La Souveraineté Interne Et Externe

donc autour de quatre principes fondamentaux. Tout d’abord il s’articule autour d’un principe de superposition, à travers la nécessité de l’existence d’une Constitution fédérale (qui est un nouvel ordre politique), la nécessité de disposer d’une souveraineté plénière et la nécessité d’une primauté du fédéralisme. Il s’articule aussi autour d’un principe d’autonomie que l’on peut aussi appeler « unités fédérées », c’est-à-dire qu’il y a un partage des pouvoirs et des compétences. Ce principe repose

plusieurs nations  Nation : groupe humain conscient de son unité et voulant vivre en commun  Distinction entre nation et Etat (organisation oublique exerçant un pouvoir de souveraineté sur un certain territoire)  La variable internationale de management met en lumière deux problèmes au moins : La diversité des souverainetés nationales : entreprises et états entretiennent des relations complices/conflictuelles : le manager international doit être un diplomate La diversité des cultures/ des comportement

et la souveraineté : SOUVERAINETÉ = FONDEMENT TRADITIONNEL DE L’ORDRE CONSTITUTIONNEL : Vision interne de la souveraineté : le peuple est titulaire du pouvoir souverain, au sein de l’État. Préambule CF 58 : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux DH et au principe de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la D de 1789, confirmés et complétés par le préambule de la CF de 1946 ». Vision externe de la souveraineté : le pouvoir de souveraineté de l’État

constitutionnalisme : régler les problèmes entre les pouvoirs par l'intermédiaire du droit. En France la Révolution a consacré cette conception juridique de la constitution comme un document qui est de droit et qui doit être respecté, et qui protège la souveraineté du peuple et de la Nation contre les gouvernants. L'abbé Sieyes fait une distinction entre deux types de pouvoirs : le pouvoir constituant, c'est le pouvoir d'établir et de modifier la constitution, et le pouvoir constitué, comme l'organisation

fondamental de l’ordre planétaire d’avant-guerre pousse les puissances occidentales à libérer leurs colonies sous la pression de facteurs externes et internes. Ainsi, la conjugaison de plusieurs facteurs entraîne dans la seconde moitié du XIXème siècle une série d’accessions à la souveraineté internationale des colonies asiatiques et africaines. I)- LES CAUSES EXTERNES DE LA DECOLONISATION : 1)-L’influence née de la seconde guerre mondiale : Le film des évènements du second conflit mondial fait

que le territoire appartient à l’Etat. Le rapport qui s’établi entre l’état et son territoire on dit que c un rapport de souveraineté. 3) L’organisation politique souveraine : C’est le dernier élément. La souveraineté est un élément important, qui signifie que l’état dispose de la puissance suprême au-dessus de laquelle il n’y a rien. Pour comprendre la souveraineté, il faut partir de l’idée que c l’Etat lui-même qui détermine sa propre organisation et c’est l’Etat lui-même qui fixe c propres

Etat donné le nombre de degré dans la pyramide de l’ordre applicable (ordre juridique interne). On a besoin d’un règlement qui délivre les autorisations. Les pays ont des relations internationales entre eux; cela produit un ordre juridique externe ou international. Les Etats agissent, signent des traités qu’ils devront respecter. Les traités s’imposent même aux lois, quoi qu’ils soient un instrument de l’ordre externe s’imposent à l’interne. Il en est ainsi dans un système juridique que l’on appelle

transformations engendrées par la mondialisation : l’ouverture économique par exemple réduit la possibilité de définir des politiques publiques sur des bases strictement nationales. Si la mondialisation perturbe l’ensemble des fonctions de l’Etat et même sa souveraineté, loin de l’anéantir, elle semble plutôt en reformuler le rôle. De plus, la mondialisation fait émerger de nouveaux acteurs sur la scène mondiale qui ne sont pas internationaux mais transnationaux (ils ne sont pas limités par un pays ou un territoire

fédéraliste. * La thèse britannique qui n’est pas fédéraliste. A la suite de ce congrès de 1948, ce sont les anglais qui auront gain de cause et on va créer en 1949 seulement une organisation de coopération (= chaque état garde toute sa souveraineté). C’est une des 1ere O européenne que l’on avait rêvé comme pouvant donner lieu aux Etats-Unis d’Europe. Ce CE est créé par un traité signé le 5 mai 1949. Cet OI compte aujourd’hui 41 Etats membres. C’est une O régionale qui a des compétences

Suède, l’Espagne et le saint empire romain germanique => point de départ d’une véritable diplomatie, et d’un système international au sens moderne du terme qui va s’organiser. De plus à travers ce traité on va voir l’émergence du concept de souveraineté (autorité suprême qui détient un gouvernement sur un territoire et sur un peuple, il n’y a pas de pouvoir supérieur au sien). L’émergence de l’état Nation (juxtaposition d’un état en tant qu’organisation politique avec un gouvernement à une nation