La Vanité Un Défaut

savoir qui tuera par dépit et pulsion cette candeur qui s'oppose en quelque sorte à sa science de par sa condition même ; de cela l'exaspération puis le meurtre qui assouvit cette frustration. Une attitude typiquement humaine de souiller l'innocence à défaut de la préserver. « C’est parfaitement lucide sur le ridicule métaphysique de ma situation d’homme, que je fais de la littérature. Si j’essayais de me retirer dans mes déserts intérieurs, je n’en continuerais pas moins de souffrir des succès et de

brutal”(pp113). Cet embrassement avait glacé Etienne qui se sentit blessé dans sa vanité et n’éprouva aucune envie de l’embrasser lui aussi après l’autre. V (p.115-129) Pendant que l’équipe de mineurs étaient en train de critiquer la direction, l’ingénieur de la fosse, Paul Négrel et Dansaert, le maître-porion, firent leur apparition et leur annonçèrent qu’ils devront payer une amende de trois francs (p.119) pour ”défaut de boisage” et en plus on leur annonça une baisse de salaire.(p.120)

dans celle de Marivaux. II- Les relations maîtres-esclaves dans la pièce de L'ile aux esclaves a) Les défauts des maitres vus par leurs esclaves Dans L'île des esclaves de Marivaux, les esclaves profite de l'inversement des rôles pour dénoncer les défauts de leurs maîtres. Les injures fusent, comme la liste de mots caractérisant Euphrosine, la maîtresse de Cléanthis « c'est vanité muette, contente ou fâchée; c'est coquetterie babillarde, jalouse ou curieuse; c'est Madame toujours vaine

afin de bâtir ensemble une société meilleure: on voit son enthousiasme au chapitre 26, quand il croit un moment que les privilèges injustes de l’Ancien Régime seront abolis. - Mais après le coup d’état de Napoléon, le héros va se rendre compte de la vanité de ses efforts: la rencontre fictive entre le héros et son ancien idole - Napoléon a d’abord été un général de l’armée révolutionnaire, avant de devenir empereur- met en valeur l’amertume du personnage, quand il se rend compte que celui qu’il a idolâtré

vient encore lui donner l'occasion douloureuse de déplorer dans un seul malheur toutes les calamités du genre humain et d'exposer une nouvelle preuve du néant de toutes les grandeurs de ce monde. Prenant pour texte la parole, de l'Ëcclésiaste : Vanité des vanités, l'orateur va développer tour à tour l'une et"l'autre de ces deux idées fécondes : tout est vain dans l'homme, si nous regardons le cours de la vie mortelle; mais tout est précieux et important, si nous contemplons le terme où elle aboutit.

Friedrich NIETZSCHE / Humain, trop humain. (1878-1879) / Œuvres I / Robert Laffont - Bouquins 1990 « Échelle de mesure pour tous les jours. On se trompera rarement si l’on ramène les actions extrêmes à la vanité, les médiocres à l’habitude et les mesquines à la peur. » < 74 p.484 > « Défaut principal des hommes d’action. C’est le malheur des gens d’action que leur activité est toujours un peu irraisonnée. On ne peut, par exemple, demander au banquier qui amasse de l’argent le but de son incessante

leçon 1. Satire sociale a. Critique du pouvoir arbitraire : - Volonté de toute-puissance du roi, vanité (vers 1-2) ; premiers mots de la fable : Sa Majes é Lionne, ironie, imitation de Sa majesté très- Chrétienne pour désigner le roi de France. Toute nature, tous les côtés (4-5) : il veut être partout à la fois. La raison même de l’assemblée plénière semble ridicule. - Vanité du roi : vers 10/12/13 : à la rime : un fort grand festin / magnificence/ étalait sa puissance / - Disproportion

dans Le Songe d'un habitant du Mogol. La sagesse consiste à ne pas s'inquiéter de sa mort et à profiter au mieux de la vie. 4. L'homme • Bien que les animaux jouent un rôle très important, l'observation de La Fontaine porte sur l'homme, sur sa vanité (la Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf), son avarice, son hypocrisie (le Corbeau et le Renard). Les lois qui gouvernent les hommes sont dénoncées par La Fontaine qui regrette que les puissants, les riches, soient toujours les plus

titre, le bonheur d’être distingué par vous. Je vous dois d’autant plus de remercîments que je n’ai jamais été l’objet d’une semblable faveur. Aussi serez-vous comptable d’un de mes défauts. Désormais, je ne veux plus être modeste…– 112 – – Vous aurez tort, monsieur, dit-elle en riant, il faut laisser la vanité à ceux qui n’ont pas autre chose à mettre en avant. Une conversation s’établit alors entre la marquise et le jeune homme, qui, suivant l’usage, abordèrent en un moment une multitude

allégorique du statut de l’artiste, le modèle absolu, c’est-à-dire l’Antiquité classique, est omniprésent. Ainsi, cela démontre que ce tableau est « classique ». Au tout début du XVIIe siècle, apparaissent des peintures d'un genre nouveau, les Vanités (terme substantif correspondant à l'adjectif vain, qualifiant ce qui est vide, illusoire). Ce sont des tableaux classés dans le genre de la nature morte où figurent un ensemble d'emblèmes et d'objets dont la possession paraît vaine, futile, dérisoire