La Symbolique Du Feu

26) donne de la vivacité au passage ; imparfait de la l.27 à 36 = action saisie dans son déroulement, comme « au ralenti » ; à partir de la l.37 retour au passé simple qui précipite l'action vers la mort du héros. II) La construction d'un héros symbolique a) Un héros admirable – Gavroche force l'admiration du lecteur par son courage, son insouciance face au danger et l'insolence légère de ses provocations : réplique goguenarde de la ligne 6 (« Voilà qu'on me tue mes morts. »), insolence de l'attitude

souligner ce qu'il a d'original. On s'attachera à montrer comment la description anecdotique d'un cadre banal plutôt réaliste et inhospitalier et de ses habitants sans relief, conformistes et prosaïques, se charge progressivement d'une valeur symbolique : ce qui se joue à Oran se joue aussi au quotidien dans nos propres existences, il s'agit d'un miroir de notre propre condition humaine absurde. Support : p11/12 du début à « le hasard des cartes. » Questions préparatoires : ✗ Comment est décrite

études pourront porter sur l’approfondissement d’un personnage (voir plus loin à propos de Germain). • Rechercher le rôle des lieux, des éléments (l’eau, le feu) dans l’évolution de l’histoire et surtout dans l’épisode de la mare. Que peuvent-ils représenter ? Quelle est leur utilité ? Souligner leur portée symbolique (le feu ambivalent, domestique et diabolique, la mare et le brouillard, obstacles au voyage et adversaires des héros, p. 62, 72, 73, 77, 78, à rapprocher de 961). Explication

action picturale, dénuée d’ambition esthétique ou de projet figuratif. Constituée de paroles (incantations, prières), de gestes (égorgement de poulet ou de mouton, versement de sang, bouillie de mil,...) et de matières à haute charge symbolique (œuf et plumes de poule, feu, cendre, eau, alcool, etc...). Cette action-painting a pour finalité le contact avec un monde peuplé de forces, de divinités, de symboles et ancêtres, un monde irreprésentable, le monde invisible. Les animistes invoquent et activent

I – Puissance d’une nature menacent * Nous retrouvons le champ lexical de la nature dans cet extrait. * Camus évoque les 4 éléments naturels (terre, feu, eau, air). * Le protagoniste se trouve sur « une plage vibrante de soleil » ligne 3 * Le feu est évoqué a la ligne 37 avec « pleuvoir du feu » * L’eau de la mer semble également terrible avec son « souffle épais et ardent » ligne 35 * L’eau qui est souvent protectrice ou qui donnerai refuge

poésie est un feu intérieur, qui fait de lui le « pompier du langage ». Puis, on étudiera la dimension sportive et ludique du poème : le poète est celui qui chasse les mots pour en faire de la poésie. La poésie est un feu A. le feu qui brûle On peut voir que le poème multiplie les références au champ lexical du feu, soit de façon directe « flamme », vers 3, «embraser » au vers 35, « allume » au vers 8, « feu » au vers 16, « foyers brûlants » au vers 39 ou encore « le feu qui me brûle »

pas de béton Ni de bronze qui devient vert Sous la morsure aiguë du temps Un monument de leur souffrance Un monument de leur terreur Aussi de leur étonnement Voilà le monde parfumé, Plein de rires, plein d'oiseaux bleus Soudain griffé d'un coup de feu Un monde neuf où sur un corps qui va tomber Grandit une tache de sang Mais à tous ceux qui sont restés Les pieds au chaud, sous leur bureau En calculant le rendement De la guerre qu'ils ont voulue A tous les gras tous les cocus Qui ventripotent (1)

maîtrise : une amitié naît vite entre les deux jeunes garçons Ralph et Jack. Le pouvoir de Ralph n'est pas contesté et Jack est nommé chef d'un groupe de chasseurs, chargé d'apporter la nourriture au groupe. D'autres ont la responsabilité de l'entretien du feu, tandis que les petits s'occupent comme ils le peuvent et le veulent dans le reste de l'île. Cependant, peu à peu une rivalité apparaît entre les deux chefs et s'aggrave au fil des jours. Jack aime l'aventure et l'ivresse de la chasse, il n'apprécie

faire Dieu de lieu (il l’ouvre ou ferme quand il le veut « qui a ouvert les battants de son oeuvre »)  - « des etincelles de feu » : on pourrait assimuler Dieu aux etincelles et le Leviethan au feu : les etincelles representent la cause et le feu la consequence (les etincelles ont créé le feu et le est créé par les etincelles). Les etincelles = le savoir, l’origine (=Dieu) ; Le feu = la creation (=monstre) C’est comme une mere qui éduque son enfant, lui passe son savoir et la mission de continuer la tradition

L'Oiseau de Feu d'Igor Stravinsky Igor Stravinsky ( né le 17 juin 1882 en Russie et décédé le 6 avril 1971 à New York ) était un compositeur russe de l'époque moderne , considéré comme l'un des compositeur le plus influent du XX s. Le troisième d'une famille de quatre enfants la vie familiale d'Igor était difficile. Malgré le fait que son père soit un chanteur de renom, le jeune Stravinski n'a que très peu de contacts avec la musique classique dans sa jeunesse. Igor commence des leçons de