La Théorie Des Cercles Vicieux

gouvernements successifs sur les différentes routes à suivre, susceptibles de les mener à la prospérité économique. Alors, quelles sont concrètement leurs idées ? Nous suivrons tout d’abord le cheminement de la pensée Marxiste puis nous aborderons les théories Keynésiennes. Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, Karl Marx, dresse une critique virulente du capitalisme,  notamment dans son œuvre Le Capital, publiée en 1867. Il prône l’avènement du mon ouvrier (le prolétariat) et la chute des capitalistes

plus, le système de redistribution des revenus par l’impôt peut se révéler périlleux ; Laffer a démontré dans sa théorie « Trop d’impôt tue l’impôt » qu’une politique d’imposition trop forte peut réduire la consommation et finalement avoir l’effet inverse de celui escompté. Enfin, l’intervention trop régulière de l’Etat dans l’économie peut créer une dépendance néfaste et un cercle vicieux duquel l’économie ne pourrait plus se sortir. Certains économistes prônent en effet l’autorégulation de l’économie

imaginaire : rêve du vol. Platon évoque « le désir de voler est au cœur même de l'existence de l'âme ». >Dans Phèdre de Platon, l'âme est comparée à un attelage ailé composé d'un cochet et de deux chevaux dont l'un est de bonne race et l'autre fougueux, vicieux. => L'âme si elle est à cette image est difficilement conduite dans l'existence. .Les « ailes de l'âme » = l'âme s'élève vers l'intelligible, le beau, la sagesse... et inversement si les « ailes » sont abimées, « l'âme » tombe dans le monde sensible

pion qui obéissait à des ordres. Cela lui retire toute responsabilité. Dans un cadre «catastrophiste», la vérité est donnée dès le départ, le chercheur est inutile et remplacé par un spécialiste de la communication politique. JP Dupuy compare cette théorie à ces spécialistes qui ne regardent pas plus loin que le bout de leur nez. La banalité apparente cache l'absence de pensée. Cette absence de pensée, en outre la manipulation, nous évoque l'univers industriel où la machine remplace l'homme. Il

C.Pigou Arthur Cecil Pigou (1877-1959) est célèbre pour avoir écrit « le seul compte rendu détaillé qui existe de la théorie classique du chômage ». Cet hommage lui est rendu par …..Keynes, qui fut à la fois son condisciple (élèves de Marshall à Cambridge), son ami, et son adversaire théorique le plus acharné. L’ouvrage de Pigou : « La théorie du chômage » (1933) La théorie de Pigou repose sur une idée simple : « s’il n’y avait ni friction ni immobilité, mais concurrence parfaite entre salariés

rien n’indique que les étapes de croissance à franchir doivent être partout les mêmes. - Les cercles vicieux de la pauvreté Référence : l’économiste américain Ragnar Nurkse (1907 – 1959) est à l’origine de la présentation des cercles vicieux de la pauvreté et de la stagnation. Le sous-développement s’entretient de lui-même car les pays pauvres ne peuvent sortir d’une série de cercles vicieux : 1) pauvreté  faibles revenus  faible épargne  faible investissement  peu de capital disponible

économique. La théorie libérale se développe au Royaume-Uni dès la fin du 18e siècle avec des économistes comme Adam Smith ou Ricardo en parallèle à l’essor du commerce international (commerce triangulaire) et à l’industrialisation (TBI). Elle se caractérise par une économie garantissant la propriété privée des moyens de production et le libre-échange. Elle garantit l’initiative individuelle et la liberté d’entreprendre. Il s’appuie sur l’économie de marché : le rôle du marché permet (en théorie) la concurrence

Saisie généralement par la hausse tendancielle du taux de croissance du revenu national (ou du PIB) ou du revenu par tête. → Causes : Rôle du progrès technique dans les analyses conventionnelles (néo-classiques) de la croissance, comme dans les théories plus récentes de la croissance endogène (l’innovation est alors la résultante de comportements individuels rationnels). → Contrairement aux analyses conventionnelles, dans les nouvelles analyses de la croissance, le taux d’épargne influe sur la croissance

L'économie du développement, en tant que branche à part entière de l'économie, date de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Auparavant les études relatives aux pays pauvres faisaient parti de l'analyse de la croissance. Il n'y avait pas de théories spécifiques à ces pays. Ce n'est que dans les années cinquante que les économistes vont s'attacher à développer des outils propres aux pays en développement [1]. Parmi les pionniers du développement on peut citer Paul N. Rosenstein-Rodan, Albert

qu’elles ne sont plus très nombreuses et qu’elles occupent des rôles de second plan. Dès lors, il convient de se demander dans quelle mesure les actionnaires interviennent dans les sociétés. Dans la théorie de Berle et Means (1932), les actionnaires ne remplissent que des fonctions passives. Néanmoins, la théorie de l’agence de Jensen et Meckling met en avant l’éventuel action décisionnel des actionnaires qui pourrait être en désaccord avec les managers qui engendre des coûts appelés « coûts d’agence »