La Tirade Des Reproches

l. 1-12 : Un éclat de colère et de souffrance brute. Deuxième mouvement : l. 13-21 : La justification par Simon de sa colère Troisième mouvement : l. 22-26 : La tentative de conciliation par Hermile Lebel Premier mouvement : – La première tirade de Simon est constituée de très nombreuses exclamations. De nombreux mots sont répétés plusieurs fois (montrer et citer : "coeur", "pleurer", "brique", "crisse", "jamais", "big deal"). Certains sont des mots familiers ou tournures familières ("big

scène : il s’agit du dénouement de la pièce. Oreste, croyant satisfaire une exigence d’Hermione qu’il aime mais qui est promise à Pyrrhus, assassine Pyrrhus au temple alors qu’il épouse Andromaque. Acte V scène 3, Hermione se refuse à lui et lui reproche son geste : Ah ! fallait-il croire une amante insensée ? A la scène 4, un monologue d’Oreste préfigure le dénouement : Quoi ? j’étouffe en mon cœur la raison qui m’éclaire. Problématisation : Oreste et Pylade ouvrent et ferment la pièce. On ne

qui se retrouve dans sa réplique avec le mot « Monsieur ». b) Il fait des reproches à Figaro sur son retard et s’emporte « Les domestiques ici ... sont plus long à s’habiller que les maîtres ! » pluriel hyperbolique pour montrer sa colère. Façon de rappeler par cette phrase la subordination des domestiques aux deux pôles de la phrase « les domestiques » et « les maîtres ». c) Autoritaire et nerveux, le Comte passe du reproche à l’interrogation déguise sans arrivé à trouver une position malhabile/maladroite

qui fait exception aux règles classiques (texte en prose, se termine mal, mélange les registres), thème du libertinage * En quoi la tirade de Dom Juan permet-elle de faire une démonstration de la puissance verbale du héros ainsi que le portrait d’un homme redoutable, libertin avec un esprit critique ? 1) Eloge de l’inconstance, vision de l’amour a- Tirade comme réponse à Sganarelle b- Dépréciation de la constance et de la fidélité c- Argumentation pour plaider son innocence

sa fille, et séduire sa femme. A l’acte III, l’imposteur déclare en effet sa passion è Elmire dans une tirade devenue célèbre. Insinueux, galant, flatteur, Tartuffe révèle alors toute sa duplicité. On pourra ainsi étudier, dans un premier temps, cette tentative de séduction, puis dans un deuxième temps, l’argumentation de l’hypocrite. L’art de Molière éclate dans la composition de cette tirade è travers laquelle le faux dévot se démasque. D’entrée, Tartuffe cherche à séduire Elrmire en exaltant

acte IV, scène 6 Quelques scènes plus tôt, Dom Juan ridiculise Monsieur Dimanche qui était venu réclamer sa dette. La tirade de Dom Louis, père de Dom Juan, intervient donc dans ce contexte. Cette intervention fait basculer la scène dans une tension immédiatement perceptible, en contraste avec le comique des précédentes scènes. Dans cette tirade, Dom Louis reproche à son fils une « mauvaise vie ». Il souhaite lui exprimer la déception et la colère que procure les agissements de Dom Juan à

entre les « leçon » du couvent et celle de Perdican. Elle qui au début de la scène se voulait forte, fière et impertinente se trouve présentée en victime des nonnes, « malheureuse fille », mais victime consentante et donc par là non exempte de reproches : elle a accepté de porter le « masque de plâtre » des nonnes, devenant ainsi un « être factice ». Perdican, qui sous l'effet de la déception et de la colère se lance dans un violent réquisitoire, domine très largement le dialogue dans cette fin

venger et envoie son valet, Ruy Blas, surveiller la reine et sa suite, pour trouver un moyen de vengeance. scène 2 : Entre Don César de Bazan, le cousin de Salluste. Don César avoue être un voleur, qui attaque les nobles et les pille, ce que lui reproche Don Salluste : il tache l’honneur de la famille. Cependant, Don Salluste fait à son cousin une proposition : payer ses dettes et lui donner tout l’argent qu’il voudra, en échange d’une vengeance sur la reine. César refuse de porter atteinte à une

toute raison). Il lui reproche de ne pas connaître la modération. Les comportements du Comte et de Figaro sont paradoxaux : Figaro est calme alors que le Comte est emporté par la colère. La tirade du Goddam est une satire. Opposition entre les termes God et Diable. Cette tirade illustre les trois besoins fondamentaux de l’homme qui sont boire manger et séduire. Selon Figaro, il en faut peu (c'est-à-dire utiliser le mot Goddam) pour aller loin. Figaro s’adresse dans cette tirade au Comte et au spectateur :

DOM JUAN Acte I, scène 1 "La tirade de Sganarelle" Introduction : Ce texte est la scène d'exposition de Dom Juan de Molière, auteur de nombreuses pièces de théâtre au XVIIe siècle, dont certaines suscitèrent de violentes critiques. Tartuffe, critiquant l'hypocrisie d'un dévot déclencha la cabale des dévots et fut interdite. Pour pallier à l'absence de recettes due à l'interdiction de Tartuffe, Molière écrivit rapidement une pièce sur un sujet à la mode, Dom Juan, déjà illustré par l'espagnol