La Vanite Au 17 Siecle

de la grande persécution de juin 1679" (chap 20) "Durant l'hiver 1684" (chap 22) "Les années étaient passées" (chap 26) *Les vanités sont la meilleure représentation de la vie qui se consume avec l’image de la bougie et le rapprochement de la mort. Elles ponctuent le film aussi bien par leur esthétique baroque que par leur rappel récurrent de la mort. Il y a 18 vanités dans le film et on peut noter que Monsieur de Sainte Colombe en occupe 7 à lui seul dont 4 dans sa cabane. *La place de la poussière

PRESENTATION DU XVIIème SIECLE 1/ Présentation du baroque : Le baroque est une forme d’art née en Italie dans la dernière moitié du XVIème siècle, puis développée dans de nombreux pays européens pendant tout le XVIIème et la première moitié du XVIIIème siècle, atteignant même l’Amérique espagnole et le Brésil. Le terme baroque fut utilisé péjorativement au cours des XVIIIème siècle et XIXème siècle pour qualifier ce qui paraissait bizarre ou trop compliqué. A la suite des travaux du critique

Le Grand Théâtre du Monde est une pièce de théâtre sacramental (d’inspiration religieuse) espagnole en un acte écrite par Pedro Caldéron de la Barca en 1635-1665. Cette pièce nous plonge dans le siècle d'or, l'ère du baroque espagnol. Ce passage met en scène des personnages allégoriques qui font de cette pièce un « théâtre dans le théâtre » détruisant ainsi l’illusion théâtrale. Dans cette scène, Le Roi vient de mourir et se présente devant le Monde pour le jugement final. En quoi cet extrait sert

méditation personnelle longue de plusieurs dizaines de vers : petit poème à part entière où La Fontaine, sur le ton de la confidence lyrique, fait l’éloge de la retraite en célébrant la douceur d’une vie consacrée à la rêverie et à la poésie. Au XVIIe siècle, le terme de retraite désignait aussi bien le mouvement d’abandon du monde, de fuite de soucis et de contraintes de la vie en société, que le lieu écarté où l’on cultivait cette solitude en méditant, et, le plus souvent, en priant. L’extrême beauté

Objet d'étude n°1: Le Siècle des Lumières,(Eveil de l'esprit critique et libre exercice de la raison) TEXTE n°1: "Comment peut-on être persan?" MONTESQUIEU (1689-1755), Les lettres persanes, Lettre 30, (1721). Thème: Perception du différent, de la différence. Point de vue: D'où l'on regarde? Qui? Note: Le XVIIIsiècle (=Les lumières) -> Le siècle de Louis XIV: L'absolutisme ( l'Homme ne peut être étudié, compris que dans la durée, l'Homme fait l'Histoire). -> Montesquieu (1689-1755) est

une insistance sur le comportement destructeur des hommes. Voltaire s’adresse donc bien aux hommes à qui ces comportements sont spécifiques : " haine et persécution " Ligne 11, " haïr et égorger " Ligne 5 et 6, " nos lois imparfaites " Ligne 8, " vanité " Ligne 18, " la tyrannie " Ligne 20, " le brigandage " Ligne 21, " les fléaux de la guerre " Ligne 22 - L’adresse qui est faite à Dieu est peu marquée il n’y a que 2 verbes " daigne " et " fais que ". En revanche le contenu de la demande est très

qui nous indique qu'elle doit faire partie de la noblesse ou de l'aristocratie. Aussi, l'écriture à la plume et la lettre cachetée avec de la cire rouge nous indique que nous nous trouvons à une époque où l'on utilise encore ces procédés (XVIIIème siècle). Dans l'incipit du film, un personnage apparait à l'écran, une femme. Elle se regarde dans le miroir, elle a l'air satisfaite de son image comme le montre le léger sourire qu'elle arbore. Avec un plan plus éloigné, nous pouvons voir que cette

et de tout principe de filiation (21, 22), l'absence totale d'empathie pour autrui. Cela montre une incapacité, un véritable handicap, un échec affectif. À son réveil, HAMM associe père — mère - chien et les associe immédiatement à la souffrance (p. 17). L'attitude de HAMM à l'annonce de la mort de NELL est à opposer à celle de NAGG, qui pleure au fond de sa poubelle. Ainsi, HAMM a « détrôné » son père ; il se présente d'ailleurs comme un créateur (au prix d'un effort « surhumain »). Le silence final

Objet d’étude 2 Le théâtre l’ile des esclaves Marivaux Extrait 1 : Scène d’exposition 1. IPHICRATE. Esclave insolent ! 2. ARLEQUIN, riant. Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes; mauvais jargon 3.que je n'entends plus. 4. IPHICRATE. Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? 5. ARLEQUIN

animaux).- C’est le fabuliste qui parle aux vers 17 à 23 (→ utilisation de la première personne « je » v17). On est à la cour du XVIIe siècle. La Fontaine se positionne en donnant son avis (« Je définis »v17). Par l’antithèse « tristes, gais »v18, il montre que les Courtisans s’adaptent à l’humeur du Roi. Le chiasme « prêts à tout, à tout indifférents » v18 montre l’hypocrisie et le manque de personnalité de la Cour. C’est l’état d’esprit du XVIIe : siècle du « paraître »v20 (pour exister à la Cour, il