La Vengeance Est Elle Légitime

avons tous déjà ressenti un désir de vengeance, un désir de faire subir à quelqu'un une humiliation, une blessure en compensation d’un torts qu’il nous aurait causé afin d’être dédommagé. En effet la vengeance se définie comme « l’action par laquelle une personne offensée, outragée ou lésée inflige en retour et par ressentiment un mal à l’offenseur afin de le punir. » Pour autant la vengeance est-elle un droit ? Avons-nous le droit de céder à nos désirs de vengeance ? Le droit désigne une conformité

Philosophie Qu’attendre de la vengeance ? Attendre quelque chose de la vengeance suppose, d’abord que cet acte soit justifiable puisque rien ne peut être attendu s’il est motivé par une action injuste, mais aussi que l’on puisse espérer l’arrivée d’un événement suite à cet acte, qu’il est possible d’aspirer à un gain. On ne peut espérer en effet un aboutissement à la vengeance que si seulement et seulement si cette espérance est fondé, est le produit d’un raisonnement parfaitement

« Droit » (« Une décision de justice »). C’est cette seconde idée que nous allons traiter tout au long de notre devoir. De cette façon, la justice est un droit moral ou droit naturel. Un droit universel qui repose sur la raison et ferait donc appel à la légitimé. La justice apparaitrait également comme un idéal universel. De l’autre côté, la justice est un droit positif désignant ensemble des règles et des lois propres à une société et donc ferait appel aux lois, à la légalité. Les besoins recouvrent l'ensemble

droit, publié en 1821 par le philosophe Hegel, aborde le thème de la vengeance et de son rapport à la justice. En effet, contrairement à l’idée première que l’on pourrait avoir, selon laquelle la vengeance n’est qu’une juste réponse à une violation de droit, le philosophe pose la vengeance comme négation de la justice. Pourquoi y a-t-il confusion entre les notions de vengeance et de justice ? Dans cette mesure, si la vengeance n’est pas une bonne manière de faire régner la justice, par quels moyens

IntroductionLa vengeance est l’action par laquelle une personne outragée ou blessée inflige en retour et par ressentiment un mal à l’offenseur afin de le punir et d’obtenir réparation. Cet acte est perçu de diverses manières : d’une part comme une attitude normale et légitime et d’autre part comme un acte dangereux susceptible de causer des représailles. Une approche analytique est donc nécessaire pour y voir plus clair. Faudrait-il condamner toute vengeance ? La vengeance n’est-elle pas une réaction

contre le crime prend la forme de la vengeance; il n'est que de droit en soi et n'a pas encore la forme du droit, autrement dit il n'est pas juste dans son existence. Dans l'administration de la justice, c'est l'universel lésé qui prend la place de la partie offensée, joue un rôle effectif au sein du tribunal, entreprend la poursuite et la répression du crime. Cette répression cesse d'être un simple acte subjectif et contingent de représailles, comme la vengeance, et devient la vraie réconciliation

justice et de la vengeance ? I. Justice et vengeance se distinguent 1) Justice et vengeance : différentes par nature a. Justice = loi universelle / Vengeance = désir personnel Nous rencontrons d’emblée une opposition entre Justice et vengeance : en effet, la justice se présente comme une puissance impartiale, universelle et juridique, alors que la vengeance est une puissance personnelle, subjective et qui relève de la passion. Tandis que la justice est loi, la vengeance est désir. D’un

Avons-nous le droit de discuter le droit ? » ou : « A quelles conditions peut-on contester la loi ? ». « Peut-on se faire justice soi-même ? » I-/ Les conditions du conflit. Qu’est-ce qui peut amener à désobéir ? La différence entre le légal et le légitime, c’est-à-dire entre le droit positif et le droit naturel Le droit positif : Il dit ce qui est permis ou non. C’est la loi qui parle. Il délimite ce que les lois permettent et ce qu’elles interdisent. Il indique la borne dans les faits à

à ceux par qui HIRAM vivant apportait des biens faits. La cérémonie de réception nous le rappelle. Les Frères demandent vengeance. A ce moment nous sommes placés devant La Vengeance. Ne dit-on pas assouvir sa vengeance. Assouvir, par définition c’est rassasié pleinement une passion, un besoin. Mais n’avons-nous pas appris que nous devons maîtriser nos passions? La vengeance est –elle réalisable par un maçon? Déjà je découvre des questions, menant à introspection, si elles ne peuvent être aisément

planI) Soif de vengeance pour légitimer son crime (et se donner bonne conscience ? alors qu’elle est horrible) (V1 V14)V1 : Mode interrogatif : « Est-ce assez » se questionne, sentiment d’insatisfaction après l’assassinat de Créuse et Créon son père. Anaphore : Répète deux fois « est-ce assez » pour insister sur l’insuffisance des deux crimes, qui n’assouviront pas son désir de vengeance. D’ailleurs double sens de « ma vengeance » : d’un côté on peut penser qu’elle parle de la vengeance comme du sentiment