La Soif du mal

les mots qui constituent des antithèses. 1.Après la pluie, le beau temps. 2.Petite pluie abat grand vent. 3.Il vaut mieux deux sous ici que quatre ailleurs. II/Soulignez les litotes, donnez leur équivalent dans la langue courante. 1.Ce n’est pas mal, ce que tu as fait.-> 2.Cette invention n’est pas vraiment une réussite.-> 3.L’architecte qui a conçu cette maison n’est pas un génie.-> III/Ces phrases sont ironiques, identifiez le procédé utilisé :antiphrase, hyperbole, litote. 1.J’adore

cherche l’abolition totale de l’esclavage (Lincoln) « ceux qui persuadent qu’ils sont tous des rois détrônés » Baudelaire semble contre l’égalité universelle (matérielle ou rationnelle) et presque énervé 6 : exagération de sont état d’esprit, lexique du mal être physique et psychique « vertige, stupidité », qu’il ne trouve pas surprenant, état d’esprit justifié, comme si tombait malade après avoir ingéré les livres. 7 : allitération désagréable en [s] : semblait seulement sentais. « Confiné » lexique

du «  vague des passions  » dont il souffre. Ce mélange d’incapacité d’agir, d’ennui et de désespoir constituera désormais «  le mal du siècle  » qui caractérise toute la génération romantique. Dans le Génie , Chateaubriand décrit avec précision le mal de l’homme de son temps  : jeune, mais sans illusions et pourtant débordant d’une énergie qui ne trouve pas la possibilité de s’exprimer car la réalité

bord de la Seine. Puis il nous dit que chaque jour il voyait des bateaux passés. Puis il nous raconta, qu’il fut pris de malaises et qu‘il avait du mal à dormir, puis l’un de ces domestique eut la même chose. L’homme voulut partir de chez lui pendant un certain temps mais il observa un fait étrange qui le fit resté chez lui. Un soir, il avait eu soif donc il avait laissé la carafe d’eau dans sa chambre puis s’endormi le lendemain matin il se réveilla et découvrit que la carafe d’eau étais vide. Il

ligaments et les tendinites sont des accidents de l’appareil locomoteur. Pour ne pas se faire mal il faut pratiquer une activité physique régulière ( moins on fait de sport plus on a de risques au tendons). Il faut bien échauffer ses muscles avant de faire du sport. Il ne faut pas faire de sport après un repas trop copieux. Ne pas oublier de boire avant d’avoir soif. Pour que les enfants ne se fassent pas mal il doivent mettre des protections ( casque) dans les sports dangereux comme le ski, la boxe

bien Faut boire a la bouteille 6 - L'alcool tue lentement M'en fous je suis pas presse 7 - Qui boit sans soif vomira sans effort 8 - Vaut mieux être bourré que con, ça dure moins longtemps 9 - Si les femmes ne te tuent pas l'alcool aura ta peau 10 - L'eau est un liquide si corrosif qu'une seule goutte suffit pour troubler le pastis 11 - Le whisky ça fout de travers et c'est déjà pas mal 12 - La sobriété est une hallucination due au manque d'alcool 13 - En Bretagne il ne pleut qu'une fois du

et tu y vas en vrai tigre ; mille millions de tonnerre, tu rugis comme une caverne pleine de panthères et de lions. LORENZO. ô jour de Sang, jour de mes noces ! ô soleil, soleil ! il y a assez longtemps que tu es sec comme le plomb ; tu te meurs de soif, soleil ! son sang t'enivrera. ô ma vengeance ! qu'il y a longtemps que tes ongles poussent ! ô dents d'Ugolin, il vous faut le crâne, le Crâne ! SCORONCONCOLO. Es-tu en délire ? As-tu la fièvre, ou es-tu toi-même un rêve ? LORENZO. Lâche, lâche

l’opposition entre « tiraient » (les gardes) et « il chanta » (gavroche). Il a une attitude paradoxale car il défie les gardes. • Au discours direct, il fait de l’humour alors qu’on lui tire dessus : il prend le mot poire au sens propre (pour la soif) ; il s’approprie les morts alors que les cadavres sont par définition déjà morts (« on tue mes morts »). 3°) Un enfant insouciant • Métaphore filée du jeu : « taquinait », « s’amuser », « jeu de cache-cache », « jouait », « pichenette », « pieds

du feu et surtout, il chassa l’obscurité du fond des grottes, il venait de maîtriser la Lumière. Nul doute que la première guerre des hommes fut la « guerre du feu ». Pour Rosny, la « guerre du feu «  est un chemin initiatique où le Bien et le Mal se côtoient, indissociables. Le Feu, c’est la vie. Le Feu, c’est la mort. La métaphore est plaisante : ce cadeau offert aux hommes afin qu’ils puissent s’instruire. En possédant le feu, l’Homme franchissait la porte de la Connaissance. Le Feu

peux lui calmer sa sensation de soif en lui faisant des soins de bouches rapprochés , la réaction de ce dernier est sans appel un grand NON catégorique , il se met à hurler et me jette la télécommande de la télévision sur le visage tout en essayant de se lever du lit .je fais appel à l’infirmière qui décide en toute urgence de mettre monsieur F sous contention avec l’aide d’autres membres de l‘équipe cette décision a été prise afin que monsieur F ne se fasse pas de mal. La question principale que