La Variation Inherente

PLAN INTRODUCTION NATURE DE LA MISSION Page 2 ACTIVITE DE LA SOCIETE Page 3 ETAPES DE REALISATION DE LA MISSION PARTIE I : DEFINITION DES RISQUES INHERENTS Page 4 I.1 TYPOLOGIE DES ACHATS Page 4 I.2 SYSTEME D’EXPLOITATION Page 4 I.3 RISQUES INHERENTS AU CYCLE ACHAT Page 5 PARTIE II : DESCRIPTION DE LA PROCEDURE ACHAT Page 6 II.1 EMISSION ET SUIVI DES COMMANDES Page 6 II.2 RECEPTION DES APPROVISIONNEMENTS

risques : risque d’audit, risques généraux (ou risques inhérents aux caractéristiques de l’entreprise), risque lié au contrôle interne et risque de non détection. La CNCC définit le risque d’audit comme « le risque que l’auditeur exprime une opinion incorrecte du fait d’erreurs significatives contenues dans les états financiers » (norme 2-300). Il est calculé selon l’équation probabiliste suivante : Risque d’audit = Risque inhérent x Risque lié au contrôle interne x Risque de non détection

fixe est donc soumise à une variation des cours, fonction de l’évolution des taux d’intérêt sur le marché obligataire. Ce risque de variation de cours de l’obligation en fonction des taux est appelé risque de taux. Remarque : ce risque de taux est d’autant plus grand que la maturité de l’obligation est longue. Une obligation à taux variable n’est en principe pas soumise à ce risque de taux. Le risque de contrepartie Le prêteur (obligataire) encourt le risque inhérent à la solvabilité de son

Risque de taux 1. Introduction 1.1 Contexte   L'acceptation et la gestion des risques financiers est inhérente à l'activité bancaire et le rôle des banques comme financier intermédiaires. Pour répondre aux demandes de leurs clients et les communautés et à exécuter des stratégies d'affaires, les banques consentir des prêts, l'achat de titres, et de prendre les dépôts avec différentes échéances et des taux d’intérêt. Ces activités peuvent laisser le bénéfice et le capital exposé aux fluctuations

------------------------------------------------- 4ème partie : FLUCTUATIONS ET CRISES Chapitre 1 : Typologies et tentatives d’explications Introduction L’instabilité semble inhérente à l’activité économique depuis toujours. Dès la fin du XIXème siècle, les économistes ont réfléchi à ces fluctuations. Le mot « crise » a deux sens : au sens étroit, le mot « crise » signifie le point de retournement du cycle Juglar, retournement brutal de la conjoncture. Au sens large, l’expression est aussi

respecter l’hypothèse de transparence. Cela signifie que l’information doit parfaitement circuler entre les différentes entreprises. On observe cette transparence sur la plupart des marchés financiers où chaque acteur est au courant de la moindre variation du capital. Puis, la concurrence pure doit respecter le concept d’atomicité. Autrement dit, la part de marché de chaque entreprise doit être nulle. Elles sont donc « price taker ». Cela signifie qu’elles ne peuvent imposer un prix de vente

investir sur plusieurs segments). b) Spécialisation par produit : destiné à plusieurs segments. c) Spécialisation par marché : liée à l’évolution du marché. d) Spécialisation sélective : Certains produits pour certain marchés (Réduit le risque inhérent à un produit ou un marché) e) Une couverte globale Le marché et ses Indicateurs de mesure Les indicateurs de mesures sont : a) Le Chiffre d’affaire Quantité physique vendue d’un produit durant une période. Le CA en volume : Ne reflète pas

faire de manière très soignées. La GPEC est une des pratiques qui permet de facilités en partie cette analyse. Les décisions internes qui ont des effets sur les politiques budgétaires : - Les flux, tels que recrutements, départs en nombre, variations de niveaux hiérarchiques Les promotions internes Les formules spécifiques de flexibilités comme les contrats à durée déterminée, le travail temporaire, les heures supplémentaires, les adaptations de toutes sortes (contrats jeunes, etc.)

développement Cela s’explique par 3 raisons: - ce secteur présente une très forte corrélation entre le taux de croissance de la valeur ajoutée et celui de toute l’économie. On peut observer clairement la variation de la productivité en fonction de la variation de la production dans ce secteur (surtout pour les biens d’équipement); - l’industrie est le secteur le plus influant sur l’ensemble du système économique, par: l’ampleur de ses commandes, l’importance de ces ventes, le

décomposer en trois éléments : la contribution de la croissance de la productivité multifactorielle, celle de l’intensité accrue du capital (le volume de capital disponible par travailleur), et celle résultant de changements dans les compétences inhérentes à la population active (on y réfère parfois par les termes de changements de la qualité de la main- d’œuvre ou de sa composition). Le schéma 3 suivant décrit les principaux facteurs qui contribuent à la croissance de la productivité du travail8