La Tirade Des Reproches

L’EVOLUTION DU DISCOURS DE DL Début de la tirade, DL se plaint, il exprime ses regrets (par ex. «j’ai souhaité», «je l’ai demandé»...«et ce fils que j’obtiens» -> lamentations. Il se réfère a Dieu ce qui prouve qu’il est croyant contrairement a son fils («en fatiguant le ciel de voeux» : il a supplié et fatigué le ciel de prières et voilà ce qu’il obtient). Il utilise des mots qu’il veut émouvants pour DJ, des mots qui le fasse se sentir coupable. («le chagrin, le supplice»). Il fait des antithèses

Commentaire Composée sur Dom Juan Le texte que nous allions commenter est sur Dom Juan, la première tirade de Sganarelle. Ce texte est la première scène écrite par Molière, et représente le classicisme. Le classicisme est reconnu pour avoir donnée la raison et la morale au publique, Molière lui, représente la morale sur scène avec des pièce comiques et tragiques. Dom Juan, pièce joué en 1655 est une histoire d’un libertin qui essaie de faire tomber amoureuses toutes sortes de filles. Cette pièce

se montre très élogieux à l’égard du marquis. Alceste blesse Oronte en formulant une critique précise de son sonnet. Ils se disputent. Oronte sort de la scène très vexé. • Acte 2 Célimène, apparaît avec Alceste. Ce dernier multiplie les reproches envers elle. Il lui avoue sa jalousie. Mais Célimène montre que le résonnement de Alceste ne tient pas debout. Elle montre à Alceste son ridicule et ses contradictions. Il voudrait poser à Célimène la grande question du mariage : veut-elle l'épouser

entre accepter les avances de Pyrrhus et ainsi épouser l’assassin de son défunt mari, ou les refuser et mettre en danger la vie de son fils Astyanax qui est emprisonné. Racine à travers cette tirade alterne entre désir, horreur, amour et pitié. Nous nous demanderons enfin comment Racine rend cette tirade argumentative et comment il fait apparaitre un dilemme tragique. Andromaque se trouve dans une situation déchirante, car si elle épouse le roi Pyrrhus, elle trahira sa famille ainsi que son défunt

l’être (65). Perdican lui répond qu’il n’en sait rien et lui reproche de réciter une leçon qui ne correspond pas à ce qu’elle croit réellement (65). Il reprend alors le pouvoir dans le dialogue. Réplique de Camille : « Je veux aimer, mais je ne veux pas souffrir » (66). Perdican pense que, étant donné le jeune âge de Camille, il est absurde qu’elle ne croie pas en l’amour, et qu’elle agit par orgueil, ce qui la met en colère : elle lui reproche sa trop grande expérience de l’amour et le considère comme

longtemps). Il a l’intention d’annoncer à sa mère, sa sœur Suzanne, son frère Antoine et sa belle-sœur Catherine, sa maladie et sa mort qui est certaine. Sa venue fait renaître certains souvenirs et tensions familiales.Sa famille lui exprime divers reproches puis Louis part sans avoir pu faire l’annonce de sa mort. Impressions de lecture :Dès le début de la pièce, l’auteur nous plonge de suite dans une atmosphère assez triste et peu passionnante. On sait déjà que Louis va mourir et qu’il va juste aller

sentiment d’abandon et adresse des reproches à Louis sur son départ et autour des lettres elliptiques. On s’attend à un dialogue mais en réalité Louis reste muet et Suzanne se fait les questions et les réponses. C’est une tirade et non un monologue car Louis est présent.Problématique :En quoi, L’évocation des « lettres elliptiques » permet-elle à Suzanne de dresser en creux le portrait de son frère Louis ?M1-Les petits mots 1-7M2-Louis et l’écriture 8-27M3-Les reproches de Suzanne 28-37M1L,1-2 « parfois

tragédies sont représentées dans le cadre des Grandes Dionysies, en l'honneur de Dionysos au printemps (les Bacchantes chez les Romains). Selon la tradition, ce serait un dénommé Thespis qui aurait inventé l'acteur, en ajoutant au chœur un prologue et une tirade. L'acteur se distingue dans des simples chanteurs (hypocritès: il joue un rôle). Le premier auteur tragique attesté est Phrynicos qui emprunte ses sujets aux légendes et aux histoires contemporaines. Il composa une pièce sur la cité de Milet qui

« jamais absent » => Selon la mise en scène il peut être sur la scène ou pas. -double voir triple énonciation : nous rappelle situation -> sa parole est contrainte -Distribution de la parole : Britannicus entame la conversation avec de longues tirades et pose beaucoup de questions. Contrairement a Junie qui parle peu, de courtes répliques ; B= « vous ne dites rien ». Peut on considérer se manque de parole comme une esquive ? Elle coupe la parole de B pour qu’il évite de faire des « gaffes » car

ainsi Marguerite se lance dans une tirade. Elle oppose l’acte de vente à la lettre de monsieur Duval, « Elle lui donne l’acte de vente que Prudence lui a remis. ». Devant cette bonne fois le père d’Armand est obligé de s’excuser, néanmoins il n’oublie pas son but principal et demande à Marguerite d’offrir « la plus grande preuve d’amour » qu’elle puisse donner à Armand. Dès lors, on observe un renversement au niveau scénique, c’est le père d’Armand qui entame une tirade reléguant Marguerite au second