La Torture Morale Du Condamné

tête d'un jeune groupe d'écrivains il publie en 1827 sa première pièce de théâtre. Il s’imposera par la suite comme porte-parole du romantisme (mouvement en opposition avec le classicisme). Il publie, de façon anonyme, en 1829 « le dernier jour d'un condamné » car il s'agit d'un réquisitoire contre la peine de mort. Publication de son premier roman en 1831 qui rencontra un franc succès, puis en 1838 « Ruy Blas » chef-d’œuvre du romantisme. En 1841 il est élu à l'académie française mais en 1843 la mort

s'impose de fait ( efacto) , beaucoup des justiciables qui doivent etre condamnés sont des Etats , (politiquement il est tout a fait impossible de donner la force obligatoire , car il y a une question de souveraineté , on ne peut pas utilisé la force contre un état ! ( ce serait par définition un état de guerre ) , elle s 'impose de fait , car politiquement , médiatiquement , il n'est pas très heureux pour un état de se faire condamné par la cour européen des droits de l'homme(CEDH) .Les décisions sont

La peine de mort n’est jamais justifiable. Quelque mots associé avec la peine de mort sont la violence, la barbarie et la torture donc pourquoi supporter ça ? Personnellement, je supporte concrètement l’idée que de mettre un criminel en prison à perpétuité est plus efficace pour le criminel lui-même mais aussi pour la famille affecte par le crime que de le mettre en peine de mort. Premièrement, je pense que la peine de mort n’est

Il pense aussi que l’homicide est une maladie de l’âme, et que si on ne guérit pas, il faudra condamner le « malade » à mort. Pour Aristote, pour les criminels les moins récalcitrants, des peines dites par le juges (indemnités pécuniaires) pour les autres criminels ; la mort. Rome Antique : Les citoyens romains sont peu jugé à mort, c’était plutôt les étrangers et les esclaves. Les citoyens étaient torturés, exilés, ou emprisonnés. Cela protégeait la société car cela dissuade les criminels. Moyen-Age ;

de Néron. • Accuse Junie d’inconséquence, de trahison, croit qu’elle a changé. • La rend responsable de son « trouble » : (« le trouble où vous jetez mon âme »). Toutes accusations qui font du mal à Junie : cruelle sans le vouloir ; participe à la torture (va dans le sens de Néron), inconsciemment. 4. Ses erreurs : naïf et bourreau de soi-même • Naïveté et aveuglement : il n’a pas compris dans quel piège il se trouve, ni dans quel univers d’intrigues sordides il vit. Ne mesure pas ce qui se passe

une pose théâtrale devant le miroir. La métamorphose de Caligula est complète, spirituelle et corporelle : « j’ai la tête creuse... ce goût dans ma bouche ». Caesonia lui a permit de définir le monde dément dans lequel il évolue : c’est le nihilisme moral, tout est « aplanie » il veut, par sa volonté, faire régner l’impossible, avoir « la lune dans ses mains ». A la fin de la scène, Caligula « trépigne » comme un enfant capricieux, s’exprime par phrases courtes, brutales, injonctives. Devant le miroir

la sentence soit à la hauteur du crime ; d’où le fait de vouloir, par exemple, punir la mort par la mort. La peine de mort décourage alors les proches des victimes à " rendre justice " en marge des tribunaux. Il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité (selon les pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même très vieux. C’est pourquoi beaucoup pensent qu’il vaut mieux supprimer totalement cette probabilité, même si elle est infime. Egalement, contrairement

du 6 mars modifient le projet initial et le roman porte la trace de ces tumultes sentimentaux. Le titre place l’ouvrage dans la lumière de saint Augustin et de Rousseau. Il s’agit d’avouer ses fautes, mais surtout de dévoiler, au-delà de la «maladie morale abominable» d’un auteur de vingt-cinq ans, le mal du siècle et d’en analyser les causes. Le projet autobiographique se trouve d’ailleurs faussé par le double souci de disculper George Sand et de modeler l’histoire des deux amants sur les exemples

introduits auprès du premiers personnage Garcin qui fait son arrivée dans un salon style Second Empire accompagné d'un garçon d'étage. Il s'ensuit alors un court dialogue entre ces deux personnages à travers lequel Garcin demande « où sont les machines de tortures ». Cette scène d'exposition étonne car elle ne répond à aucune des questions du spectateur. Les personnages semblent tout au long de la scène connaître des détails nécessaires à sa compréhension mais cachés au lecteur. A la fin de la scène le garçon

liens que l’on peut établir entre le conte et l’article « Torture » est la stupidité du comportement de la justice. On nous montre bien dans ces deux textes que la justice du XVIIIè siècle, notamment française est complètement absurde. Elle condamne à mort une personne pour une faute qui ne vaudrait qu’un simple avertissement. 2-Le registre du texte A et du texte C est un registre didactique car ils contiennent un enseignement, une morale. INTRODUCTION : François-Marie Arouet dit « Voltaire »