La Tyrannie Du Corps

introduction Olympe de Gouges est une auteure engagée dont les écrits reflètent ses nombreux combats pour l’égalité et la justice entre les êtres humains. Féministe avant tout, elle souhaite réhabiliter les femmes dans la société et leur donner une place légitime en tant que citoyenne. Elle écrit La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791) pour pallier les manquements de La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789).La déclaration d’Olympe de Gouges

Durkheim publie en 1997, l’étude sur le suicide ( suicide anomique, suicide altruiste etc.) b- Démocratie, oligarchie et tyrannie: les débats dans Grèce classique Du 5ème au 4ème siècle avant JC : période classique. Caractérisée par la systématisation de la pensée politique. Apparition d’une théorie des régimes politiques ; démocratie, oligarchie, tyrannie. Démocratie ; le peuple exerce le pouvoir Oligarchie ; un petit nombre commande Trois témoignages ; Platon, Hérodote

tout ce que nous avons atteint, et non pour sauver ma vie. Nous avons brisé la tyrannie des privilèges, nous avons tué le vers dans le fruit, en abolissant ces pouvoirs auxquels n’avait droit aucun homme. Nous avons mis fin au monopole de la naissance et de la fortune, et cela dans tous les grands offices de l’état. Dans nos églises, dans nos armées, dans ce vaste complexe d’artères et de veines qui fait vivre ce corps magnifique de la France. Nous avons déclaré que l’homme le plus humble de ce pays

son image « publique ». Cette image est peu valorisante : « ivrogne », « un gredin » (I, 2) », « le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille », « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », « libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » (I, 4) ; « ce misérable », « cette canaille » (II, 5) ; « traître à la patrie et assassin de son maître » (décret)

selon son image « publique ». Cette image est peu valorisante : «ivrogne », « un gredin » (I, 2) », « le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille », « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », « libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » (I, 4) ; « ce misérable », « cette canaille » (II, 5) ; « traître à la patrie et assassin de son maître » (décret) (V

collectivité elle-même et c’est la communauté tout entière qui veille à ce qu’elles soient respectées. Ces sociétés sont des sociétés sans Etat. L’Etat n’apparaît qu’avec l’émergence d’un organe du pouvoir politique séparé de la société, distinct du corps social. Situé au-dessus des individus ou des groupes, il prétend arbitrer leurs différends ou régler les conditions de leurs accords. Pour être efficace, un tel pouvoir nécessite bien sûr l’usage de la force (on a pu définir l’Etat comme le monopole

Madame de La Fayette – La Princesse de Clèves (1678)LL1 – « La scène du bal »Etude linéaireGenre : Roman Mouvement littéraire : Classicisme, Préciosité Parcours associé : Individu, moral et société Introduction : La princesse de Clèves est un roman publié en 1678 anonymement par Madame de Lafayette qui appartient au courant littéraire du classicisme

l’Eglise ( empire Ottoman, germanique et une Eglise et des royaumes qui ne sont pas des Etats). On parle alors de République Chrétienne ou alors de Chrétienté ( ne désigne pas tous les chrétiens, pas les orthodoxes), la chrétienté est une sorte de corps mythiquosociale qui reconnaisse l’autorité de l’Eglise de Rome et qui a participait à l’empire Carolingien. La chrétienté découle d’une unité de la foi qui n’empêche pas les différentes frontières. Pape et empereur ont une double autorité : spirituelle

sa conscience. L'esclavage est-il un contrat entre deux partis libres, qui peuvent rompre le contrat ? (//peuple/gouvernants). On suppose un pacte social antérieur à celui-ci, puisqu'un peuple est peuple avant qu'il y ait un roi: on produit « un corps moral et collectif », et chaque individu se retrouve engagé doublement: comme membre du souverain envers les particuliers et l'inverse. Essence de la souveraineté: volonté générale (le souverain ne peut prendre des mesures que générales, ne concernant

avez fait ce qu'il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre »). Voir aussi la présence des termes « larron » et « meurtrier » -Evocation du tyran par le champ lexical du corps (deux yeux, deux mains, un corps, pieds). Idée d'un être sans distinction particulière. Présence du corps renforcée par l'allusion à la « luxure », « aux délices », « aux sales plaisirs », référence aux péchés capitaux hérités du moyen-âge. -Association du tyran à des verbes d'action négatifs (enlever