La Théorie Classique De La Séparation Des Pouvoirs

doctrine/idéologie qui vise à encadrer ou limiter le pouvoir au moyen de règles juridiques. Origine du terme : début 20ème, dérivé du mot Constitution. L’idée d’encadrement du pouvoir est en revanche développée dès l’antiquité. D’où un Constitutionnalisme ancien et moderne +(médiéval). A1 : Une conception libérale de l’État : Libéralisme politique=préservation de ou des libertés. Une recherche ancienne : = dès l’antiquité, réflexion sur la prévention du pouvoir tyrannique. Constitutionnalisme ancien (Platon/Aristote) :

Sous-thème : la séparation des pouvoirs Sujet : la pratique contemporaine de la théorie de la séparation des pouvoirs PLAN Préface Introduction I – les origines et la signification du principe A – les origines du principe * Le précurseur : Montesquieu * Montesquieu et son œuvre B – la signification du principe * Le sens classique du principe * Le sens contemporain du principe II – la portée contemporaine du principe A – les différentes formes de séparation des pouvoirs * La

le peuple et pour le peuple. » Un régime est dit parlementaire quand le gouvernement est politiquement responsable devant le parlement et lorsqu’il peut dissoudre l’exécutif Dans ce régime, la séparation est dite souple parce que chaque pouvoir a des moyens de pressions et d’action sur l’autre pouvoir. Cependant nous pouvons bel et bien distinguer deux organes différents, mais ils sont dépendants. - le régime parlementaire n’est pas un régime où le parlement gouverne. La conduite des politiques

l'exercice du pouvoir I) les différentes fonctions de l'état Il y a plusieurs fonctions de classer les fonctions de l'état, les actes accomplies par les gouvernants, on peut utiliser le but pour classer les fonctions. On peut également classer les fonctions selon leur valeur juridique, si on tient compte de la valeur juridique de l'état on peut alors classifier en deux ou trois éléments, on fait la distinction entre la fonction législative et exécutive lorsqu'on sépare en deux, la fonction

« Les séparations du pouvoir », paru en 2008. Comme le titre l'indique, le cœur du sujet est de traiter des modalités de la séparation du pouvoir politique au sein de l'Etat., la façon dont laquelle le pouvoir est réparti dans l'Etat, a travers les différentes structures étatiques et par rapport à la charte constitutionnelle. Il peut être judicieux de remarquer que le texte cite les deux principales modalités de séparation du pouvoir explicitement : La séparation horizontale du pouvoir, et la

américain et la séparation des pouvoirs La théorie de la séparation des pouvoirs est un des concepts fondateurs du droit constitutionnel. Montesquieu en est le théoricien le plus connu, qui a rassemblé les concepts les plus importantes, dont par exemple celui de John Locke, d'après lequel il faut partager la souveraineté en trois fonctions: le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir fédératif. Néanmoins, l'essentiel pour Montesquieu, c'était le partage du pouvoir législatif, qui

I-La théorie de la séparation des pouvoirs. A. La justification du principe . Montesquieu part du constat que toute personne qui détient des pouvoirs, (a fortiori tous les pouvoirs), aura tendance à en abuser. Autrement dit, il aura tendance à utiliser ses compétences sans respecter aucune limite, notamment de droit. C'est une "loi" psychologique ou sociologique qu'on peut vérifier facilement. Les français de l'époque pensent à la Monarchie absolutiste, celle d'un Louis XIV par exemple usant sans

autres, par Montesquieu. La recherche du gain peut venir à bout de la violence guerrière ou politique. L'intérêt peut calmer les passions. Là où la moralité traditionnelle unissait dans une même réprobation les trois grandes concupiscences (sexe, pouvoir, argent), la dernière s'est progressivement détachée des deux autres, et le terme d'intérêt, se substituant à l'avarice ou à la convoitise, en est venu à qualifier une action motivée, rationnelle et utile. Détermination subjective, la recherche du

(Charles De Gaulle) Cette citation signifie que seul le peuple est souverain dans une démocratie. Il s’agira ici de mettre en évidence qu’aucun individu ne peut posséder le pouvoir absolu, mais que seul le peuple peut exercer la souveraineté, c’est-à-dire l’autorité suprême. La souveraineté peut être définie comme le « pouvoir suprême reconnu à l'État, qui implique l'exclusivité de sa compétence sur le territoire national (souveraineté interne) et son indépendance absolue dans l'ordre international

A) Constitution au sens matériel B) Constitution au sens formel C) Deux optiques partiellement dissociables II ] Constitution souple et constitution rigide A) Définition des deux notions B) Signification C) Pouvoir de révision et pouvoir constituant (originaire et dérivé) III ] Constitution coutumière et constitution écrite A) Constitution coutumière B) Constitution écrite C) Ecriture constitutionnelle et persistance de règles non écrites IV ]