La Symphonie fantastique

Présentation 2 2 Le cinéma fantastique muet 2 2.1 Le pionnier : Georges Méliès 2 2.2 Adaptations d’œuvres littéraires 3 2.3 L’expressionnisme allemand 3 3 L'essor commercial : le cinéma fantastique hollywoodien 4 3.1 L’empreinte gothique 4 3.2 L’avènement du merveilleux 4 3.3 Le péril atomique, ou la menace de la guerre froide 5 4 Le cinéma fantastique se libère 6 4.1 Le fantastique anglais : le déchaînement des couleurs 6 4.2 Le fantastique italien : la surenchère

français Aloysius Bertrand (Gaspard de la nuit), et dont le plus grand maître, au XIXe siècle, est Baudelaire (Petits poèmes en prose, 1869). Œuvres principales Les Méditations poétiques de Lamartine en 1820 Hernani de Hugo en 1830 Symphonie fantastique de Berlioz en 1830 La liberté guidant le peuple de Delacroix en 1831

fleurs du mal (1857) ; Le spleen de Paris (1869) * Alexandre Dumas. Antony (1831) ; Pauline (1838) * François-René de Chateaubriand. (1768-1848) Mémoires d’Outre-Tombe (1848) * Hector Berlioz. (1803-1869) Roméo et Juliette (1839) ; Symphonie fantastique (1830)

| | | | |9ème symphonie 1824 Beethoven | | | | | |symphonie fantastique Berlioz 1830 | | |

actrice dénommée Harriett Smithson. L'année suivante, avec Herminie, il obtient le second prix du Concours de Rome, concours très prisée au XVIII-XIXème siècle. Il obtient le grand prix en 1830 avec Sardanapale. La même année, il fait jouer la Symphonie fantastique et cette œuvre le propulse au premier rang du monde musical. Il va retrouver Harriett Smithson qu’il épouse en 1833. Il compose la Damnation de Faust en 1846 et grâce au violoniste Paganini, il peut composer Roméo et Juliette. En 1841, Berlioz

au Conservatoire où il suit les cours de Lesueur et de Reicha. Sa première oeuvre, la 'Messe solennelle', est de grande envergure. Le compositeur se plaît à sortir des cadres, et crée des ouvrages aux orchestrations considérables, et notamment sa 'Symphonie fantastique' qui apparaît comme un chef d'oeuvre romantique de la littérature orchestrale. Il la compose après avoir rencontré l'actrice Harriet Smithson. Amoureux, passionné et déterminé, il parvient à l'épouser en 1833, mais ce mariage ne sera pas une

2 en Fa M. ; n°3 en La M. Le Quatuor avec piano op. 47 (écrit entre oct. et nov. 1842) Préoccupations : Suivant le conseil de F. Liszt, l’auteur délaisse les grandes formes et les compositions orchestrales qu’il a exploré l’année précédente (Symphonie 1), et la musique pour piano ; recherchant la forme plus concise, le caractère intime, déjà abordés dans les cycles de Lieder, mais aussi l’unité sonore du timbre des instruments à cordes (présent dans toute les oeuvres de cette période). B :

vient à l’esprit; celle d’un certains cours d’histoire-géographie dans lequel, comme à ma grande habitude, je laisse mon esprit voyager au delà, dans de lointaines et vastes contrées. Ce cours avait comme sujet le Japon. Ce fut pour moi un vecteur fantastique de fantasme dans lequel l’œuvre de chaire et son pêché ont largement entretenu mon esprit lors de la journée entière. C’était dans une chambre dont les murs étaient d’un blanc immaculé. Seul un tableau, représentant une tige de bambou accompagné

en 1855. Il reçoit les conseils de Gounod qu'il a certainement connu par Zimmermann. En juillet 1857et 1866 , il remporte de nombreux prix grâce a des œuvres telles que : Clovis et Clotilde. Il publie aussi un grand nombre d’œuvres : la chasse fantastique, et la Jolie Fille de Perth . En 1869, il se marie avec Geneviève Halévy. Il achève Noé, un opéra de Fromental Halévy (décédé en 1862). Il s'engage alors dans la Garde Nationale, part pour Libourne, puis revient au Vésinet auprès de son père. Après

Ludwig Tieck. Jusqu’en 1810, le romantisme allemand est inventif : les premières années du 19ème siècle sont celles du retour aux sources légendaires de la nation allemande avec les contes de Grimm, les légendes du bas Rhin, celles du recours au fantastique d’Hoffmann dont les contes étranges auront une influence décisive sur Nodier, Gautier, Nerval et Balzac. Tandis que Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul s’attache avec sensibilité aux mondes du rêve, deux auteurs solitaires s’imposent Friedrich