La Théorie Du Bilan Coût Avantage

l’entreprise : « c’est l’art de construire des avantages concurrentiels durablement défendables ». Ces avantages sont nombreux : des produits plus fonctionnels, plus performants, moins chers, qui apportent un meilleur service, produits de marques connues. Durables : les concurrents vont mettre du temps à me rattraper et durant ce temps je me fais une marge, je suis leader sur le marché. Je créer de la valeur pour le client et les actionnaires. Ca exclut les avantages de types faire une promotion, parce que

matières Introduction 1 1 L’information comptable Principes comptables 1 2 3 4 5 6 Principe de primauté du droit sur le fait Principe de continuité de l’exploitation Principe de spécialisation des exercices Principe de l’évaluation au coût historique Principe du nominalisme Principe de prudence Principe de permanence des méthodes Principe de non-compensation Principe de primauté de la réalité économique Évaluation à la « juste valeur » L’extension du champ de la comptabilité d’intention

valeur : les terrains, les immeubles, les machines, la trésorerie, etc. Mais ces éléments n’ont une valeur que s’ils permettent d’engendrer des revenus. L’instrument qui permet d’appréhender la valeur patrimoniale de l’entreprise, reste encore le bilan. ACTIF Immobilisations : - Incorporelles - Corporelles - Financières - Autres Actif Circulant : - Stocks - Créances - Disponibilités PASSIF Capitaux Propres : - Capital - Réserves - Résultat Dettes : - Dettes Financières - Dettes d’Exploitation

des intermédiaires financiers 3 I . A Les imperfections des marchés 3 I . A . 1 L'asymétrie d'information 3 I . A . 2 L'assurance de liquidité 5 I . B Spécificité du savoir bancaire. 6 I . B . 1 Acquisition du savoir bancaire et avantage informationnel comparatif 6 I . B . 2 Qualités du savoir bancaire spécifique. 8 II Présentation des trois principales phases d'un accord de crédit 11 II . 1 Phase I : Elaboration, par l'entreprise, d'une demande de crédit auprès d'une banque

pratiques qui semblent anticoncurrentielles (intégration verticale, choix contractuels déséquilibrés) sont en réalité légitimés par une recherche d’efficacité, c’est-à-dire par une volonté d’économiser les coûts de transaction. Première partie La théorie des coûts de transaction : genèse et concepts de base I. Le concept des coûts de transaction L’article de Ronald Coase Pourquoi existe-t-il des firmes ? Si le marché n’est pas l’unique moyen de coordonner l’activité économique, c’est qu’il

au village mondial dans lequel la distance et les frontières politiques séparant les agents économiques n’aurait plus d’importance. Cette représentation suggère que les entreprises opèrent sur l'ensemble des marchés et se délocalisent à faible coût, mettant ainsi en concurrence directe les différents territoires quelle que soit la distance qui les sépare. D'autre part, les analyses d'économie géographique soulignent que l'intégration internationale et le développement des infrastructures

............................................................................ 27 PARTIE II : RESULTATS................................................................................................................ 29 CHAPITRE 1 : L’ANALYSE PAR LE BILAN FONCTIONNEL .............................................. 31 Section 1 : Le Fonds de Roulement Net Global ........................................................................ 32 Section 2 : Le Besoin en Fonds de Roulement.....................

Jean-bernard.chatelain@univ-paris1.fr Plan du cours : 1. Liasse fiscale. Bilan, compte de résultat, résultat imposable, bilan fonctionnel et besoin en fond de roulement.. 2. Ratios de l’effet de levier, coût moyen pondéré et liasse fiscale. 3. Théorie de l’arbitrage statique de la structure financière. 4. Théorie de la hiérarchie financière et du versement de dividendes. Tableaux de flux. 5. Evaluation du risque de défaut : théorie et méthodes. Extensions : Plan de Financement : Pierrat et Briquet

  produits   nouveaux   sur   un   marché  nouveau.  Il  concerne  la  maitrise  d'un  métier,  un  savoir-­‐faire  et  donc  une   spécialisation.   Il   engendre   un   gros   avantage   concurrentiel.   Pourquoi   se   spécialiser   ?   à   cause   d'un   manque   de   ressources   (insuffisant   pour   développer   autre   chose),   c'est   un   gage   de   sécurité

d'un universitaire scribouillard déjà dépassé" J.M. Keynes (1935) Le choix du critère utilisé pour apprécier les conséquences de telle ou telle mesure de politique économique est très important : production totale ? Indicateur d'inégalités ? Théories de la justice (Rawls, Sen, Fleurbaey…) 2) Indirecte : les hypothèses des modèles économiques pèsent fortement sur leurs résultats II-) Méthodes de la science économique A-/ outil de base en micro-économie : analyser le choix des agents