La Vengeance Est Elle Juste

Amour, rivalité, vengeance… la littérature n’est-elle pas, selon vous, qu’un renouvellement de ces thèmes éternels ? Introduction La littérature exploite des thèmes récurrents, auxquels les siècles montrent tout leur attachement : l’amour, la rivalité, la vengeance sont parmi les principaux et vont souvent ensemble. Des conflits naissent entre les familles et se perpétuent de génération en génération. Ces querelles, généralement conséquence d’un assassinat, d’un vol ou d’une femme aimée

pour avouer son amour à son bien-aimé. Phèdre a conscience du caractère criminel de son acte ; elle confie : « J’ai conçu pour mon crime une juste terreur » v.307. Ce terme de « crime » renvoie à l’idée que son amour est un amour coupable et que sa révélation la fait souffrir ; le fait que la terreur qu’elle ressent soit qualifiée par l’adjectif « juste » oppose au caractère impie et illégal de son amour la justice de son châtiment moral. Or, cette « terreur » dont elle parle, ce n’est pas seulement

s’il n'est pas aussi frappant que dans le tome précédent de la série, qui était rouge et blanc. On dirait que désormais, les deux mondes se rapproche qu'il commence à se fondre car dans l'orange, il y a du rouge et du jaune. Au milieu de la page, juste à la limite entre l’orange et le rouge, une grosse seringue est dessinée, l’aiguille vers la droite comme pour nous invité à ouvrir le livre. Elle symbolise la drogue, sujet qui est évoqué dans le livre et qui, dans notre monde, touche toute les couches

les hommes vivaient sous la règle de la vengeance. Chacun se faisait justice. Aujourd’hui, il existe un adage « Nul ne peut se faire justice à soi-même ». Si la vengeance est interdite par la loi, il y a bien une entité : L’Etat. Le droit est apparu par dégrée, une apparition progressive du Droit, le droit c’est complexifié. Prenons un exemple : Les actes qui sont réprimé au pénal comme le vol ou le meurtre. A l’origine, on réprimait cela par la vengeance. Et puis petit à petit, il y a une règle

pièces où la catharsis est la plus visible. Le personnage de Médée nous fait ressentir à la fois horreur et pitié. Ici, nous observons l’envie de vengeance de Médée qui se concrétise et qui augmente au fur et à mesure que Médée sombre dans la folie, ses actions devenant de plus en plus horribles et violentes. a. Le commencement du processus de vengeance de Médée Acte I scène 4 Médée Tout ce qu’en ta faveur fit mon amour extrême, Je le ferai par haine ; et je veux pour le moins Qu’un forfait

comme moi sur des gages trompeurs s’assurer de sa foi » Bajazet, «si ce gueux du moins avait quarante mille vie ! Une seule est trop misérable, trop chétive pour ma vengeance ! »). Cette envie de vengeance est progressive, on voit qu’au début des textes les jaloux n’ont pas encore eu l’idée de tuer leurs rivaux, ils constatent juste que leurs bien aimée ne partage pas leurs sentiments. Ce n’est qu’en progressant vers la fin du texte qu’ils décident de passer à l’acte. Dans ces quelques lignes ils

peuvent-être fort diverses : quelques fois l'on ressent un besoin de vengeance : sentiment humain et non noble que l'on ne peut empêcher, mais que l'on peut contenir et maîtriser, mais qui existe et peut durer longtemps. Face à l'impunité, l'individu veut venger. La vengeance est un sentiment humain, déraisonné qui peut conduire l'individu à faire n'importe quoi. Le délinquant commet une infraction, il faut lui faire payer le juste prix. On peut aussi avoir un sentiment de sympathie ou de pitié envers

Le châtiment, qui sanctionne sans prévenir, s'appelle en effet la vengeance. C'est une réponse quasi arithmétique que fait la société à celui qui enfreint sa loi primordiale. Cette réponse est aussi vieille que l'homme, elle s'appelle le talion. Qui m'a fait mal doit avoir mal, qui m'a crevé un oeil doit devenir borgne ; qui a tué enfin doit mourir. Il s'agit d'un sentiment, et particulièrement violent, non d'un principe. Le talion est de l'ordre de la nature et de l'instinct, il n'est pas de l'ordre

Ruy Blas se suicide finalement après avoir tué Don Salluste mais il n'apprend que la reine l'aime que lorsqu'il meurt. Cette scène est le dénouement de l'histoire , premièrement Don Salluste est tué , mais c'est également la fin de son plan de vengeance envers la Reine. Nous pouvons donc nous demander comment Ruy Blas prend le dessus dans la scène. Nous verrons tout d'abord comment Ruy Blas s'émancipe peu à peu de son maître puis nous verrons ensuite comment ces deux personnages peuvent représenter

compte rendu oral, ou simplement pour lire en classe, je lis juste des roman écrit par mon auteur préférer (Patrick Sénécal). Et, encore une fois, il ne m’a pas déçu. J'ai été immédiatement conquis, par cette écriture franche et sans détour. Certaines scènes son d'une violence et d'une intensité extrême. De jours en jours, ces torture sont de plus en plus violente l’une a l’autre. Patrick Senécal développe la psychologie de la vengeance que peut développer l'être humain. Il aurait pu le faire simplement