La Soif de l'or

une lettre, Et celui qui doit la lire a perdu la vue ; Le muet la répète mot pour mot, Et le sourd qui écoutait n’en perdit pas une miette. Que disait la lettre ? Rien Vieil homme, tu le sais, Tu as combattu jusqu’à être fatigué, Pas pour l’or, pas pour être acheté, Mais en épargnant tu m’as trouvé. Jeune arrogant, ton coeur soupire, Viens me chercher, car c’est ton désir, Dans les bouches de l’enfer, à l’autre bout du monde, Qui donc croira que tu m’as gagné, si tu a tué ? L’honneur

un équipage que trente mille francs n’auraient pas payé. » (l.2206-2207) p.93 : « Voilà, se dit-il, l’homme au coupé! Mais il faut donc avoir des chevaux fringants, des livrées et de l’or à flots pour obtenir le regard d’une femme de Paris? Le démon du luxe le mordit au cœur, la fièvre du gain le prit, la soif de l’or lui sécha la gorge. » (l.2314-2318) Procédé : Aucun procédé, les actions et les faits prouvent l’idée secondaire. Extrait : p.171 : « La pauvre fille ne manqua pas de trouver Eugène

 prodigue! Esto memor! (Mon gosier de métal parle toutes les langues.) Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or! Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi. Le jour décroît; la nuit augmente; souviens-toi! Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide. Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard, Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le Repentir même (oh! la dernière auberge

Ophuls ; Voyage au bout de l'enfer, Michael Cimino. 16e ex aequo : L'Avventura, Michelangelo Antonioni ; Le Cuirassé Potemkine, S. M. Eisenstein ; Les Enchaînés, Alfred Hitchcock ; Ivan le Terrible, S. M. Eisenstein ; Le Parrain, Francis Ford Coppola ; La Soif du mal, Orson Welles ; Le Vent, Victor Sjöström. 17e ex aequo : 2001 : L'Odyssée de l'espace, Stanley Kubrick ; Fanny et Alexandre, Ingmar Bergman. 18e ex aequo  : La Foule, King Vidor ; Huit et demi, Federico Fellini ; La Jetée, Chris Marker ; Pierrot

ww.capital.fr/economie-politique/60-des-especes-de-cafe-sauvage-sont-menacees-dextinction-1323691https://www.bbc.com/afrique/monde-46905899https://www.amazon.fr/Lavazza-Machine-jolie-1250-Metal/dp/B071FGZMGNhttps://www.lsa-conso.fr/l-inextinguible-soif-de-croissance-de-lavazza,321552https://www.chateaudeau.com/blog/cafe-lavazza-du-cafe-mais-pas-seulement(PBQ : COMMENT FAIRE EN SORTE DE RENDRE ENCORE PLUS POPULAIRE LAVAZZA QU’ELLE NE L’EST DÉJÀ ?)(Comment concilier esprit familial et individualisme

qu'une fontaine aux rythmiques sanglots. Je l'entends bien qui coule avec un long murmure, Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure. A travers la cité, comme dans un champ clos, Il s'en va, transformant les pavés en îlots, Désaltérant la soif de chaque créature, Et partout colorant en rouge la nature. J'ai demandé souvent à des vins captieux D'endormir pour un jour la terreur qui me mine ; Le vin rend l'œil plus clair et l'oreille plus fine ! J'ai cherché dans l'amour un sommeil

et les verres « plus grands que notre soif » : le poète est ironique aussi avec lui-même et sa compassion un peu facile « la chanson avait raison ce soir-là » Au niveau de la création poétique Mais surtout elle fait naître le poème : il est intitulé « les yeux des pauvres », pas « la femme vaine ». Baudelaire reste fidèle au principe qu’il énonce dans un projet d’épilogue des fleurs du Mal, où il déclare à Paris : « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». Le poète réussit à créer un poème

sont le vodor et le mythe de Midas. Le vodor va être associé a la cupidité et a la jouissance des biens matériel, donc il existe tjr une tentation d’élever l’argent au range de divinité. Le mythe insiste sur le danger représenté par l’or et la démesure du désir. La soif d’argent dévore tout, on a la l’effet pervers de l’argent. La France se caractérise par une méfiance particulière en ce qui concerne l’argent, elle vient d’une tradition catholique et aussi de thèse développée par Marx notamment.

occupées afin de leur donner un nouvel espoir. La cause dénoncée ici est une action  cependant le poète peut aussi se moquer les vices de l’homme tels que l’hypocrisie.  Dans “Enterrement”, Paul Verlaine critique l’attitude des bourgeois qui même aux  enterrements pensent avant tout à la soif de l’or et à l'héritage. Durant tout son texte, le  poète est pessimiste rappelant “l’enfant de choeur avec sa voix fraîche de fille” (vers 5).  Il trouve le moyen d’humilier un garçon en le comparant à une fille. Les dénonciations  sont souvent polém

Degas, L’Absinthe. Gervaise, pour ne pas se faire remarquer, prit une chaise et s’assit à trois pas de la table. Elle regarda ce que buvaient les hommes, du casse-gueule qui luisait pareil à de l’or, dans les verres ; il y en avait une petite mare coulée sur la table, et Bec-Salé, dit Boit-sans-Soif, tout en causant, trempait son doigt, écrivait un nom de femme : Eulalie, en grosses lettres. Elle trouva Bibi-la-Grillade joliment ravagé, plus maigre qu’un cent de clous. Mes Bottés avait un nez