La Source Théophile Gautier

du promeneur solitaire, fut l’un des premiers à employer l’adjectif « romantique », qui, emprunté à l’anglais romantic, qualifiait le côté romanesque, émouvant et pittoresque d’un paysage. Refusant l’esthétique classique et prônant un retour aux sources des cultures nationales et à la pureté originelle du Moyen Age chrétien, différents 18 auteurs allemands parlèrent de « la romantique » (die Romantik). En France, ce sens fut popularisé par Mme de Staël (De l´Allemagne) et ses amis. 1.2. L’attitude

constitué d’un groupe de poètes lyonnais humanistes, disciples de Maurice Scève, et qui se caractérise par une indépendance et une certaine liberté d’écriture. Ces poètes, dits lyonnais, assemblent le platonisme et le pétrarquisme, qui leurs sont source d’inspiration, pour des poèmes basés sur l’amour, à la fois précieux et passionné. Les principaux poètes de ce mouvement sont : Maurice Scève, Pernette du Guillet, Louise Labé, Antoine Héroët, Guillaume des Autels et Pontus de Tyard. Maurice Scève

au contraire des auteurs de comédie sérieuse, comme Augier et Dumas fils, ne bénéficient pas du renom de ces derniers. En effet, tout au long du siècle, le vaudeville est considéré comme un genre bas de gamme, peu ambitieux et voué à l’oubli. Théophile Gautier, Jules Janin et Zola5, entre autres, ne sont pas des plus amicaux face aux grand succès rencontré par le vaudeville. Par conséquent, « Les vaudevillistes sont toujours en proie, à une sorte de complexe d’infériorité […] Aussi ne cessent-ils de

« sentiment douloureux d’un désaccord entre le moi et le monde » (Rey 1993 : 68) au XIXe siècle, il est évident que l’individu souffre suite à une rupture des structures. Cette souffrance est, certes, une sensation douloureuse, mais elle servira de source d’inspiration aux écrivains romantiques. Les écrivains romantiques prennent parole pour l’individu qui n’arrive pas à s’exprimer dans la société où il vit. La conscience du fait que l’individu se sent étranger à la société est très prononcée dans

par une grande liberté thématique par le montage d’éléments disparates qui sont souvent empruntés à des modèles pré-existant, grande hétérogénéité (exemple : mélange de satire et de comique, religion et féerie), mais aussi une grande variété des sources d’inspirations. Nous avons un grand mélange des registres, des tons pathétiques ou lyriques qui vont contraster avec les scènes comiques ou triviales. Mais aussi par une liberté formelle, la frontière est encore parfois assez mince entre dramaturge

mystérieuses. Il termina sa note par ces mots : «Nous n'avons point cherché à mettre d'ordre dans ces citations. C'est une poignée de pierres précieuses que nous prenons au hasard et à la hâte dans la grande mine d'Orient.» En 1838, un des poèmes de Théophile Gautier dans ‘’La comédie de la mort’’ fut intitulé ‘’Les papillons. (Pantoum)’’. Mais ce n’en était pas du tout un, et le poème ne fut plus intitulé que ‘’Les papillons’’ dans ses ‘’Oeuvres complètes’’. En 1850, Charles Asselineau, un ami de Baudelaire

l'enfant croit en vie, Et dont chaque pulsation Dans notre poitrine est suivie D'une égale vibration, Il ne bat plus, mais son grand frère Toujours palpite à mon côté. Celui que rien ne peut distraire, Quand je dormais, l'a remonté ! Théophile GAUTIER (1811-1872) recueil : Emaux et camées « Conte les ans, les mois, les heures et les jours » Conte les ans, les mois, les heures et les jours Et les points de ta vie, et me dis, malhabile, Où ils s'en sont allés : comme l'ombre fragile

Arts et représentation des conflits. A – Commune de Paris 1870-1871 1 – Contexte historique Sources : http://durru.chez.com/lmichel/lacommune.htm http://lacomune.perso.neuf.fr/pages/parent.html http://www.herodote.net Sommaire : La Commune de Paris de 1871 est un unique dans l’histoire de la France. Elle est reliée aux révolutions de 1830 et 1848, c’est une véritable guerre civil qui oppose les ouvriers parisienne et les armés royaux de la monarchie versaillais « C’était la

multipliant les notes explicatives (termes littéraires, dialectaux, archaïques ; allusions historiques et culturelles ; points forts du texte), mais aussi en développant en Préface les pistes d’étude : les idées et idéaux de George Sand (p. 10-11) ; les sources réelles (p. 14-15) ; la création d’un cadre poétique (p. 16-17) ; la portée initiatique du roman (p. 17-20) et en annexes, les possibilités d’ouverture de l’étude. George Sand et la musique populaire (p. 152-156 et 165) ; les avatars du thème des

réside-t-elle obligatoirement dans son engagement ? III- L'utilité de la littérature en question A- Théorie de « l'Art pour l'Art » Débat quant à l'utilité de l'art : certains artistes ont refusé d'utiliser l'art. Pour Théophile Gautier, l'art doit être gratuit : « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants, comme sa pauvre et infirme nature