La Superstition Conséquence

absolue de droit divin, religieuse : critique de la superstition et du fanatisme, culturelle : intérêt renouvelé pour les sciences et les techiques et social : déclin de l'aristocratie, essor de la bourgeoisie. Le "programme" des Lumières pourrait se résumer ainsi : Lutter contre l'ignorance en diffusant largement le savoir ; augmenter les richesses en développant l'agriculture, l'industrie et les arts ; substituer la raison à la superstition ; assurer l'autonomie de l'éthique par rapport à la

Objectifs de Voltaire : - Ironie de Voltaire : " personnes brulées à petit feu" - absurdité de la cérémonie religieuse : V en fait un acte de superstition. - critique de la philosophie optimiste : faux rapport logique entre les arrestations et le tremblement de terre - arbitraire de ces régimes de dictatures (Inquisition) : conjonction " en conséquence" Conclusion. Voltaire met dans ce chapitre sa fantaisie, au service d'une violente critique de l'Inquisition avec comme arme l'ironie. Voltaire

tolérance et le respect de l’autre. Les lettres persanes (1721) de Montesquieu et Micromégas (1752) de Voltaire donnent des leçons de relativisme. La religieuse (1760) de Denis Diderot et le Traité sur la Tolérance (1763) de Voltaire dénoncent la superstition, le fanatisme religieux et l’intolérance cléricale. Bonheur : Cet état de plénitude que peut ressentir l’homme est au centre des réflexions des philosophes. Voltaire avec certaines de ces œuvres exprime sa pensée qui est que seul le progrès

entend par religion un ensemble de croyances et de rites collectifs, mettant en rapport les croyants avec une puissance spirituelle surnaturelle. Vouloir établir une religion sur les lumières de la raison, c'est vouloir éviter l'obscurantisme, la superstition et le fanatisme, fruits indirects de l'impossibilité de démontrer les dogmes religieux. C'est donc à l'origine un projet généreux, pacifique, destiné à surmonter les déchirements violents entre les Églises, à libérer la foi du carcan artificiel

Au fond si leur expérience est quelque peu communicable et croyable, c’est non seulement parce que quelque chose, chez la plupart d’entre nous, commence ce qu’ils ont achevés. Ainsi l’expérience mystique est forte de son propre contenu. La conséquence est qu’elle est chargée de témoigner de l’existence de Dieu, à condition de prendre source en lui, c'est-à-dire d’avoir « un contenu original, puisé directement à la source même de la religion, indépendant de ce que la religion doit à la tradition

miracles reconnus par l’Eglise. Critique d’une forme de superstition dont l’Eglise profite indûment. L’emploi des pronoms indéfinis « les uns » et « les autres » accentue d’une part le tumulte qui agite l’église. Ironie d’autre part ds le fait de ne pas nommer clairement les prêtres (c’est au lecteur de les identifier comme tels) et de dissocier ceux qui vont voir le miracle et ceux qui sonnent les cloches : les cloches devraient être la conséquence de la constatation du miracle, ici on sonne sans

• I : la condamnation des conquistadors II : peinture du mythe du bon sauvage III : les conséquences de la colonisation telles qu’elles apparaissent dans le texte. I : La condamnation des européens : 1) La pseudo-supériorité des européens. - parenthèse satirique L1 à 4 ( moquerie : prétention, volonté de connaissance, superstition « on croit aussi bien aux démons qu’aux sybilles » + aveuglement des européens puisqu’ils ont ignorés cet autre continent

femme à une prise de conscience Conséquences effectives du mouvement des Lumières qui prend de l’ampleur Changement, évolution Combats des Lumières Victoire totale de la raison sur l’obscurantisme Combat pour la liberté Critique de l’homme qui n’a pas pris en compte le statut de la femme « femme » « réveille-toi », « reconnais » « le tocsin de la raison » « dans tout l’univers » « ne plus » « préjugés, fanatisme, superstition, mensonge » « sottise, usurpation

de la raison et de la tolérance, et la nécessité de rendre justice. Source : http://www.linternaute.com/histoire/magazine/dossier/06/calas/calas.shtml -Voltaire- Dictionnaire Philosophique article « Fanatisme » « Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le

SAINT-PIERRE (1737-1814) pour Paul et Virginie, un roman rousseauiste. CHODERLOS de LACLOS (1741-1803 ; Les Liaisons dangereuses), RESTIF de la BRETONNE (1734-1806) et le Marquis de SADE (1740-1814) poussent le libertinage jusqu'à ses plus extrêmes conséquences. Les années de la Révolution et de l'Empire constituent une sorte de désert littéraire. Aucune oeuvre majeure ne date de ces périodes historiquement pleines de bruit et de fureur, si l'on excepte celle de Chateaubriand, qui pose les bases du romantisme