La terre tremble

Sous-argument 1 : Effectivement, les cultivateurs sont des gens travailleurs et dévoués envers leurs terres et leurs familles. Le respect de la terre constitue une valeur importante. Sous-argument 2 : L’esprit des sédentaires est rassembleur et symbolise la continuité sécuritaire sociétale-rurale du 20e siècle.Sous-argument 3 : La sédentarité s’apparente à la stabilité et

noyé. Le jeune homme et son maître échappent miraculeusement au même sort et parviennent à la ville portugaise. A leur arrivée, un violent tremblement de terre se produit. Les deux compères sont saisis et déférés à l’Inquisition pour propos déplacés. Pangloss est pendu et Candide fessé, à l’occasion d’un autodafé censé empêcher la terre de trembler de nouveau. Une vieille dame recueille le jeune homme et le soigne. Elle lui présente une belle jeune femme qui n’est autre que Cunégonde. Il s’enfuit

« Flatte le nez » peut, à la fois se rapporter à l'odeur de la viande sacrifiée par Abel et qui lui a valu la préférence du divin, mais cela peut également se rapporter à l'odeur du sang fraternel versé par Caïn (// Le sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi). Dieu et ses anges seraient alors vu comme des êtres qui se repaissent du malheur humain => idée de décision injuste dans la préférence et dont l'explication serait purement et simplement le spectacle qu'apporte la déchéance de Caïn

, tremblement de terre , et ce qui advint du docteur Pangloss , de Candide et de l’anabaptiste Jacques Jacques est noyait , Candide et Pangloss regagnent le rivage , il y a alors un tremblement de terre Chapitre sixième : comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les tremblements de terre et comment Candide fut fessé le tremblement de terre détruit les trois quarts de Lisbonne . Les sages donne un auto-ta-fé de personnes en pensant stopper les tremblements de terre. Pangloss est pendu

| |Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, | |Noir squelette laissant passer le crépuscule. | |Dans l'ombre où l'on dirait que tout tremble et recule, | |L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx. | |Et les triomphateurs sous les arcs triomphaux | |Tombaient; elle

l’infiniment grand. * L’homme se sent un « colosse » / « un monde » / « un tout à l’égard du néant » C- L’infiniment grand contenu dans l’infiniment petit * Mêmes mots pour évoqué l’infiniment petit et l’infiniment grand (immensité, univers, terre) Le lecteur éprouve un vertige, perdu entre les deux infinis, il sera enclin à chercher un réconfort. II- L’argumentation A- Pascal, guide du lecteur En 3 étapes : - 1 injonction (ordre) (que l’homme contemple, que l’homme regarde)

Allongé par terre sentent l'herbe mouillait dans mon dos, me rendait encore plus triste que je ne l'était, je m’appelle Eloine mais tous le monde m’appelle Elo. Je viens de Paris et mon père doit partir dans le Nord pas de Calais car mon père est muté dans le Nord.Devoir quitter mes amies, ma meilleure amie qui était juste tout pour moi Ninon, mais aussi quitter ma maison,j'adorais regarder par ma fenetre voir la tour Eiffel et je l'imaginais quand j'était petite tombée par terre et écrasé les

King, qu'elle a recueilli lionceau et a soigné. Devenu adulte, King est rendu à la vie sauvage et, chaque jour, Patricia le retrouve à un lieu de rendez-vous. Sybil, femme aux nerfs fragiles au bord de la rupture, ne supporte plus cette situation et tremble chaque jour pour sa fille, livrée à la vie sauvage. Présenté à King, le narrateur est témoin du lien particulier qui existe entre Patricia et le fauve. Il est fasciné par cette fillette, qui connaît les animaux et les comprend mieux que quiconque

entré dans le train. Je me suis assis dans le coin pour être tout seul. Il y avait toutes sortes de personnes, il y avait beaucoup de gens dans ce métro. Le train roulait trop vite. Jetais bien tranquille et je senti le train trembler. Il avait un gros tremblement de terre. Le tain a freiner.30 seconds plus tard, il n’y avait plus d’électricité dans le métro. Je sortais mon cellulaire pour appeler mon ami, je me le suis fait vole. Je ne sais pas qui l’a volé et je ne le pas vu venir. On était bloqué

donner au peuple un bel autodafé » (L.1 à 2) 2) Dans le récit Voltaire pense a mal de l’autodafé, il le critique en utilisant l’ironie. « un moyen plus efficace » (L.2) ; «Bel autodafé » (L.2) ; « Un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler » ( L.3 à 4 ) 3) On ne peut dire que ce passage est humoristique car c’est une atroce coutume et Voltaire cherche plutôt a dénoncer cette coutume une fois encore en utilisant l’ironie 4) Ces deux œuvres défendent en effet les mêmes