de la crise de 1929 : o Remise en question du capitalisme3 o Politiques keynésiennes : New Deal aux EUA (Roosevelt) 2. 1945-1973 : Les Trente Glorieuses, l’âge d’or de la croissance. A- Triomphe de la société de consommation de masse.  Etude de cas : Sculpture de Duane Hanson (« Supermarket Lady »)  Hausse progressive du

forfait Je m'abonne par Gilles Dostaler Nécessité de l'intervention publique, importance de l'incertitude et de l'irrationnel…, l'approche keynésienne bat en brèche l'analyse économique traditionnelle. John Maynard Keynes (1883-1946) est sans conteste l'économiste le plus célèbre et le plus influent du XXe siècle. Il a donné son nom à une révolution, à des théories et à des politiques. Ce qu'on appelle le "keynésianisme" s'est imposé comme vision dominante des économies et des manières de les

n’accorde confiance à la monnaie et plus personne ne veut être payé en monnaie. Toute monnaie même métallique repose sur la confiance. L’apparition de la monnaie sous des formes maniables comme des pièces, au 6ème siècle av. J-C va entrainer une 3ème révolution éco : le dév du commerce. Parce que la monnaie réduit au minimum les couts de l’échange, parce qu’elle apporte des infos par rapport au cout du produit, le commerce devient + facile à organiser, l’apparition de la monnaie permet des échanges entre

Etat et collectivités locales (infrastructures). Ce capital fixe sert à remplacer les équipements existants (= amortissement) et à accroître le stock de capital fixe installé. A- Les déterminants de l’investissement 1- Pour les économistes keynésiens, le déterminant essentiel de l'investissement est la demande effective, c'est-à-dire la demande anticipée par les entreprises. Les entreprises font des anticipations sur la demande à venir, à la fois sur la demande de biens de consommation et sur

valable (économies de marché capitalistes) – Echo en sciences économiques avec la disqualification des approches autres que néo-classiques strictes: • Délégitimation des approches « hétérodoxes » et marxistes • Délégitimation partielle des idées keynésiennes (et surtout des méthodes « holistes » au profit des micro-fondations) – Idée que la science économique est « achevée » et sûre d’elle-même ANNEE ACADEMIQUE 20112012 ULB - SLIDES HISTOIRE DE LA PENSEE ECO 9 • ECONOMIE COMME SCIENCE