La Titrisation Liquidité Bancaire

positive de la mondialisation des marchés de capitaux, nous allons maintenant étudiez ses limites. la mondialisation des marchés de capitaux comporte aussi certaines limites avec la titrisation, les comportement mimique des opérateurs ainsi que la propagation d'une crises nationales en crise mondiale La titrisation est une opération qui permet aux banques de vendre sur un marché des actifs qu’elles détiennent, le plus souvent des créances qui sont la contre-partie des crédits qu’elles ont accordés

BANQUE D’ALGERIE ECOLE SUPERIEURE DE BANQUE DIPLOME SUPERIEUR D’ETUDES BANCAIRES MEMOIRE DE FIN D’ETUDES Thème: LA GESTION DU RISQUE DE LIQUIDITE DANS LES BANQUES Présenté par : Promoteur : BOUKHORS Abdenour M. S. MESSAOUDI 4ème promotion Directeur Central CNEP/Banque Encadreur : M. N. HADJI Directeur Central ABC Algeria Septembre 2002 A mes parents… A mes frères… Mémoire de fin d’études Remerciements REMERCIEMENTS Je tiens à exprimer ma gratitude et mes plus vifs remerciements

cause de l’interdépendance existant entre les marchés financiers mondiales, les acteurs financiers (institutionnels notamment) commencent à ce débarrasser de leurs titres « toxiques » qui n’ont plus aucune valeur réelle pour les convertir en liquidité chose qui a une chute de cours avec l’intervention de banques centrales via des plans de sauvegarde. • Absence de régulation Les règles prudentielles qui encadrent l’enjeu des marchés financiers se trouvent désactivées par les

date, celle dite des « subprimes », a fait disparaître trois banques d’investissement américaines (Bear Stearns, Merrill Lynch et Lehman Brothers) sur cinq, les deux qui restent ne sont plus vraiment des banques d’investissement et le secteur bancaire subit C o m p r e n d r e l e s c r i s e s f i n a n c i è r e s 14 © Eyrolles Pratique d’importants licenciements. L'effet des crises ne reste pas cantonné au secteur financier. Selon les cas, les crises provoquent une panne, plus ou moins

La crise financière mondiale Faillites bancaires, des milliards de dollars envolés, une croissance mondiale en berne, des gouvernements impuissants, tel est l'image du capitalisme mondial qui vie depuis 2007 les plus sombres heures de son histoire. Cela fait bientôt 3 ans que le mot « crise » est dans les esprits de chacun, visible et ressentit par tous. Savons nous seulement ce qu'elle signifie vraiment, quel est son histoire et si nous nous en sortirons ? Nous ferrons dans cette partie une

techniques de gestion de bilan pour obtenir des actifs liquides et négociables et se délester de certaines dettes. La titrisation d’une part, permettant de gérer l’actif du bilan, et la défaisance d’autre part, permettant de gérer le passif du bilan. La titrisation est une innovation financière permettant de transformer des créances en titres négociables sur les marchés financiers. La titrisation est en fait la privatisation de la création de monnaie. Celle-ci, en dehors de la monnaie métallique, est en fait

déréglementation, c’est traduit par peu de contrôle des échanges ou une mauvaise gestion de la réglementation. En effet, d’après E. Cohen ‘’l’ère de la déréglementation à conduit, au développement d’un secteur fantôme qui joue le rôle de système bancaire parallèle, tandis que le cœur de la finance que sont les banques commerciales est resté très réglé.’’ Le décloisonnement, s’est traduit par une absence de frontière et de limite entre les marchés tous les acteurs peuvent aller sur tous les marchés

boursiers, conduisant ainsi à une baisse importante du crédit et une sévère dépression économique. L’absence d’assurance des dépôts bancaires et l’inexistence de l’assurance chômage avaient sans doute renforcé le processus cumulatif négatif en ruinant le pouvoir d’achat des ménages. Le peu de préoccupation de la banque centrale pour la liquidité dans le système bancaire avait contribué à la faillite en chaîne des banques commerciales. De même, des mesures de politique économique inopportunes telles

demander comment expliquer la crise financière et quels sont les moyens pour y remédier ? Les sommes engagées pour pallier les divers faillites et difficultés des banques et des fonds font alors craindre une propagation de la crise à tous les systèmes bancaires et à toutes les économies. On parle alors de panurgisme. Cependant, de nombreuses crises ont vu le jour sans qu’il y ait eu de propagation à travers le monde. Ceci s’explique néanmoins par le rôle de prêteur en dernier ressort que jouent le FMI et

secondaire et la liquidité p C. La formation du prix des titres : le cours des actions p 2 Sabine OLIVIER Consulting BTS 2 Economie Chap 2 : Le marché financier et son rôle économique 2012 -2013 1. La fixation du cours des actions p 2. Les déterminants des cours boursiers p D. La capitalisation boursière p IV. Le financement des agents et l’allocation des ressources p A. - La fin du Quantitative Easing 2 (QE2) p B. - La liquidité des titres et