La Soutenabilité Faible Et Forte

offres et de gestion des marchés publics lancés par les différentes composantes de l’administration… Concernant la masse salariale, l’objectif de la réduire à moins de 10% du PIB n’était pas ni clair ni simple comme il paraissait, le PIB étant faible et trop dépendant de facteurs exogènes tels la pluviométrie et de l’environnement économique international et la masse salariale évoluant selon ses propres lois et conditions et ne satisfaisant pas les besoins des fonctionnaires en terme de pouvoir

et de sauvetage du système financier ainsi que la baisse du PIB de 4,2 % en 2009 ont conduit à une augmentation de la dette publique brute et des déficits budgétaires – de 5,3 points entre 2007 et 2010 – qui pose aujourd'hui la question de la soutenabilité des finances publiques. Si les pays comme la Grèce ou le Portugal, dont le niveau d'endettement était déjà élevé en 2007, ont été les premiers à être frappés par la crise. Cette dernière n'a pas non plus épargné l'Irlande qui, malgré les excédents

possibilités de fluctuations, bien que limitées, semblent avoir permis le maintien du SME pendant les années 80. En effet, ces bandes relativement larges3 permettaient aux pays à forte inflation d’intervenir sur le marché des changes sans avoir à subir des attaques spéculatives avant chaque réalignement. Par exemple, l’Italie, pays à forte inflation et aux marges de fluctuations conséquentes, pouvait dévaluer sa monnaie afin de réduire, en terme de compétitivité, son désavantage lié à l’importance de son inflation

un développement durable fait l’objet d’un consensus international. Avec l’adoption de l’Agenda 21 de Rio, puis des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) par les Nations Unies, on assiste à des tentatives de mise en œuvre de la soutenabilité à tous les niveaux, internationaux, nationaux et locaux. Si celles-ci sont sujettes à controverses, des démarches pertinentes se dégagent, notamment avec la mise en lumière de l’importance du local et le développement des processus participatifs

d’opinions quant au taux de perte, il ne fait aucun doute que la disparition ou la d´gradation des ´cosyst`mes, des e e e esp`ces et des g`nes va s’accroissant. Une telle e e alt´ration amenuise la richesse naturelle de notre e plan`te et menace notre soutenabilit´ future. S’il e e est vrai que les entreprises en partagent la responsabilit´ avec la soci´t´ dans son ensemble, e e e le pr´sent rapport reconnaˆ ´galement qu’elles e ıt e d´tiennent certaines des solutions pour renverser e cette tendance. Les

stratégique utilitariste affirmant la convergence entre les performances économiques et la réponse aux attentes des parties prenantes (conception faible de DD). C'est le discours porté par les entreprises, c'est de la responsabilité de l'entreprise et son intérêt. Une conception de soutenabilité déstinée à répondre aux enjeux du DD dans une conception plus forte. On est jamais sur des approches très nettes et ces conceptions se mélangent. II) Vision contractuelle de la RSE : la théorie des parties

inspection, d’audit interne et  d’évaluation des politiques publiques.  La  LOLF  a  été  un  des  points  de  départ  de  cette  rénovation  en  profondeur.  Probablement,  mais pas uniquement, car, depuis de nombreuses années, une exigence très forte se faisait  sentir  de  la  part  de  nos  concitoyens    en  matière  de  transparence  sur  la  gestion  publique,  ainsi qu’en matière d’amélioration de la gestion publique et du contrôle.  Avec la LOLF surviennent quatre changements qui sont autant de pierres sur lesquelles a été 

contexte de choc externe et d’accroissement des dépenses courantes, témoigne de la soutenabilité des politiques budgétaires mises en œuvre et ancrées sur une capacité financière solide. En effet, pour la deuxième année consécutive, les finances publiques ont enregistré un déficit budgétaire mais qui ne représente que 1,1 % du PIB contre 5,7 % en 2009. Cette amélioration du solde budgétaire en 2010 résulte de la forte hausse des recettes des hydrocarbures induite par celle des prix du pétrole, malgré

car les prix des produits qu'ils vendent aux pays riches se dégradent relativement à ceux des produits qu'ils leur achètent. Selon Arghiri Emmanuel, l'échange est inégal sur le marché mondial. Enfin, le sous-développement est assimilé à un État trop faible, incapable d'assurer la régulation économique, sociale et politique des PED. Ainsi les pays les moins avancés (PMA), en particulier, sont victimes de crises politiques et sociales successives, sources d'instabilité pour les activités économiques et

intérieure. L’Afrique ne se développera pas en vendant des produits à l’Europe, à l’Amérique ou à la Chine. Elle se développera d’abord en mettant en valeur ses ressources domestiques, son marché et en facilitant l’investissement dans les secteurs à forte intensité de main d’œuvre et de valeur ajoutée. A l’aune des indépendances, l’industrialisation par la substitution avait été tentée. L’étroitesse des marchés africains et le manque de savoir-faire technique avaient fait le lit de son échec