La Spontanéité T Liberté

subjectivement qu'objectivement"). * entrave : Empêchement, frein, obstacle * liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison

•renoncer : Abandonner un droit, une idée, se défaire, se dessaisir, se démettre. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison

“ chose ” (4 fois), “ représenter ”, “ monde ” (3 fois sans compter acosmique), “ esprit ” (2 fois). *Sont susceptibles d'être expliqués, en dehors des mots cités, les termes suivants : “ influences physiques, physiologiques, sociologiques ”, “ liberté acosmique ”, “ présent ” et “ représenter ”, qui sont soulignés par l'auteur, “ l'être intentionnel ”, “ esprit absolu ”. LA CONCLUSION DU TEXTE *Elle apparaît dans l'avant-dernière phrase du texte : il faut reconnaître à l'homme une manière d'être

dans la fin de la quatrième. Elle voit dans l'homme un esprit. L'esprit s'oppose ici évidemment à la chose. L'esprit n'est pas une chose : il ne peut pas être localisé ni mesuré comme une chose. Surtout, l'esprit se distingue de la chose par la spontanéité dont il fait preuve. Par ce mot, il faut entendre une capacité particulière de l'esprit qui, par opposition à la chose qui répond aux lois qui la régissent, découvre ces lois par son effort de connaissance. L'esprit connaît les choses en en forgeant

Spontanément, on peut être tenté de définir la liberté comme le pouvoir de se déterminer sans aucune contrainte, d’agir comme bon nous semble, sans nous soucier des contraintes qui peuvent venir entraver notre action. On assimile alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition de la liberté comme un absolu peut s’appliquer à cette notion

inconscient de ce qui se joue réellement à travers ses inter-actions. L' Accession à l'autonomie Berne prône donc l'accession à l'autonomie. Celle ci se manifeste par « la libération ou le recouvrement de trois facultés : la conscience, la spontanéité, l'intimité. » -La conscience : faculté de voir les choses selon sa propre manière et non selon Page 6/8Fiche de lecture – Alexandra Bouchard – DHEPS promo 11 – décembre 2018 ce que l'on nous a enseigné. Ex : écouter le chant d'un oiseau simplement

la connaissance mais sa forme relève de l'esprit. l'expérience est donc un mélange de réceptivité (passivité) et de spontanéité (activité) de lesprit. sans une matiere l'esprit n'aurait rien à connaitre.. L'expérience est donc bien nécessaire à toute connaissance possible, même si elle n'en est pas le fondement car la forme qui est appliquée à cette matiere relève de la spontanéité de l'esprit. -Les principes de l'esprit mis en oeuvre dans la connaissance sont dits transcendantaux. est transcendantal

Que faut-il prioriser : l’individu ou la collectivité? Autrement dit, à quoi faut-il accorder le plus d’importance, sans toute fois exclure, soit à la liberté donné a l’individu ou l’égalité pour la collectivité? «Une vie sans examen n'est pas une vie» (Apo., 38a) L’Apologie de Socrate est la défense d’un mode de vie choisit librement par Socrate, celui de taon de la cité. Au lieu de se conformer aux exigences collectives (piété envers Athéna et respect du curriculum

(Clément Marot) ' Projet poétique : la Pléiade (Du Bellay, Ronsard…), enrichissement de la langue française par dépassement des textes anciens et création de nouveaux mots. XVIIème SIECLE Vers le Classicisme ' Courant baroque : spontanéité et liberté d’écriture, jeu de langage (imagination et innovation) ' Poésie précieuse : raffinement exagéré de la langue, idéalisation de l’amour et de la femme ' Poésie codifiée : François de Malherbe préconise des règles strictes de versification

Khôlle fr 2Pbq: Comment Montaigne fait-il ici la justification de son propre mode d’écriture, à travers un texte en étant représentatif par sa nature de divagation? I: Une écriture empreinte d’art poétique 1) Divaguer dans la poésie 2) Le dialogue poétique antique 3) Entre prose et poème II: Une désordre inhérent à l’écriture de Montaigne 1) Un auteur écrivant au fil de sa pensée… 2) …Malgré les paradoxes que cela inclut 3) L’ordre dans le titre III: Le sens de l'embrouillure 1) Un extrait apologue