La Science Peut Elle Remplacer La Religion

parfaite connaissance de toutes choses que l'homme peut savoir. ». Ainsi contrairement aux sciences un débat n'est jamais clos, en effet un prof de physique n'enseigne pas un point de vue c'est a dire une opinion dépendante de ses idées ou de ses préférences mais il enseigne des vérités objectives basé sur le concret. Arrivés à ce point certains émettrons une objection contre la légitimité de la philosophie, en effet si la philosophie n'est pas une science elle ne pourrait pas être une discipline sérieuse

: celui-ci est une substitution aux refoulements personnels, entraîne un sentiment d'identification et stimule la satisfaction narcissique des idéaux. Mais finalement, le fonds animique culturel le plus important selon Freud est représenté par la religion. Chapitre III Dans ce troisième chapitre, Freud tente de répondre à la question suivante : « En quoi consiste la valeur particulière des représentations religieuses ? ». Pour se faire, il affirme tout d'abord que la culture est un moyen pour

Une société sans religion est-elle souhaitable ? « On trouve des sociétés qui n'ont ni science, ni art, ni philosophie. Mais il n'y a jamais eu de sociétés sans religion » disait Bergson ; c'est-à-dire qu'on trouve dans le passé comme dans le présent des sociétés dans lesquelles la religion occupe tout l'espace, alors, la religion est considérée comme un phénomène universel, une caractéristique de toute société quelle qu'elle soit. Une société sans religion est-elle souhaitable ? La doxa nous

travailleurs dans les secteurs secondaires et tertiaires. - Société calquée sur la croissance Le secteur agricole suit l’économie. On assiste à une concentration des exploitations suite au développement des techniques. L’agriculteur traditionnel est remplacé par l’industriel. Ceux qui ne peuvent se payer les nouvelles techniques d’exploitation ne s’en sortent pas et se dirigent vers la ville. → C’est l’exode rural. Le secteur ouvrier est également très touché. Le problème est que les ouvriers ne sont

L’Ethique est-elle un frein au Progrès Scientifique ? Table des matières Introduction 1 Genèse de la réflexion sur l’éthique de la science 3 Historique du progrès 3 L’apparition de la notion d’éthique dans le progrès scientifique 4 Que serait la Science sans notion d’éthique ? 5 La Science, quel impact sur l’économie ? 6 La Science, l’éthique et la médecine 6 L’industrie pharmaceutique et l’éthique 7 La culture des OGM et l’éthique 8 L’éthique atténue-t-elle la peur

Iintro: Les sciences expérimentales ont pour corollaires la démonstration, la preuve et la vérification. Elles s’apparentent aux sciences dites « dures », par opposition aux sciences « souples » que sont les sciences humaines, ou sciences de l’homme. Seules les sciences expérimentales seraient susceptibles de nous apporter des vérités définitives, des certitudes ou des évidences. Leur principal critère est celui de l’universalité. Dans le domaine des sciences de l’homme, au contraire, on ne pourrait

relation vue comme source de tension et de déséquilibre. Pour prétendre à un dévoilement par la science, la sociologie se doit de rester objective. Cependant, les « opinions » du sociologue sont des opinions « d’acteur de la société » car il possède ces deux considérations de lui-même. Le sociologue est cet « homme » sans illusions quand au fonctionnement de la société et ses relations avec autrui. Il ne peut se dépouiller de sa vision de sociologue, puisqu’elle tend à être plus puissante que celle

philosophiques du XVIII° ; - montrer que les fondements de ces idées poussées à l’extrême ont provoqué l’exclusion de l’homme : - énoncer une utopie capable de redonner force et vigueur à nos principes. Claude Levi-Strauss affirme : « Aucune civilisation ne peut se penser elle-même si elle ne dispose pas de quelques autres pour servir de terme de comparaison ». N’est-ce point ce qu’a connu le XVIII° ? On oublie trop souvent que les bouleversements généré par l’esprit des lumières ne sont pas dus à l’existence

dieu est mort, qui l’a tué ? De quoi est-il mort ? Comment est-il né ? Qu’est ce qu’il l’a remplacé ? » La phrase de Nietzsche « Dieu est mort » est provocante. Cela parait absurde dieu est un être divin, comment pourrait-il être mort ? Nietzsche n’implique t-il pas que dieu n’est pas, n’a jamais été qu’une illusion rassurante ? Si dieu se définit par sa fonction sociale, à partir du moment où il est remplacé, il devient inutile, donc n’est plus. Dieu étant un concept, il est impossible d’en avoir

premier concile œcuménique du Vatican qui se tient du 8 décembre 1869 au 20 Octobre 1870. Ce concile est interrompu suite à l'invasion des troupes italiennes à Rome. Il définit l'infaillibilité pontificale qui est le dogme selon lequel le pape ne peut pas se tromper en matière de foi et de morale. Il affirme également la primauté du pape qui est explicitement reconnu comme autorité suprême de la catholicité. Être catholique en France en 1870 ne semble donc pas être la même chose qu'être catholique