La Tirade De Don Louis

bjectifs & parcours d’étude Objectifs Textes et œuvres Objets d’étude Genres et formes de l’argumentation, du XVIIe siècle au XVIIIe siècle • Voir comment romans et nouvelles s’inscrivent dans le mouvement littéraire et culturel du réalisme • Donner des repères dans l’histoire de ces genres • Faire apparaître les caractéristiques de ces genres narratifs • Apprendre à expliquer le texte narratif • Un groupement de textes du XVIIe siècle au XVIIIe siècle • Une lecture cursive : L’affaire

porté sur la fragilité du bonheur, le malheur ou la souffrance. Euridipe, lui, est le dramaturge grec le plus moderne de la Grèce antique ; son théâtre est caractérisé par le fait qu'il démonte le sentiment amoureux. Il met des femmes en scène et va donner au chœur un rôle indépendant de l'action des pièces, celui-ci va servir de caisse de résonance aux sentiments exprimés par les acteurs. Il accorde plus d'importance aux costumes, aux jeux de scène et aux décors. Il n’a pas eu de succès de son vivant

proximité entre le lecteur et les personnages. Les répliques sont les paroles directes des personnages à d’autres personnages. Lorsqu’un personnage est seul sur scène, son discours est un monologue. Si cette prise de parole est longue il s’agit d’une tirade. Un personnage caché sur scène peut entendre son message sans que celui qui parle s’en rende compte. Les apartés sont des paroles dites à part pour que les interlocuteurs ne les entendent pas. Par exemple Sgaranelle, le valet de Dom Juan a pour habitude

méchant homme », « épouseur à toutes mains », « libertin » qui ne craint ni « Ciel, ni loup-garou », et auquel l’attache la peur, à défaut du zèle. Scène 2 : Sganarelle, Dom Juan Arrive Dom Juan qui répond aux remontrances de son valet d’une longue tirade dans laquelle il expose sa conception de l’amour. Le plaisir ne repose que sur l’inconstance. Aimer une femme, c’est être injuste et insensible aux charmes de toutes les autres. Dom Juan, sourd à toute considération morale, se sent l’âme d’un Alexandre

oeuvres de Molière. * Les personnages principaux : - Don Juan : Personnage principal, issu de la bourgeoisie, il fait son apparition dès la scène 2 de l'acte I. C'est un libertin, un coureur de jupons, un "éboueur à toute main" comme le décrit Sganarelle dans la scène 1 de l'Acte I. - Sganarelle : Fidèle valet de Don Juan, même s'il n'est pas d'accord avec son maître il se suit partout et l'épaule dans toutes ses décisions. Sganarelle

la révolution romantique ? Lectures analytiques : L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition L.A. n°2 (Acte II, scène 2) : le monologue de la reine L.A. n°3 (Acte III, scène 2) : la tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents complémentaires : Art poétique, Nicolas Boileau : les règles de la tragédie classique Extraits

registres satirique, polémique et oratoire Corrigés des exercices © Cned – Académie en ligne 2 Séquence 2 – FR20 Objectifs & parcours d’étude • Voir comment romans et nouvelles s’inscrivent dans le mouvement littéraire et culturel du réalisme • Donner des repères dans l’histoire de ces genres • Faire apparaître les caractéristiques de ces genres narratifs • Apprendre à expliquer le texte narratif Objectifs • Un groupement de textes du XVIIe siècle au XVIIIe siècle • Une lecture cursive

est choqué 2. Les éléments plus graves ou qui peuvent susciter l'inquiétude du spectateur - S. n'est pas rassurant - (l.69) Evocation d'un châtiment - DJ = MACHINE INFERNALE (l.62) « épouseur à tt mains » - Le sort de DJ inquiète le spectateur – Tirade de Gusman - Hypocrisie des personnages : DJ et S. II) L'Ambiguïté des personnages 1. Sganarelle .L’ambiguïté des relations avec DJ « le plus gd scélérat » - >donc hypocrite - oxymore : soumission et domination - fascination : (l.65) « ce serait un

décors font alterner tantôt un cadre naturel (jardin, petit bois, champs) tantôt l’espace plus social de l’habitation seigneuriale (salon, salle à manger). Le moment de l’action reste flou: d’un côté les personnages semblent contemporains du règne de Louis-Philippe (roi de France de 1830 à 1848), de l’autre ils paraissent hors du temps puisqu’il est question de rapports féodaux rappelant un Ancien Régime aboli depuis près d’un demi-siècle. L’action. Précédés par leurs éducateurs, Camille et Perdican

un lieu de fête, de commerce. L’orfèvre : « La Cour, le peuple la porte sur son dos » : évoque certaines caricatures de presse de l’époque (imagerie) : cf. Honoré Daumier par ex, mais aussi caricature de la période révolutionnaire (1789). Longue tirade de l’orfèvre sur Florence fondée sur la métaphore filée de l’architecture. Importance de l’imparfait qui signale un état révolu, dans son récit. Critiques c/ le pape (Clément VII) et l’empereur Charles (Charles Quint). Florence = un édifice menacé